[RP]"housing Health" (domaine Delarosa)

[/center]

Le Dr Delarosa, debout dans la neige prés du chemin contemplais de ses yeux ébahis, le panorama qui s'offrait a lui.

un vent doux parsemé de petit flocon venait part l'ouest, le ciel d'un blanc immaculé taché de gris somatique courait au dessus de sa tète, les Arbres dénudés séfilait, le mentaux neigeux s'adonnait a transcendé l'atmosphère. la mer au loin n'avait plus rien de menaçante de la veille, elle partait de l'horizon jusqu'au cote sans bronché, les bateaux rentrée au port s'était mis a nue, brute de leur voilure jaunie par le temps.

un temps a resté chez soit a siroté un bon bourbon ou une liqueur de ses iles devant un bon feu.

La sensation de bien-être que le voyageur éprouve, lui fait oublier en un instant tout ce qu’il a entendu dire d’incohérent sur ce petit pays. Il comprend d’instinct que quelques heures de navigation ont suffi à le transporter sur une terre toute différente de celle qu’il vient de quitter. Sur cette plage étrangère, aucun obstacle, aucune formalité tracassière n’entrave sa marche ; il se croit chez lui. Pareil à l’oiseau devant lequel s’ouvre l’espace, il s’élance vers les sites charmans qu’il à entrevus du milieu des flots comme dans un rêve. Un attrait irrésistible l’entraîne vers l’intérieur de cette île, dont les aspects changeans offriront à son regard les fraîcheurs de la Normandie et les âpretés de la Bretagne.

Nous le suivrons dans sa promenade, d’abord parce que le pittoresque abonde sur cette côte variée, et puis parce que, chemin faisant, les monuments du passé se présenteront à nous. Or, les monuments, en tous pays, c’est l’histoire et dans l’histoire de geurnesey nous trouverons le secret des institutions qui ont fait de cette île et du reste de l’archipel un petit monde à part.

le Dr, nonchalant, s'en retourne en sa demeure attendant une prochaine rencontre finissant d'aménager ses pièces.

Ils arriverent, au 57 place de la liberté, dans le carosse attelé à la superbe jument offert pour leur mariage par la famille d'Ameder.

elle descendit du carosse avec l'aide d'Ameder.

Merci mon chéri.

le repas dominical devait avoir lieu chez le bon docteur Delarosa, ami de la famille de pars son parrain Jean.

cogna à la grande porte de chêne et attendit au bras de son époux qu'on leur ouvre la porte.

Ameder portant un panier rempli de petit pains au chocolat, croissant et brioches.

11 décembre: dans la soirée

installé confortablement dans son fauteuil, sirotant une bonne eau de vie de la région, il était en train de lire un livre d'un certain Jean de La Bruyère, un feu bien nourrie dans la cheminée réchauffait la pièce de vie, une soirée calme et sans un bruit.

venant du vestibule, fredrick, le maitre d'hôtel, venait de faire son apparition, un grand mince, plut tout jeune, ayant fait ses classe en France pour ses bonne manière et son parler chez un riche conte. il avait dans les bras et aidé d'un bucheron, un sapin.

" que Monsieur me pardonne dans son étude, mais on vient de livrer le sapin de noël, ou doit'je le mettre? "

" hé bien, mettez le la prés de la fenêtre"

Après l'avoir poser sur le plancher en chêne et attaché solidement a l'aide de quelques buche pour faire contrepoids au extrémité pour ne pas qu'il tombe, Fredrick racompagna l'onorable bucheron a la porte et partie a la cave checher les decorations adequate a fin de decorer l'arbre de ses plus beau atouts.

le Dr posa son verre sur la desserte prévue pour, bouchonna l'eau de vie bien parfumé minutieusement et la rangea dans le buffet a Alcool ou d'autre spiritieu, tous les un des autres, veillais a leurs bonne épanouissements de par leur gout et leur cors dont le vieillissement excellait. Son livre rester ouvert a la page 42, était poser a térre prés d'un cousin de velours, il le prit donc, nota a l'aide d'un marque page de sa confection, un morceau de tissue blanc de basse confession, et le déposa a sa place, dans la bibliothèque au armoire vitré, il reprendrait sa lecture plus tard a un autre moment. son temps était maintenant consacré a l'arbre de noël.

Friedrick dé qu'il entendit frappé, alla voir a travers le judas de la porte, le maitre n'attendait personne, et personnes n'était attendus.

un garde messager au couleur de la maison princière a l'allure officielle attendait. le maitre aurait t'il des ennuis ? ca ne serait pas la première Foix.
il lui ouvrit.

Citation :

bonjour, un pli de son Altesse le Prince Aimelin de Millelieues pour le Docteur Delarosa.
Réponse est attendue.

il pris la lettre et lui proposa d'entrée, le maitre n'était pas loin, dans son jardin botanique a s'occuper des dernière fleurs rescapé du gel. une réponse pouvais être faite dans l'instant.

" Entrez, par ce temps Monsieur ne va pas rester dehors, il y a du thé sur le feu, cela réchauffera Monsieur Avant de repartir avec la réponse"

il le fit entrée et l'emmena au salon, puis alla chercher le maitre dans son jardin.

Après quelques minute, le Dr entra dans le salon, pressedé du maitre d'hôtel portant le service a thé sur un plateau d'argent encore fumant

" Bonjour messager, j'ai bien reçus le pli de son altesse le prince, et je vais vous remettre ma réponse par ecrits dés maintenant, je n'en n'aurais pas pour trés longtemps, juste quelque minutes"

pendant qu'il écrivit a l'aide de sa plume sur son bureau, debout, il continua de parler au messager, fredrick, lui servait le thé.

"Buvez un peu de ce thé, il est parfumé a la rose, et pas n'importe quelle rose, la rose delarosa, une variété que j'ai fait naitre pour multiplier ses effets odorante et antioxidantes."

il plia le pli, sortie un petit sachet de sa poche et le remis au messager

Citation :

Monsieur Delarosa
16 Quartier de la Foy

à

Le Prince de Guernesey
et des Iles de la Manche

Saint Pierre Port, Healh's house, le 15 décembre 1650


Votre majesté.

A la réception de votre plie, je vous envoie par l'intermédiaire de votre messager ma reponse.

votre proposition m'enchante et vous fait part que ma réponse est positif et que j'accepte ce poste.
Mes services auprès de votre majesté et de la communauté des iles de la manches vous est a présent dévoué.

en retour, de part votre confiances et de celle du conseil de la principauté, je vous remet, par le biais de mes recherches un sachet de graine de Rosaceae delarosa , une variété de rose que j'ai modifier ayant des vertus médicales et odorantes supérieur au autre, à vous et au conseil de valider mon brevet pour l'utiliser comme remèdes sur les malades a l'hôpital.

Respectueusement

Le Dr A.R.Delarosa

Le garde franchit le seuil et remercia l'homme qu'il suivit jusqu'au salon. Petit regard autour de lui et salut au Docteur qui entrait à son tour dans la pièce.

Bonjour Docteur
Lucien, Garde Princier ... remerciement à l'homme qui lui servait un thé.... je vous remercie avec ce froid ce n'est pas de refus, bien que je ne puisse m'attarder

Non que le Prince lui ai demandé de revenir vite, mais plutôt sa femme, qui travaillant aux cuisines du palais, l'attendait lorsqu'il aurait fini son service d'ici peu.
Il prit la tasse qu'on lui tendait et la porta à ses lèvres. La chaleur du liquide lui fit du bien et il but tranquillement pendant que le Docteur rédigeait une réponse. Il faudrait qu'il parle à Fany de cette boisson.

Ce thé est excellent Docteur, j'en parlerai à mon épouse et remettrait votre sachet à son Altesse.

Quelques termes lui échappaient mais il était soldat et ne connaissait rien à la médecine, ni aux plantes.
Il prit le pli qu'il glissa dans la poche de sa veste d'uniforme et salua le maitre des lieux

je dois vous laisser. Merci encore pour ce thé.

Il s'inclina et se dirigea vers la porte, saluant au passage le maitre d'hotel.

Quel bel demeure !
Bisous, Lina.

J'avais parcouru deux lieus avant d'atteindre le domaine de Doc. Le paquet à la main, je traversais la cour. Arrivée devant la porte je toquais plus coups. Pourvu qu'il ne soit pas au travail, je m'en trouverais bête ! pensais-je. J'étais excitée, comme une puce, mais trsite à la fois. Je regardais autour de moi. C'était un jardin bien entretenu et un domaine s'étendant à perte de vue. Le parfum envirant des fleurs était si bon.

J'entrais dans celle belle maison. Le majordome frederick m'indiqua que doc était dans son bureau. Je connaissais a peu près le chemin et décidais d'y monter seule. La porte du bureau était ouverte, j'entrais et vit doc, installé à sa table, étudiant des documents. Je m'avançais vers lui.
-Bonjour, mon trésor, comment vas-tu ?
Je posais le paquet sur la table. Je m'asseyais.
-Ton bureau est splendide ! Regarde-moi toutes ces étagères remplies de livres !

quand il aperçut la forme d'une jeune femme qu'il reconnaitrait entre toute, il se leva en lassant tombé les documents et alla l'enlacé et l'embrassé


"ha mon amour, tu a vue mon bureau, il vient d'être redécorer, quand pense tu ? "


elle posa un mystérieux paquet sur le bureau

"dit moi qu'est ce que tu m'a apporté?"

Elle tomba dans les bras de doc, l'embrassa passionément. Quand il lui demanda ce qu'était ce paquet, elle sourit. Elle alla le prendre et le tendit à doc. Il était joliment enveloppé, par les soins de Maria, et sentait bon.
-A vrai dire, ce n'est pas grand chose. Mais j'espère que ça te plaira !
Il l'ouvrit donc, et découvrit les cadeaux de Maria.
-Alors ??????
Elle l'embrassa passionément.

Mercredi 13 avril 1651

le soleil radieux était haut dans le ciel sans nuage de st peter port, l'aire marin embaumais toute la maison et la marrée remontait.
il décidât de remettre un peu d'ordres, de jeter ses vieilleries, déplacer quelques bibelots et faire de la place sur un mur de son bureau pour accroché les portraits des ses ancêtres disparue, il les avait mis de coté sous les combles depuis un bon moment déjà, il se devait de leur rendre hommage juste pour la mémoire familiale et les présenté a lina et au visiteur de passages.

il commença par aérer la maison en ouvrant ses grandes portes fenêtres et en mettent du sans bon, alla chercher quelques roses du jardin pour les mettre dans un pot trônant au milieux du salon, jeta les veilles revue et journaux daté et dépassé, Fredric, lui c'était chargé de remettre a neuf le plancher et d'astiquer le carrelage au savon noir, un nettoyage de printemps en grande pompe.

il fit venir un coursier et lui remit une douzaine de roses rouges fraiches a envoyé au palais pour la princesse quasie et au prince aimelin, lui donna une autre rose a remettre a lina au domicile de Luc dit neuneu et sortit sa chariote tirer par Balthazar, un gros cheval de trait afin de se rendre en ville afin de se rendre chez l'épicier ain de lui acheter quelques instrument de jardinages, quelques graine a planter et pour oiseaux, quelque sac de charbon, du papiers et un peut d'ancre.

le majordome wilfreid ouvrit

" Mademoiselle Lina,bien le bonjour, Monsieur mon maitre vous attend au salon, veiller entrée je vous prit, vous êtes chez vous ici"

il lui proposa d'entrée

"vous voudriez peut être une collation ou boire quelques chose madame?"

Pendant que le majordome proposait a lina ses services a chaque visite, le doc, entendu par le bruit de la porte et des pat de wilfried dans le hall, apparue et hala embrasser sa magnifique et belle dulciné avec passion

"Bonjour mon amour"

Après l'avoir embrassé avec passion, il la porta d'un geste léger pour l'amener a l'arrière de la maison, sur la terrasse en appentis qui faisait face au falaise plongeant dans l'océan, une vue panoramique sur l'horizon.

Sur une balancelle, il la posa et s'assit a coté d'elle. "Bufflonne" le dogue allemand bringé du doc était couché nous loin se reposant a coté de sa gamelle presque vide.

" Voit tu, je veut que cette maison respire le bonheur, elle respire déjà de joie mais elle lui manque quelque chose de féminin, et c'est pour ça que je tes fait venir, c'est pour que tu vienne emménagé ici, avec moi."

il lui prit la main, et sortit de derrière son dos, d'une des innombrable poches un boitier de nacres brillant.

"et ce n'est pas tout mon trésor, je sais que sa fait beaucoup a la fois mais j'ai autre chose a t'avouer. Veut tu passer le restant de tes jours a mes coté?"

" Voit tu, je veut que cette maison respire le bonheur, elle respire déjà de joie mais elle lui manque quelque chose de féminin, et c'est pour ça que je tes fait venir, c'est pour que tu vienne emménagé ici, avec moi."dit-il.

-Oui, je le veux, doc.

Quant à sa dernière question, cela ,ne faisait aucun doute.

-Oui, cela aussi je le désire.


Nous échangeames un baiser plein de passion. Je me blottissais contre lui, contente de me trouver a coté de l'étre que jaimais le plus au monde.

elle l'entraina ensuite dans toute la maison puis dans tout le village pour aller faire ses valises chez elle, Bufflonne les suivait a la trace en aboyant sur les passant ou les animaux qu'ils rencontraient.

"j'ai dit a Wilfried de venir avec la carriole pour mettre les meubles et les emmener directement sa va nous faire moins lourd"

"Et moi vivre a tes coté jusqu'à nos vieux jours"

il l'embrassa et la porta comme un nourrisson dans ses bras.

" tes valises attendrons, montons a l'étage gouter a notre amours passionné pour nous réveiller ensemble demain l'un contre l'autre"