[Rp/public]Grand Bal Argenté le 22!

Sourit à son cavalier

Oui ici je suis Milaidie et je suis une habitante d'Amiens aussi.
Oui allons rejoindre les autres couples sur la piste de danse et faite moi voir si vous êtes bon danseur mon ami.

Un petit coin sur la piste nous attendez, et je me laissais guider par les pas de mon cavalier.

Vous devez pas sortir beaucoup monsieur Neuville, car je suis partout en ville.
Si vous marchez sur mes pieds, vous serez pardonné, je suis là pour passer une bonne soirée et non en vouloir à une personne qui ne sait pas danser.

Lui sourit et continue de lui parler.

Parlez moi un peu de vous ? Qui êtes vous ? Que fêtes vous de la vie ? êtes vous marié et avez vous des enfants ?

Rigole de son bombardement de questions

J'avoue que je suis curieuse.

Mai_lee toujours entre les petits fours et les boissons ,regardait comment elle pour se faufilée,elle sourit et pensait en regardant le chef de la sécurité et la mairesse ,du coup son sort était moins terrible que prévue, elle aurai pus se retrouvait avec lui ,et elle savait comme il aimait les femmes .du coup un cardinale en cavalier serrai bien plus courtois.
Donc c’était la bouche plein qu'elle entendis cette phrase

On m' aurait dit Mai_Lee que je vous aurais trouvé plus vite.

C’était le diacre qui avait marié eristern et amélia ,c’était un souvenir qu'elle aurai bien aimait oubliée mais pendant deux ans qu'elle était parti pour chercher l'amirale les recherche étaient vaines
Elle s’empressa d’engloutir son petit four

VENTRE BLEU luc c'est une grand joie de vous revoir en si bonne forme je voie que vous avez montez les échelon

elle lui fis une révérence ,elle faisait son possible pour pas que son mauvais caractère surgis c’était l'un de ses défauts ainsi que celui de l’accole.


Je suis rentré des que j'ai su mais j’étais trop loin un peux confuse comme pour demander pardon d'avoir manqué a son devoir de mousquetaire  

Un sourire du Cardinal, enfin de Luc vu que il était en civil... a son expression " ventre bleu "
- Hé oui le temps passe vite parfois, j' ai grimpé les échelons du grand mat sans toute fois en atteindre le poste de calife, heu de vigie du grand navire de Pascal...
Un Pape obèse et un Légat mort vivant lui barraient les dernières marches vers le très haut.

- Vous voyagez donc pendant tout ce temps ?... et que devenez vous maintenant ?..

Faisant l' impasse sur les trucs à bulles et autres douceurs il servi deux copieux verres de calva, en tendant un a Mai Lee.
- Trinquons au passé, aux disparus, mais aussi aux survivants et à l' avenir !... avant que de nous risquer à une danse.
Nouveau sourire car ils allaient être le couple de cape et d' épée de la soirée...

Sur le chemin de St Pierre port en Guernesey depuis Rouen, le cardinal décida de faire une petite halte sur paris afin de rencontrer son notaire, quelques banquiers et gestionnaire de fortune ainsi que son attaché de la compagnie la Rose des vents qu'il avait envoyée quelque semaine plut tôt sur paris afin de trouver un local commercial et un espace d'embarquement et de débarquement sur la seine, non loin de paris.

il avait donc prit une chambre dans un établissement hôtelier prés du quartier du Louvre. il ne devait rester que 2 jours tout au plus, ces affaires au mont gaulefier et en la principauté de Guernesey ne pouvait pas attendre et devait être réglée avant la nouvelle année et espérait fêter le premier jour de l'année 1655 avec son fils en ses terres.

Sitôt qu'ont sue que le cardinal était sur paris, un valet était venu le voir le soir du 1er jour, plutôt le chercher. Sa nièce le demandait et espérait sa présence a un bal en la soirée du 22 en la capital organisée par ces soins. il reçut des mains du jeune valet une invitation.
il écrivit donc un petit mot a destination de sa nièce afin de la remercier de cette attention et qu'il lui ferait la joie d’être présent pour ce bal et qu'il lui fesait une exception pour cette soirée car le cardinal était d'habitude peu enclin aux mondanités parisiens.

Vêtu tout de blanc, son habit de bal était surpiquée de fil d'or et d'argent agrémentée de dentelle. un habit qu'il avait fait sur mesure pour l’occasion cher le tailleur officiel de la maison du roi.
Une broche de rose argentée avec une bille orangée en son centre, accrochée sur votre veston agrémentait son habit.
c'est dans cette tenue, sobre mais habillée qu'il était arrivée sur le lieu de la soirée.
il remit au préposée l’invitation et se fit annoncée.

"Son Éminence le cardinal nonce apostolique Arnoldo Roberto Delarosa...."

Perceval senti une petite main délicate se poser sur la sienne. Marie avait accepté de danser en sa compagnie et cela l'emplissait de joie.

Et moi je ne pense pas être le meilleur des cavaliers, mais à nous deux nous devrions réussir.

Perceval lui sourit et l’entraîna sur la piste de danse, ils étaient le premier couple à danser, très vite ils furent rejoint par d'autres couples, mais Perceval ne les regarda pas. Cet instant était consacré à Marie, il aurait tout le temps, plus tard de voir d'autres personnes puisque la soirée promettait beaucoup d'échanges.

Il est des gens qu'il ne faut point surprendre, ceux-là même n'aiment pas votre caractère houleux. Mais si la surprise n'a plus de place dans nos vies, à quoi bon continuer le matin de se lever s'il nous faut répéter chaque jours les mêmes gestes à l'identique ?

Perceval lui sourit entre deux pas qu'il réussirent à la perfection. Les deux jeunes gens étaient enlacés et leur pas les faisaient tournoyer sur la piste.
1, 2, 3 et 1, 2, 3 et 1, 2, 3 et 1, 2, 3...

Aussi, je pense que ceux qui n'aiment pas votre caractère houleusement frais sont hommes, ou femmes, à ne jamais rire et qu'ils ne méritent point de reconnaissance de votre part.

La jeune homme continuait de se concentrer sur ses pas :
(1 2 3) Gauche-droite-gauche (4) Droite (5) Gauche | (1 2 3) Droite-gauche-droite (4) Gauche (5) Droite
Lorsque la cadence de la musique augmenta, il accéléra le pas, se trompant quelques fois, mais réussissant toujours à garder à peu près le rythme.

Dame Marie, je souffre de garder un secret personnel, et je ne connais nulle autre personne que vous à qui je souhaiterais le confier. Me permettez-vous d'alourdir vos épaules d'un fardeau supplémentaire ma chère Marie ?

Et voila ma curiosité satisfaite, n'ai pas le temps de poser d'autre questions le voila qui change de rythme. Pour ne pas tomber je m'accroche un peu plus à lui.

Il était temps que la musique s'arrête, je crois qu'un peu plus je me serai écrouler par terre par le tournis.

tout en souriant je me dirigeais vers le bar.

Mon ami voulez vous boire quelque chose ? cette danse m'a donné soif .

S'il est avéré que la jeune femme a sommé un valet de remettre une invitation à son oncle, il n'avait jamais été question qu'elle soit sa cavalière et ainsi pouvoir gérer au mieux les invités. Mais au vu de certains évènements déplorables, la blondinette se fera une joie d'accompagner son oncle lors de ce bal. Par ailleurs le jeune page annonçant l'arrivée de son oncle, la jeune femme en eut un doux vertige. Va-t-elle enfin deviser avec lui dans un cadre festif et convivial, va-t-elle échanger avec le seul membre de la famille qui lui reste en ce bas monde? Joanna n'ose le croire si bien qu'elle se doit de pincer ses lèvres pour s'en persuader. Puis la hantise de décevoir se dissipant, c'est le décolleté orné d'une broche argentée à la bille orangée que l'italienne rejoint son oncle. Elle s'empresse d'exécuter une gracieuse révérence et de cette timidité encore empreinte d'un reflet juvénile sur son candide minois, la suave voix au chaud accent ne tarde pas à éclore.

Bonsoir Votre Eminence, mon oncle, c'est un honneur que de vous rencontrer en cette ville où j'ai établi ma résidence principale. Bienvenu au bal argenté. Donnez-vous la peine d'entrer mon oncle.

La blondinette s'efface pour ouvrir le passage, puis l'accompagne doucement dans leur marche. Sa furtive observation lui permet de reconnaître en son oncle un homme fort élégant et une stature qui force le respect, voire l'admiration. Pourtant la jeune femme qui souhaite gagner les faveurs de son oncle, espère qu'il saura se montrer chaleureux et aimant. C'est tout ce qu'elle désire. Par deux reprises, elle tente d'aligner quelques mots, mais rien n'y fait, tétanisée par l'éventualité de commettre un impair. Son regard azuré considérant avec tendresse son oncle pendant qu'elle crispe nerveusement ses doigts fuselés aux ongles de nacre, les lèvres s'entrouvent enfin.

Av... Avez-vous fait bon voyage mon oncle? J'espère que cela ne vous incommode pas d'être mon cavalier en cette douce soirée? Vous savez vous n'aurez pas à me supporter longtemps, tous les couples clôturant la valse, vous pourrez si vous le souhaitez côtoyer d'autres invités. Désirez-vous profiter du buffet mon oncle? Ou danser peut-être? Cette fois, Joanna ose franchement le regarder.

Ps: la musique n'est pas arrêtée. Tous les participants doivent poster avant cela. Vous pouvez arrêter de danser pour parler, mais la musique continue jusqu'à ce que Joanna intervienne. Merci!^^

Dés qu'on l’annonça, Il fut introduit dans la salle. il fit quelque pat et s’arrêta pour voir son environnement.
Il y avait foule et la musique rythmai cette atmosphère chaleureuse qui s'y dégageait. les lieux était décorée avec gout et avec soin.
Il reconnut certain visage, cavalier et cavalières a qui il leur fit un salut sincère par un signe de tète amical.
tous était habillée selon la mode en vigueurs sur la capital.
ce n’était pour lui pas un dépaysement totale mais plutôt une insolite sortie. Cela fessait un certain moment qu'il n'avait pas fréquentée les soirées comme celle ci.
Bien sur cela lui rappela les temps ou il était au service des premiers rois de France Pascalien. Peu de chose avait changée sauf bien sur les esprits occupée a d'autre pensées. Cela l'amusa.      

Une délicieuse jeune femme sortie du flots de danseurs qui tournoyait sur la piste de danse. c’était sa nièce avec qui il correspondait depuis ces dernières semaines. La deuxième fois qu'il la voyait. il n'avait pas oublier leur première rencontre ou il l'avait vue dans une auberge en Normandie par hasard.
Toujours aussi bien vêtue et apprêtée, une élégance qu'il reconnaissait bien la du au qualités de la famille delarosa.
elle vient a sa rencontre et elle lui fit une gracieuse révérence. il lui sourit.

Citation :

"Bonsoir Votre Eminence, mon oncle, c'est un honneur que de vous rencontrer en cette ville où j'ai établi ma résidence principale. Bienvenu au bal argenté. Donnez-vous la peine d'entrer mon oncle."

Par précipitation ou peu être par pur timidité, elle dévia son regard et ouvrit la marche. il n'en prit pas note.

Citation :

"Av... Avez-vous fait bon voyage mon oncle? J'espère que cela ne vous incommode pas d'être mon cavalier en cette douce soirée? Vous savez vous n'aurez pas à me supporter longtemps, tous les couples clôturant la valse, vous pourrez si vous le souhaitez côtoyer d'autres invités. Désirez-vous profiter du buffet mon oncle? Ou danser peut-être?"

il lui fit un baise main et déposa un baiser paternel sur son front.

"Une nièce voudrait telle deja abandonnée son oncle au buffet et l'abandonner a d'autre bras ? Je ne peu le croire ainsi."

Il lui sourit et il lui prit la main.

"Ma chère nièce, nous somme très honorée d'avoir eu la chance d'avoir put être convier a cette agreable soirée et d'y assister. Qui puis est vous avez réussie a faire venir une agreable assistance ce soir. La maitresse de maison peu être fière de ce qu'elle a réalisée ce soir. Votre presence et et vous voir était ce que j’espérais le plus au monde et cela me comblerait de joie d’être votre cavalier"

Messire Doe et bien je suis bien heureuse d'apprendre que vous aimez la danse. Et ne vous en faite point je suis un peu rouiller si je puis dire car avec les fonctions que j'occupe il y a très peu de place pour l'amusement l'âmes des Pascaliens en dépend.

elle eut un rire léger.

Et si nous buvions une petit coupe avant de se lancer sur la piste? Question de se réchauffer les muscles un tantinet.

Passant son bras à celui de son compagnon d'une soirée pour se diriger vers les rafraîchissements.

La défunte Reine laissa Luc rêveur... ce demandant laquelle, c' est vrais que Mai Lee était souvent en voyage..pour l' amiral il était certain de sa perte en mer. La dernière fois que il l' avait vu c' était au Mont, a la tête d' un navire au coté d' Amélia, pour aider Pascal a repousser des pirates.. et ça remonté dans le temps. Mais bon a quoi bon raconter cela.
- Une Reine cherchant un Amiral ?... étrange, la seule flotte valable reste la mienne , enfin soit disant celle de Pascal... et nous sommes sous un Régent. Enfin pour le commun des mortels, ce que je ne suis pas vu ma longévité en ces terres.
Un sourire à nouveau car il avait souvent risqué sa tête sur bien des billots.

Il trinquait fortement faire bouger l' écume des verres, avant de vider le sien, et de prendre le bras de sa cavalière vers la piste, enfin suivre les pas des autres danseurs.
-Ho la fougue de Pascal ne va pas plus loin que mon hombre et la longueur de ma rapière. Mais je mets cape à votre vent pour vous suivre dans cette danse en vague.
Un rire avant de lui rendre courbette, que ni l' un ni l' autre n' aimait devant les grands.
- Suer a vos cotés portera surement écumes à nos flancs et aux lèvres de certains.
Bon restait à suivre la musique..

Il prenait, non pas à l' abordage, sa cavalière pour évoluer. Une main sage à la taille, l' autre dans sa main.
- Êtes vous toujours prompte aux voyages sans laisser de latitudes ? ..
Une idée trottait dans sa tête. Il avait toujours une idée, une par minutes ,...une bonne par an.

Marie était ravie de dansera avec Perceval car sa compagnie était charmante et chaleureuse .

La jeune femme rosit assez vivement quand il reprit ses mots  sur son caractère et lui fit remarquer que ces gens là n'étaient pas dignes d'elle.

Tout en évoluant en harmonie dans les bras du jeune homme, la discussion prit une tournure un peu plus intimiste quand son cavalier émit ces mots

Citation :

Dame Marie, je souffre de garder un secret personnel, et je ne connais nulle autre personne que vous à qui je souhaiterais le confier. Me permettez-vous d'alourdir vos épaules d'un fardeau supplémentaire ma chère Marie ?

Le regard sombre de la jeune femme plongea dans les prunelles de Perceval et elle ne put que lui sourire avec douceur .

Mon ami, je suis toute ouïe si je puis vous délivrer d'un quelconque souci, mes épaules peuvent partager encore moult fardeaux avec ceux qui en ressentent le besoin .

1, 2, 3, un pas à gauche, 1, 2, 3 un pas a droite et ainsi de suite, la jeune femme était finalement bien heureuse de s'être laissée tenter par ce bal et se laissait aller dans les bras de son cavalier se laissant guider et quand bien même ils faisaient quelques erreurs en dansant, cela lui importait que peu .

Mlle Adélaïde et Bertrand étaient tous deux face à face. Mlle Adélaïde se demandait bien pour quelle raison formelle il venait la déranger à sa promenade solitaire dans les jardins du château. "Qu'y a-t-il donc Monsieur ?", lui posa la Censuré. Votre personnage n'est pas noble sans autorisation ou RP du JD Roi/Régent. "Je voulais vous voir Mme, car je vous trouve bien mystérieuse.... Vous n'êtes point comme ces autres femmes ouvertes à qui passe devant elle...vous....vous vous cachez, ou plutôt je dirais que la discrétion est votre fin mot. N'est-ce point cela, Censuré. Votre personnage n'est pas noble sans autorisation ou RP du JD Roi/Régent ?", lui confia Monsieur Bertrand. "Peut-être avez-vous raison Monsieur, mais pourquoi venez-vous me parler de cela dans ma promenade ?! J'étais si bien seule, dévouée à mes pensées imaginaires...." Les boucles brunes de Mlle Adélaïde virevoltaient légèrement par le vent glacial de cet hiver. Elles touchaient son cou avec une douceur incalculable ! Monsieur Bertrand l'observait, émerveillé. "Qu'avez-vous dont, Monsieur Bertrand, lui dit-elle, pour me regarder ainsi ? Jamais homme de votre envergure de m'a regardé de cette façon.... J'en suis flattée, Monsieur, très flattée." Et, sachant qu'elle l'avait procurer en lui une rougeur bien visible, elle éclata d'un rire des plus bons et des plus doux qui puisse être. "Euh, Mme, vous me mettez dans une indisposition à laquelle je ne me sens que fort mal à mon aise....". "Et bien, là-dessus je n'en ferai pas plus, Monsieur, si vous me dîtes que vous ne vous sentez pas à la rigolade !" Censuré. Votre personnage n'est pas noble sans autorisation ou RP du JD Roi/Régent le fixait avec bonhomie, dans ses yeux. Ce qu'il fit bien aussi. Ils continuèrent donc de se parler longuement de choses et d'autres, de tel sujets ayant une importance quelconque, pourvue qu'ils passent un bon moment ensemble. Ils s'échangeaient des mots formant de maints arguments les mettant soit en opposition, soit en union parfait de leur âme. Tout cela en marchant tout droit le long des rangés d'iris et de hauts et magnifiques rosiers qui tenaient encore dans ce froid exorbitant. Monsieur Bertrand prenait la main droite de Mlle Adélaïde, une main blanche et voluptueuse, rempli d'un entrain dont il savait qu'elle portait une plume très souvent. "Vous écrivez beaucoup, Mlle ?, interrogea Monsieur Bertrand." "Comment le savez-vous ?". "Je n'ai qu'à regarder votre main parfaite pour m'apercevoir que vous terminez un nombre incessant de pots d'encre en un temps minime." "Il est vrai Monsieur, il est vrai. J'aime cela Monsieur car écrire me fait oublier les temps où mon existence m'était insupportable...Toutefois, je ne point rentrer dans ces détails Monsieur. Si vous voulez bien, nous en reparlerons une autre fois." "Ce n'est pas un problème pour moi Mlle, et j'espère que l'on se reverra bientôt". Sur ce, ils prolongèrent quelques temps leur promenade mais Mlle Adélaïde lui confia qu'il maintenant temps de rebrousser chemin pour regagner le château qui d'ailleurs se trouvait être une beauté extraordinaire. "Savez-vous quand ce bâtiment fut édifié Monsieur ?" "Oh, je pense bien vers 1500, Mlle... Pourquoi, aimez-vous cela ?" "Oui en quelque sorte."

Puis ils revinrent vers le bâtiment majestueux, dont les chandelles à l'intérieur donnait un aspect quelque peu gothique à la façade. Ils rentrèrent de nouveau dans la salle de bal puis se dirent au revoir et se séparèrent. Censuré. Votre personnage n'est pas noble sans autorisation ou RP du JD Roi/Régent Adélaïde était bien satisfaite de cette entrevue car celle-ci lui avait, et elle le sentait bien, procurer un bien des plus fous qui soit.