[RP] Sur la plage d'Eu

Invité

....On arrete...tu es odieuse avec moi, franchement, j essaye d arranger pour que tout aille mieux et qu on discuter...mais tu t en fou...et la se soit encore, tu m'as ignoré et laisser de coté.....

Edern se retourna, pleurant..de colere, de rage, et partit...degouté qu'en plus elle se permette de le salir...

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Elle le regarda interloquer, ne comprenant pas sa reaction, elle le regarda partir ne bougeant pas et ne comprenant pas ce qui lui prenait. Un soupir, elle sentait la colere monter en elle, une colere sourde qu'elle ne voulait pas laissez eclater. Elle retourna sur la berge marchant, essayant de se calmer .... elle sentit quelques douleurs dans le bas du ventre. C'etait vraiment pas le moment, elle etait encore nue, mais n'y preta pas garde et decida de s'allonger sur le sable qui avait garder la chaleur de la vieille, la main posée sur son ventre, parlant d'une voix douce aux bebes, et essayant de se calmer sachant que ce n'etais pas bon pour les enfants ... Elle se mit a pensée a des choses agreables pour s'apaiser et un leger sourire se dessina sur ses levres, elle esperait que personne ne viendrais la deranger pendant qu'elle etait la, ne voulant pas gener certaines personnes

Messages : 13 Date d'inscription : 09/07/2013

l'eau était monté drôlement depuis le temps j'étais submergé jusqu'au cous mais je ne bougeais pas...rien on aurai dit que j'étais morte mais non...je regardais droit devant moi ma robe blanche légère flottait à la surface de l'eau tout autour d'elle une partie de mes cheveux été tremper...J'en ai eu marre de rester dans l'eau depuis 10H30 du soir il il est a peu près 2 heures 3

je me lève et va sur la berge toute trempée quand j'entendais des pleurs et je vu coco s’allonger sur le sol et Edern partager entre la tristesse et la rage

Messages : 233 Date d'inscription : 11/07/2013

Isabella en cette belle fin de journée de chaleur, avait décidée d'aller se promener sur la plage. Elle en avait fort l'habitude étant native de Eu, elle la connaissait bien. Et c'est seule qu'elle s'y rendit. Isabella était femme simple et sans prétention aimant à se trouver seule sur le sable de cette plage.

C'est comme à son habitude qu'elle se mit sur le sable fin, profitant en toute simplicité de la jolie vue.

Elle était fille du peuple et beaucoup de choses lui tourner dans la tête... La vie était si dur pour les personnes telle qu'elle. Mais que faire!! La vie est ainsi faite. Il y a ceux qui naissent avec la richesse, mais au fond sont t'ils plus heureux.. Cela elle ne le savait point. Elle l'était déjà!!! Fort bonne chose. Enfin si on pouvais le dire.

C'est admirative et pensive que l'image de ses parents lui vint, quelques larmes s'écoulaient sur ses joues... Du revers de la main elle essuya ses larmes et prit un grand souffle tentant d'oublier le malheur qu'elle avait subi lors de la disparition de ses parents qui avaient tout fait pour qu'elle soit des plus heureuse. Mais heureuse!! Comment être heureuse quand on sait qu'elle avait perdu ses parents qui on souffert de la faim, de la misère... Comment se dire que la vie est belle quand on sais que la misère persiste de partout dans ce bas monde. Hochant la tête, elle se retourna de nouveau vers la seule chose qui lui reste et lui donne un peu le sourire. La Mer!!!!

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Une soirée en taverne tres douce et belle, un reve, il l'avait raccompagner chez elle, apres son depart, elle aurait du aller se coucher car il etait deja tres tard, mais des emotions l'envahissait et decida d'aller marcher sur la plage. Son coeur battait fort, sa tete etait pleine de belle chose, malgres sa peine, elle se sentait bien, il l'avait raccompagner en parfait gentleman, il s'etait conduite galement et avec une gentillesse infini, elle avait cru rever sur le coup, mais non c'etait bien reel.

Le coeur leger elle marcha le long de la plage de sable fin, la main poser sur son ventre, elle se sentait appaiser, et heureuse chose qui ne lui etait pas arriver depuis bien longtemps. Elle se sentait legere, et bien dans sa peau ... elle marcha reveuse, sans se rendre compte que le soleil se levait doucement

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Il était deux heures du matin, ou trois heures, elle ne savait plus, le temps passait tellement vite quand elle était avec lui, elle aurait aimer arreter le temps, qu'il se fige, et que plus rien ne bouge, son bonheur etant au plus haut point depuis quelques jours, et voulait en profiter au maximum. Elle adorait sa presence, son regard quand il se posait sur elle, ses baisers brulant sur sa peau, ses tendres caresses, et ses attentions a son egard. Il était present pour elle comme elle le serait pour lui, il lui avait demander ce matin de lui parler d'elle un peu plus, afin qu'il apprenne a mieux la connaitre et lui avait promis de lui parler de ne rien lui cacher, ne voulant pas lui mentir ou lui cacher une partie de sa vie.

Blotti contre lui, le bras passé sous le sien, ils sortirent de taverne et allèrent sur la plage, elle lui avait proposer une petite baignade dans la mer, et qui sait peut etre qu'ils finiraient allonger, sur le sable epuisés par une folle nuit d'etreinte passionné, blotti l'un contre l'autre s'endormant, bercer par le bruit des vagues et le souffle leger de la brise.

Au bout de quelques instant, ils arrivèrent enfin sur la plage, elle enleva ses chaussures, et detacha ses longs cheveux roux, les laissant retomber en cascade sur ses epaules, regarde son amour avec une lueur d'espieglerie

Alors mon amour un petit bain vous tenterais t'il ou avez vous peur que je vous coule ?

Elle eu un petit rire amusée, puis se dirigea vers le bord de la plage en courant du mieux qu'elle pouvait avec son gros ventre, puis enlevant sa robe en vitesse, se mettant nue, commencant a entrer dans l'eau, en surveillant l'avancer de Sep, qui arrivait vers elle pour la rejoindre

Messages : 198 Date d'inscription : 17/10/2009 Ville : Eu

La soirée avait renforcé la confiance mutuelle qu'ils se portaient et ils s'étaient encore rapprochés davantage. Après leur longue discussion en taverne, ils avaient décidé de ne rentrer ni chez l'un, ni chez l'autre, préférant la plage, endroit où Coco aimait musarder, où elle aimait venir confier ses joies et ses peines, où elle se sentait sans doute un peu chez elle.

A peine arrivés, elle commença à se déshabiller au fur et à mesure qu'elle avançait vers l'eau. Sep admirait le spectacle : malgré son ventre de plus en plus imposant en ce huitième mois de sa double grossesse, il la trouvait radieuse et voyait en ses courbes fécondes un charme irrésistible.

Quand elle l'invita à le rejoindre, il ne put s'empêcher de lui dire, avant de se mettre à l'eau :

Ma Douce... Vous contempler est un ravissement pour les yeux... Tout comme vous Aimer en est un pour le cœur ! Vous me faites chavirer à chaque instant que je passe à vos côtés !

Puis, il ajouta, sur le ton de la plaisanterie :

Ce qui ne signifie nullement que j'aie une crainte quelconque de vous rejoindre à l'eau !

Il joignit le geste à la parole, laissant choir ses habits un à un sur les quelques pas qui le séparaient encore de la mer. Il plongea dans l'eau et l'enlaça.

Ma Douce, je vous Aime !

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Elle ne put s'empecher de sourire et de rougir en entendant ses propos et en sentant son regard se poser sur elle, malgres qu'il faisait nuit, la lune eclairait assez et on pouvait distinguer les formes, voir meme les couleurs. Elle ne put s'empecher de le regarder quand celui ci se deshabilla pour la rejoindre, se mordant la levre sous la beauté de ce corps musclés et legerement tanné par le soleil. Elle ne put s'empecher de rire quand il plaisanta et se depecha de la rejoindre a l'eau.

Elle n'avait pas attendu longtemps avant qu'il soit nu et qu'il l'enlace lui empechant toute tentative de se sauver ou meme de l'eclabousser au passage. Elle l'embrassa avec une fougue non contenue, puis le regarda dans les yeux, plongeant son regard dans le sien

Je vous aime tout autant mon amour, vous avez su redonner un sens a ma vie et je vous en remercie

Puis avec un air amusée elle s'echappa de ses bras, l'eclaboussant, avant de plonger sous l'eau pour se cacher, lui attrappant la cheville et tirant un coup sec pour le faire tomber dans l'eau, puis elle remonta a la surface eclatant de rire, le regardant avec un air de defi, s'eloignant quand meme doucement et avec precaution pour ne pas se blesser sur une roche ou autre ne quittant pas son amour des yeux guettant sa reaction

Il y avait déjà du monde sur la plage lorsque toute la famille De Lhavilland arrivait pour la journée, au loin on attendait les vagues se jeter sur les rochers, une petite brise de vent très agréable me caressait le visage, main dans la main avec mon tendre époux, nous marchions le long de la plage sur le sable fin et chaud.

Louise et Sara ont l'habitude de venir en ses lieux avec les enfants que déjà Ambre et Richard partaient au devant de nous ce qui me fait sourire. L’air marin les odeurs de la plage, Les essences se mélangent pour envoûter les promeneurs, qui se sentent envahir par une sensation de vrai bonheur. Nous étions heureux de vivre à EU parmi nos amis, je serrais la main de mon tendre amour, en lui disant « je t’aime mon amour »,

- Regarde mon cœur, comme ils sont heureux ici à EU, c'est une autre vie pour les enfants ainsi que pour nous.

Nous allions nous installer à l’ombre d’un arbre, sur une couverture, regardant l’horizon blottie, dans les bras de mon tendre époux, posant ma tête sur son torse, un peu de repos avant de faire une ballade.

Puis aider Ambre à ramasser des coquillages, comme je le faisais souvent chez nous la bas au pays, tout en me souvenant les colliers que nous confectionnions avec mes amies, le soir lorsque nous rentrions de la plage, je me précipitais à notre domaine, je trouvais ma mère et ma tante à discuter autour d’une tasse de thé, leur offrant les colliers de coquillages aux multiples couleurs.

- Au fait mon amour, tu n’avais pas commandé un bateau ? Tout en plongeant mon regard émeraude dans les siens bleu azur.

Messages : 225 Date d'inscription : 13/02/2013 Ville : là où j'y ai un interet

Eu, finalement j'y suis revenu. Pourquoi ? Parce qu'à Amiens il n'y a plus rien qui me retienne, du moins pas grand chose. Maintenant qu'Elise est repartie, l'ennui me reprend, les gens sortent peu et à part Wolfgang il faut avouer que je n'aime pas beaucoup les nouveaux amiénois. Rosy m'a demandé pour voyager avec moi, aujourd'hui, Victoria nous a rejoins, il ne doit plus y avoir grand monde là bas...

Je suis en route pour rentrer à la cabane dont Rosy m'a laissé les clés. Je ne comprend pas bien ce que les gens trouvent à la plage, à la mer...Pour moi ce n'est que mort et désolation, et pour cause...

Le petit port de Kinvara en Irlande, près de Galway. Nous avons quitté le pays mon père et moi à la mort de ma mère alors que j'avais 9 ans. Depuis nous avons traversé de nombreux pays d'Europe et navigué sur les mers, allant jusque dans les pays du Sud à la recherche d'épices rares. Non, mon père n'était pas un marchand. Il vendait ses services au plus offrant et n'ayant connu que ça, j'ai suivi ses traces...Je l'ai perdu alors que j'avais 14 ans, lors d'un de ces nombreux voyages où je le suivait...

Mon père était loin d'être un enfant de choeur et ce jour là, nous étions à bord d'un navire rempli de pirates. Voilà une chose que nous avons en commun avec eux : l’appât du gain et ce jour là il y avait gros à gagner. Un navire rempli d'or provenant d'Espagne devait croiser au large de Santa Pola. Les pirates avaient une stratégie : les attendre, dissimulés derrière l'ile de Saint Paul ou Ile Plate (aujourd'hui : Tabarca) et les surprendre à cet endroit.

L'effet de surprise avait eu son effet, l'abordage avait parfaitement fonctionner, mais les canons espagnols étaient puissants...La bataille fut longue. De là où j'étais je ne pouvais pas voir grand chose, mais j'entendais tout ce qu'il se passait. Le bruit des canons, les cris des hommes qui rendaient l'âme, les fers qui se croisaient. Mon père m'avait envoyé dans la cabine du Capitaine, il ne voulait pas que je participe à ça malgré mes réclamations. J'avais quatorze ans, pour moi, j'étais un homme et j'avais les capacités pour faire partie pleinement de cet équipage. Il m'avait entraîné pendant des années, je me sentais prêt. Je rageais intérieurement d'assister à cette scène sans pouvoir faire quoi que ce soit et au bout d'un moment, je n'ai pu m'empêcher que de désobéir à mon père.

Je suis sorti de la cabine et me suis mêlé aux hommes. Lorsqu'il l'a remarqué, il m'a rejoint pour me ramener à l'abri. C'est là que tout a basculé...

Messages : 225 Date d'inscription : 13/02/2013 Ville : là où j'y ai un interet

Suite de l’histoire…

Tout a basculé parce que j’ai désobéit à mon père, parce que j’ai attiré son attention et l’ai rendu moins vigilent, parce qu’il s’est occupé de moi avant de s’occuper de lui-même.

Ce jour-là, j’ai vu la seule personne pour qui j’avais de l’affection succomber sous mes yeux à cause de ma bêtise. Sous la colère, je n’ai même pas réfléchit et ai attaqué l’homme qui venait de le tuer, désobéissant encore une fois à une des règles principales que mon père m’avait enseignées : ne jamais attaqué dans la colère. Il n’a pas eu beaucoup de mal à me mettre à terre et si bateau n’avais pas commencer à chavirer du fait de l’attaque des canons, il m’aurait sans doute achevé.

Les espagnols sont repartis, laissant le bâtiment couler avec moi et quelques hommes qui agonisaient à mes côté. Je ne sais pas si j’ai une bonne étoile ou si Dieu voulait me punir d’avoir désobéit en me laissant vivre avec ça sur la conscience, mais j’ai réussis à me sortir de là et à rejoindre l’ile Plate à la nage ou plutôt à nager un moment avant de m’échoué sur la plage pour être honnête.

L’endroit était rempli de pirates barbaresques qui m’ont en quelque sorte adopté, ayant compris ce qu’il s’était passé au large. Avec eux, je suis devenu ce que je suis aujourd’hui : quelqu’un qui ne se préoccupe que de lui-même. Mon père était un homme que j’admirais, mais il avait un tort : celui d’avoir un fils, une attache, c’est ce qui lui a coûté la vie. Je me suis donc juré ce jour-là que jamais je ne commettrai la même erreur.

Je reviens dans le monde présent quand j'arrive en vue de la cabane, j'y entre, me déshabille et vais m'allonger, j'ai besoin de repos et de chasser toutes ces pensées.

Messages : 120 Date d'inscription : 22/02/2013

(plus tard peu avant l'aube)

La soirée avait été étrange, vraiment très étrange. Pour la première fois depuis leur rencontre et la première rencontre, Mariana et Gregory s'étaient parlés et découverts comme jamais. Elle le connaissait assez pour remettre en doute sa sincérité tout comme elle en savait assez pour croire que quelque-part au fond de lui il y avait une infime part de vrai. Son instinct lui disait de s'enfuir, retourner à Amiens? La meilleure solution certainement.

Elle n'avait pas le droit de nouer le moindre lien avec lui, c'était comme contre-nature, elle est là pour le haïr, pas l'aimer. Elle se le refusait mais il faut dire qu'il ne lui rendait pas la tâche très facile. Il avait failli l'embrasser et jamais le coeur de la jeune espagnole n'avait tambouriné aussi fort dans poitrine. Ils avaient beaucoup discuté, mais ils ne voyaient pas les choses de la même façon, du moins l'éducation très stricte de Mariana la fermait à ces perspectives. Finalement ce petit faible s'estomperait de lui-même et tout rentrera dans l'ordre. Enfin c'est à espérer, mais Mariana n'allait pas se battre avec la horde de donzelles qui poursuivait Greg. Ils pourraient au moins être amis ce qui si on revient à des mois plus tôt relève déjà du miracle et à de la trahison pour la famille de la belle.

Ils se taquinaient et il fallait l'avouer, elle aimait ça. L'atmosphère était redescendue et plus légère en fin de nuit. Et elle avait fini par lui dire qu'elle n'était pas fatiguée et que si les lueurs de l'aurore pointaient déjà, elle était partante pour une course jusqu'à la plage et que le dernier arrivé aura droit à un plongeon! Elle avait ôté ses chaussures, il disait qu'il avait de plus grandes jambes mais elle serait plus rapide pieds nus, et surtout elle était rusée.

Elle avait soulevé ses jupons et l'avait embrassé sur la joue dans le but de le déstabiliser et profita des dix secondes qu'il eut la grande bonté de lui accorder pour filer en direction de la plage à toute vitesse et dans un éclat de rire.
Elle se retournait à quelques reprises pour voir s'il ne la rattrapait pas. Son rire glissait sur les maisons endormies alors qu'elle accélérait ses pas. L'air iodé qui s'amplifiait à mesure qu'ils se rapprochaient de la plage, annonçait la fin du suspense et le gagnant de cette course improvisée.

Messages : 225 Date d'inscription : 13/02/2013 Ville : là où j'y ai un interet

Il est tard, ou tôt, selon le point de vue. L'aube commence à pointer son nez quand nous quittons l'auberge Victoria et moi. La fin de la soirée en sa compagnie a été étrange. Il y a eu un rapprochement et finalement...J'ai reculé. qu'est ce qui m'a pris ? C'était mon but depuis le départ de tout faire pour la séduire pour parvenir à mes fins. J'étais à deux doigts d'y arriver et...Rien. Je l'ai laissée me filer entre les doigts.

Finalement, la conversation a dévié, ce n'était pas forcément plus mal, je n'étais pas vraiment moi-même. La fatigue peut-être en plus de la chaleur de ces derniers jours ? En tous cas, je ne sais plus comment c'est venu, mais elle m'a lancé un petit défi alors que nous allions sortir.

Un pari, simple au demeurant : une course jusqu'à la plage. Le perdant finit à l'eau. Ben si elle croit que je vais la laisser gagner si facilement, elle rêve et même si je finis à la flotte, elle ira avec moi ! J'ouvre la porte, le départ est donné, je la laisse passer devant avec un temps d'avance.

La tricheuse ! Je lui ai déjà laissé dix secondes d'avance pour sa petite course et voilà qu'elle tente de me déstabiliser pour en gagner encore davantage ! Si elle croit qu'elle va s'en tirer aussi facilement, elle ne me connait pas. Je en sais pas dire non à un défi quel qu'il soit, mais quand il est initié par une belle jeune femme, ça ne me donne que plus envie de le relevé.

Je la laisse prendre un peu d'avance, amusé de la voir courir avec ses jupons dans les bras, ça ne doit vraiment pas être pratique. Je referme la porte de l'auberge derrière moi et me met en route direction la plage.

Spoiler:

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Ce soir elle decida d'aller sur la plage, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu ce besoin de se rapprocher de la mer et de son silence. Des contractions se faisaient sentir et elles étaient douloureuse, Sep était tres occupé depuis quelques jours et passait tres tard ou pas du tout quand ses obligations le retenait et qu'il ne pouvait pas deleguer. Elle comprenait qu'il ait beaucoup de travail, car son domaine demandait beaucoup de travail et elle ne lui en voulais pas mais il lui manquait enormement et avait du mal a supporter ses longues absences, mais elle ne disait rien ne voulant pas l'inquieter ni le culpabiliser, elle était heureuse a ses cotés et meme si elle le voyait peu, elle savait qu'elle le verrait le soir soit chez lui, soit chez elle.

Elle devait se rendre chez son amour ce soir, mais elle avait besoin de se detendre, elle enleva ses chaussures et releva sa robe, puis elle entra dans l'eau, jusqu'au cheville poussant un soupir d'aise, l'eau fraiche lui fit un bien fou, elle regarda aux alentours voir si personne ne se trouvait dans les environs, et decida de se baigner, la lune était cacher et donc lui promettait de l'intimité et de la tranquilité.

Elle fit glisser ses vêtements puis rentra dans l'eau doucement, puis une fois completement rentrer commenca a nager sentant les douleurs s'estomper au fur et a mesure lui faisant un bien fou, et la detendant

Messages : 120 Date d'inscription : 22/02/2013

Mariana riait, se rattrapait quand elle manquait de chuter pour repartir de plus belle. Il se rapprochait dangereusement d'elle, la faisant lâcher un petit cri de nervosité. Il réussit à la dépasser peu avant l'arrivée, elle accéléra. Elle était plutôt sportive en Espagne, elle montait à cheval, elle dansait, elle s'entraînait à l'escrime quand elle ne nageait pas de longs moments dans le lac ou la mer.

Depuis quelques-temps elle s'était relâchée, elle avait dû perdre de sa forme ou Gregory était très rapide également. En y réfléchissant, vu la vitesse à laquelle il a fuit l'église le jour du mariage avec Carmen, c'est qu'il court aussi très vite.
Elle reprit l'avantage, et taquine jusqu'au bout, le provoquait avec moquerie.

Hum Abuelo* on se traîne? Je vous aurais cru plus endurant.

Les pieds nus de Mariana rencontrèrent le sable, elle était arrivée...mais lui aussi. Il avait réussit à la rattraper. Il n'y avait aucun doute, ils étaient arrivés en même temps ou à un grain de sable près, mais elle avait horreur de perdre. Et comme elle ne manquait pas de culot, elle claironna un large sourire aux lèvres

J'ai gagnéééééééééé!!! A l'eau mon cher!

Elle reprit son souffle et le poussa dans la mer.

A l'eau, à l'eau, non mais à l'eau quoi.

Elle riait en le poussant avec son corps pour le faire tomber.

(*papy, grand-père)

Messages : 225 Date d'inscription : 13/02/2013 Ville : là où j'y ai un interet

"Non mais tu vas voir le papy s'il se traîne !" voilà ma pensée alors que je commence doucement à la rattraper. Si elle croit que je vais la laisser gagner, elle rêve. Un pari est un pari, dans d'autres circonstances j'aurais peut-être joué les "galants" en la laissant me dépasser, et déjà là je lui ai laissé une avance, mais c'est pas pour ça que je la laisserai gagné volontairement.

Finalement, je la rattrape et on arrive à peu près en même temps mais voilà que mademoiselle se déclare gagnante ! Ben tient et puis quoi encore ? Déjà comme ça, si on est arrivé en même temps c'est parce que je lui ai laissé 10 secondes, rien de plus !

Comment ça vous avez gagné ? Vous n'avez rien gagné du tout !

Non mais c'est qu'elle se moque de moi en plus ! Et elle me pousse pour me foutre à l'eau ! Ok, tu veux jouer, on va jouer. Je la laisse faire, comme si avec ses petits bras elle était assez costauds pour réellement pouvoir me mettre à l'eau. Je recule jusqu'à commencer à entrer dans l'eau et l'attrape juste avant qu'elle n'y arrive elle aussi. Je pivote sur moi même tout en la tenant pour la forcer à y entrer.

On va voir qui de nous deux va finir trempé !

Messages : 120 Date d'inscription : 22/02/2013

Elle le poussait à bout de bras et de temps à autre utilisait le poids de son corps et ça semblait fonctionner puisqu'il reculait dans l'eau. Elle riait, se répétant "je suis la plus forte tu vas boire la tasse mon petit père", mais tout à coup sans même réaliser ce qu'il se passait, elle se sentit décoller du sol pour atterrir dans l'eau. Elle allait protester mais une vague se mêla au complot, la forçant à se taire.

Elle maugréait, en se redressant, sa robe rouge collant contre sa peau et ses cheveux dégoulinant en une longue cascade.

Oh ça ça va se payer!

Elle s'élança pour lui sauter dessus et le faire basculer dans l'eau, l'attirant contre elle de toutes ses forces. Cette fois elle eut bien envie de remercier les vagues qui lui apportèrent de l'aide.
Elle se laissa tomber sur lui, plongeant son regard mutin dans le sien.

Avouez que j'ai gagné!

Pour la première fois depuis longtemps, elle s'amusait sans se forcer, elle avait réellement lâché prise. Elle n'était plus en proie à ses doutes et ses questions, elle était elle-même, et passait un bon moment avec son "ennemi". Elle se sentait enfin légère, sans la culpabilité qu'elle ressentait constamment de l'apprécier alors qu'elle ne le devait pas, ils étaient seuls sur cette plage française, loin de toute cette folie, de sa famille, de cet honneur qui l'emprisonnait et l'étouffait. Demain les démons de la honte qui la hantent pour se venger de cette trahison qu'elle avait commise, et celle qu'elle commettait encore, reviendraient à la charge. Mais aujourd'hui, elle était libre, et elle profitait de cette soudaine inconscience.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

[Vendredi 2 août]

Pour pouvoir apprécier le plaisir d'un moment de détente particulier, c’était fort simple. S’aventurer au bord de l’océan et au bout de quelques minutes de marche, vous arrivez sur la plage. Vous enlevez vos souliers et vous commencez à marcher pieds nus au bord de l’eau et puis, pour agrémenter le tout, un petit vent marin vient vous caresser le visage et les cheveux. Vous inspirez fortement cet air iodé qui vous ravigote les voies respiratoires et vous fermez les yeux pour apprécier le plaisir de ces éléments naturels que vous procure Dame Nature. Ajouter à cela, une douce main féminine qui se glisse dans la vôtre, entouré de cris et de rires joyeux enfantins, cela vous donne que du bonheur.

Une pression de sa main et un « je t’aime mon amour » me sortaient de mon rêve d’opaline, j’ouvris les yeux et pour lui répondre, je me penchais sur son magnifique visage pour lui offrir un doux baiser de tendresse puis levant les yeux au ciel, le soleil était au rendez-vous, baissant mon regard sur le large, je dégageais un sourire radieux, et de voir nos enfants courir, crier et rire aux éclats, notre bonheur était complet.

En effet, ma chérie, cette plage fait le bonheur de nos enfants. Ils s’y plaisent fort bien et il serait grand temps de leurs apprendre à nager. Tu apprendras à Ambre et Marine et moi, à Richard, Aurore est encore trop jeune.

Installés sur une couverture à l’ombre d’un arbre, ma douce blottie dans mes bras, nous regardions l’horizon en silence, écoutant le bruit des vagues s’échouaient sur le sable lorsque ma douce interrompit cet instant de quiétude en me parlant de la barque de pêcheur de la famille Santini.

C’est exact, j’ai bien commandé une barque de pêcheur, elle est ancrée au port. La vente doit se faire bientôt et je leurs ai promis de passer les voir avec toi afin de traiter l’affaire. Ils demeurent dans une cabane de pêcheur non très loin d’ici, d’ailleurs. Quand tu voudras, nous irons.

Messages : 225 Date d'inscription : 13/02/2013 Ville : là où j'y ai un interet

Elle a voulu tricher ben à la flotte la demoiselle ! Non mais, elle a pas gagné du tout, non seulement elle avait de l'avance mais on est arrivés en même temps ! Je la regarde...C'est qu'elle s'excite ! Comment ça ça va se payer ? Ah ben non je suis pas d'accord moi ! Je n'ai même pas le temps de comprendre ce qu'il m'arrive qu'elle me saute dessus la tigresse. Elle fait tout pour me noyer, j'en suis sûr, c'est un complot ! Je résiste un moment mais la mer semble aussi déchainée que cette folle furieuse qui m'agresse !

Me voilà bientôt à rejoindre les vagues, je n'ai que le temps de me redresser pour ne pas boire la tasse que je la vois au-dessus de moi. C'est qu'elle veut m'extirper des aveux en plus ! Je prend un air abattu et fais comme si elle avait effectivement gagné, que je suis prêt à baisser les armes et lever le drapeau blanc mais ça, c'est mal me connaitre.

Je lâche un soupir et la regarde...Tout en profitant d'ailleurs de la vue qui s'offre à moi tant qu'à faire...Autant dire que mes yeux se baladent et ne sont pas forcément posés sur son visage.

Finalement, je pose mes mains sur sa taille et relève le regard vers elle, sans doute doit-elle penser que je capitule. Mais au dernier moment, je resserre mon étreinte et la fait basculé dans l'eau.

Avouez quoi ? C'est vous qui allez avouer ! Je n'ai pas perdu du tout !

Je souris assez amusé de la situation et de voir ce retournement. Elle croyait quoi ? Qu'il suffisait de réussir à me foutre à la flotte pour gagner ? Elle me connait pas !

Messages : 120 Date d'inscription : 22/02/2013

Et c'est qui la plus forte? C'est moi!!! Elle rit, elle jubile, elle a le menton relevé, le regard fier, elle savoure sa victoire là la belle espagnole, mais qu'elle profite, elle ne sait pas encore qu'elle va subir un retournement de situation; et dans tous les sens du terme. Elle le sent faiblir, il se résigne, il semble avoir accepté la défaite, et elle, elle le domine, penchée sur lui alors qu'elle s'assoit à califourchon sur le corps de sa "victime".

Elle ne réalisait pas vraiment que le tissus de sa robe trempée laissait apparaître ses formes et que Gregory avait les yeux dessus. Et en cet instant elle était bien trop joyeuse pour s'offusquer de cette broutille, qui en d'autres circonstances aurait valu une gifle. Pas seulement pour avoir regardé, mais pour profiter pour glisser les mains sur sa taille. Le coeur de Mariana s'emballa alors qu'il resserrait son étreinte et tout à coup une envie qu'elle ne cessait de réprimer, revint en force. Elle fut troublée de ce sentiment soudain, tellement qu'elle ne réagit pas quand elle se sentit basculer sur le côté. En un temps bien plus court qu'il ne faut pour le dire, ils avaient échangé leur place.

Elle revint à elle et fit mine de se débattre, mais les rires prirent le dessus sur les poings et elle relâcha les bras sur les vagues qui s'écrasaient sur leurs corps.
Elle le regardait au travers de ses cheveux plaqués sur son visage, un sourire aux lèvres.

Jamais je n'avouerais quoi que ce soit. J'ai gagné !

Elle riait mais jamais elle n'avouerait ça c'est certain. Elle est têtue et quand elle dit quelque-chose elle n'en démord pas.

Le perdant offre le petit-déjeuner. Alors on fait comment?

Le soleil se levait déjà, ses rayons rose-orangé reflétant sur l'écume, éclairait le visage de Mariana. Elle se dégagea pour retourner s'asseoir sur le sable et assister au spectacle qu'offrait la nature. Elle invita Gregory à la rejoindre.

Avez-vous déjà vu quelque-chose de plus beau et de plus étonnant qu'un levé de soleil? Peu importe le déroulement de la journée, quand on assiste à son réveil, elle ne peut être qu'excellente.

Elle resta un moment à admirer l'horizon, perdue dans ses pensées, puis elle se leva brusquement, un large sourire aux lèvres. Elle tendit la main à Greg pour l'aider à se relever, mais elle la retirait aussi vite par taquinerie, sautillant en direction de la maison.

J'ai faim! Allez venez je vous invite.

[Vendredi 2 août après midi]

Nous étions installés sur une couverture, je savais que mon tendre époux savourait ces instants de repos, une légère brise caressait doucement mes cheveux, un petit air marin un bien être m’envahissant, on pouvait entendre les cris et les rires de nos enfants sous l’œil vigilant de notre Louise.

Je pense que tu as raison mon amour il est temps d’apprendre a nos enfants de savoir nager, tu sais mon amour c’est avec joie que nous leur apprendrons à se sortir de l’eau à la nage. Chez nous là-bas dans les Iles, nous avions une cascade ou chaque jour d’été avec mes ami(e)s nous allons faire des plongeons, des après midi, nous passions notre temps à rire, jouer comme des petits fous

Tout embrassant mon tendre époux, croisant mes doigts dans les siens, oh oui que nous étions bien jusqu'à que je lui parle de la barque.je l’écoutais aussi attentivement.

Tu veux dire monsieur Santini? le vieux pécheur celui qui m’a tant donné de conseils pour la pêche ? c’est une bonne idée mon amour nous irons ensemble, ce vieux pécheur est si gentil, je crois aussi qu’il est menuisier de son métier..

Je regardais au loin à l’horizon la mer si belle, si bleu , on dirait un océan de bonheur pour ceux qui savent la respecter, elle pouvait engloutir ou bien vous bercer de beaux et doux rêves.

Messages : 225 Date d'inscription : 13/02/2013 Ville : là où j'y ai un interet

La situation vient d'être inversée. La fière espagnole se retrouve à la merci des vagues. Je me retrouve au dessus d'elle et, cette petite sensation de victoire passée, je la regarde. Elle a les cheveux en bataille, elle est trempée, elle ne ressemble plus à grand chose et pourtant...A cet instant, je n'ai qu'une envie, joindre mes lèvres aux siennes. Son sourire me trouble et pendant une fraction de seconde j'oublie où je suis. Elle se redresse en riant, ce qui me ramène sur terre.

Je fini par la suivre sur le sable sans vraiment répondre à sa question. Elle n'en démordra pas et moi non plus, il n'est pas questions que je m'avoue vaincu alors que ce n'est pas le cas. Je m'assied à coté d'elle et la regarde bien plus que je ne regarde le ciel qui rougeoie. Je souris légèrement et répond à sa question même si je n'ai pas fait plus attention que ça au ciel :

Vous avez raison, c'est magnifique.

Nous restons là un petit moment sans parler jusqu'à ce qu'elle se relève d'un bond. Je suis un peu surpris par ce changement d'attitude soudain quand finalement elle me dit qu'elle m'invite.

Ainsi donc vous m'inviter même si vous refusez d'avouer votre défaite ? Ou est-ce un début d'aveu que vous faites là ?

Je souris légèrement, c'est devenu un véritable plaisir de l'embêter. Je me doute bien qu'elle va nier, mais qu'importe au fond qui a gagner ou non, on s'est bien amusés.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

J’écoutais ma douce me parlait de son pays lointain, les îles qui devaient être enchanteresses puisqu’elle m’en parlait avec amour et passion. Je l’imaginais jouvencelle, des fleurs dans les cheveux, le teint de sa peau doré par le soleil, un collier de perles et de coquillages autour de son cou gracile et plonger nue dans la cascade et nager comme une sirène. Je souriais en la regardant, à l’image que je me faisais d’elle tout en lui pinçant son petit bout de nez puis lui soulevant le menton avec mon index, je posais à nouveau mes lèvres sur les siennes pour un tendre et doux baiser.

Je sais mon amour que tu as souvent le mal du pays mais bon, il est vrai que la ville d’Eu avec sa plage et son port sont loin de ressembler à tes îles paradisiaques et l’essentiel, c’est qu’on s’y trouve bien.

J’appuyais ma tête contre le tronc de l’arbre pour laisser mon esprit vagabonder vers le large, pensant à la pêche miraculeuse qu’on pourrait faire avec cette fameuse barque de pêcheur. Nous aimions tous les deux aller pêcher, par contre elle avait le pied marin et moi point et rien que d’y penser, je sentais une petite nausée me chambouler l’estomac. J’inspirais profondément pour lui répondre par crainte d’hoqueter.

Oui c’est bien cela, le vieux Marco et son fils Luigi… Marco, menuisier ? J’en sais trop rien, peut-être dans sa jeunesse, moi je l’ai toujours connu marin pêcheur depuis que nous sommes arrivés à Eu… Mon amour, repose toi un moment, je vais aller jouer un peu avec les enfants.

Messages : 120 Date d'inscription : 22/02/2013

Elle riait doucement, elle était heureuse en cet instant et elle aurait voulu que le jour ne se lève jamais, malgré la beauté du spectacle. Elle avait senti le regard de Gregory sur elle, prise entre le bonheur et l'inquiétude des battements assourdissants de son coeur qui annonçait les prémices d'une idylle interdite. Ils s'étaient amusés comme deux enfants, en toute innocence, même si les sourires et les regards échangés semblaient affirmer le contraire.

Elle courait dans sa direction alors qu'elle était arrivée devant la maison, et dans un sourire charmeur, elle s'était avancée au plus près de lui pour lui susurrer, le regard espiègle,

Je n'avouerais rien!

Avant de s'échapper d'un rire cristallin.

Mais je meurs de faim.

Elle poussa la porte et l'invita à entrer. Elle l'entraîna vers la cuisine et demanda au personnel en charge de l'entretien de la maison du roi et de la comtesse, de les laisser.

Alors... Au choix, du chocolat avec des tartines et de la confiture, ou je vous fais une petite omelette façon Victoria.

Elle déposa une bûche dans l'âtre et sortit la vaisselle nécessaire.

Installez-vous je vous en prie. J'espère que ça ne vous dérange pas de manger dans la cuisine, personnellement quand je suis seule je préfère que d'aller dans une salle trop grande et trop vide, surtout que ce n'est pas chez moi. Mais vous êtes mon invité alors vos désirs seront des ordres.

Elle lui sourit et s'excusa avant de se diriger vers sa chambre pour revenir un moment plus tard, vêtue d'une robe pâle, contrastant avec le doré de sa peau, et des vêtements secs pour Gregory.

Tenez ce sera plus confortable que vos habits mouillés.

Elle ne savait guère à qui appartenait ces vêtements, ils étaient rangés dans une armoire, mais vu la taille, le propriétaire devait être relativement grand. Elle rejeta ses longs cheveux mouillés et bouclés en arrière et se mit aux fourneaux en chantonnant gaîment.

[toujours de 2 août]

Souvent je parlais avec mon tendre époux de mes îles lointaines, de mes amis, de mes parents, mais lorsque nous sommes une jeune fille insouciance à la vie qu’elle vous sourit, il n’a rien de plus beau, de plus nostalgique avec un petit pincement au cœur que de repenser aux siens.

Est- ce l’air? le climat d’EU me rappelant tant de souvenir ? le cri des mouettes lorsque les pécheurs reviennent au port ? les coucher de soleil, la petite brise venant du large ?

- C’est vrai mon tendre amour ici on se trouve bien, loin de tous, et entourer de ceux qu’on aime, j’aime cette ville mon cœur, EU me rappelle un peu les îles, j’étais encore une toute jeune fille de 16 printemps lorsque je suis partie de là-bas. Oh tu sais quand on se souvient, on se souvient que des belles choses que la vie nous donne.

Tout en souriant à mon tendre époux, me soulevant le menton et m’embrassant tendrement , plus rien n’avait d’importance que lui et moi, passant mes bras autour de son cou je l’embrassais avec passion et tendresse.

J’aimais aussi la pêche, aller au large pensant aux gros poissons que nous pourrions ramener. mon époux n’avait pas le pied marin, je l’avais remarquer il y a bien longtemps , souvent j’en souriais de le voir « le pauvre » blanc comme un linge, avec quelques nausées alors que moi j’aurais braver les océans, hisser la voile comme un brave moussaillon , aller plus loin, toujours plus loin, taquiner au large le poisson, j’en souriais en regardant mon tendre époux, l’écoutant parler du vieux marin.

- Oui c’est bien lui , mais son fils doit être un homme maintenant, il était meunier de son métier , un jour alors que j’étais à la pêche je discutais avec lui sur les bord de la berge, il m’a apprit à ferrer le poisson, comme il me disait « il faut le taquiner un peu »..

je me reposais à l’ombre de l’arbre, tandis que mon amour allait jouer avec les enfants, je les observais, j’avais de la chance d’avoir ma famille, mon tendre époux ,nos enfants, et bientôt notre famille s’agrandirait , j’étais heureuse de ce bonheur si chèrement construit au fil du temps, avec ses joies et ses peines, plus rien n’avait d’importance que notre famille.

» [RP Privé]Pique nique au bord de plage
» [RP]Au bord de la plage
» [RP] Une maison près de la plage
» [RP] Le petit nid de Rosy sur la plage.
» [RP]Au bord de la plage, c'est chez Cara