[RP]Auberge "Un ciel bleu d'été"

Il fallait qu'hélèna se calme pour l'enfant qu'elle porte, mal! oui , elle avait mal, son époux la réconfortait de son mieux, les images de cet après midi, les regards accusateurs et narquois sur elle, ont fait leur effets, jamais elle n'oubliera cet entretien qui avait tourner au désastre à son avis, elle tremblait, se tenant le bas ventre, des larmes coulaient le long de son visage se serrant contre son tendre époux lui essuyant des ses pouces le trop de larmes.

- Je veux partir, je veux rentrer à la maison, je ne veux pas perdre notre enfant, si il venait maintenant il ne vivrait pas, pourquoi ? pourquoi s'en prendre à moi, je ne suis rien , je suis ton épouse ..

Wesley dont la doctrine, omniscience, son humanisme d'un grand médecin n'avait rien à prouver, il savait ce qui est bon pour son épouse, même la reine avait confiance, son expérience n'est plus à prouver.

La porte s'ouvrit à nouveau et si c'était lui, où ses gardes, prise de panique, Hélèna suivait du regard l'homme, d'un pas il s'approchait d'une table prendre une cruche d'eau, le reconnaissant, c'est l'homme de tout a l'heure venu avec ses hommes, il venait de parler, il devait connait son époux , l'appelant par son prénom, la duchesse était sortit a sa suite, après s’être excuser auprès du prince, Hélèna observait le regard de celui-ci, à ce moment là, elle en concluait que c'était l'époux de la duchesse.

- Pas l’hôpital, pas l’hôpital, mon amour.... non ....pas l’hôpital, partons . répétait elle sans cesse, serrant d'avantage son époux cherchant son regard, désappointée de la situation dont elle n'avait rien à faire, une visite de courtoisie tournait à un cauchemar.

Elisabeth entendit son époux parler, elle le rejoint et vit la désertion. Plus un chat et Héléna qui semblait mal.

Madame la Baronne y’a-t-il quelque chose ? Ils sont déjà partit ? Elle posa la liste du fret en partance pour Londres. Pouvons-nous vous aider ?

Ely était un peu pommée mais elle voyait bien que cette journée du 19 août était maudite.

Je soutenais ma douce Hélèna sous les aisselles et à chaque pas, ses jambes fléchissaient. La colère monta encore plus en moi contre ce type, ce dégénéré dangereux pour lui et les autres qui se faisait appeler Prince. Il l'avait eu l'audace de l'attaquer pour m'atteindre à travers mon épouse et cela prouvait son manque de civilité, de respect, de savoir vivre envers autrui. Il était aussi petit que son île où il avait fermé ses frontières et recevait les étrangers comme des prisonniers voire des moins que rien mais pour qui se prenait-il, ce freluquet de pacotille qui n'avait point de noblesse de coeur à part celle d'agresser et d'insulter les honnêtes gens qui lui faisaient en plus visite de courtoisie. Avait-il conscience qu'il avait agressé et insulté le Roi de France et de Navarre, bien sûr non, il était bien trop sot et imbu de sa personne pour s'en apercevoir et les habitants de l'île lui faisaient confiance et ben, je les plaignais sincèrement.

Un Prince de ce gabarit, j'en faisais un tous les matins ou j'en écrasais un souvent sous mes semelles et s'il arrivait malheur à mon tendre épouse et à l'enfant qu'elle portait, même tout Prince qu'il était, il avait intérêt à bien se cacher dans son palais merdique quitte à y laisser ma vie. Au moins j'aurais oeuvrer pour le bien de son peuple. Mes pensées s'entrechoquaient tellement que j'avais des maux de tête. Je regardais mon épouse qui se trouvait encore dans un état de nervosité extrême malgré les calmants et je sursautais légèrement lorsque la porte de la l'arrière salle s'ouvrit et que Romeuf s'avançait dans la salle où nous étions et nous demandait si nous avions besoin d'une calèche pour nous emmener à l'hôpital ou ailleurs, je repris mon calme et lui répondis avec un sourire amical...

- Je vous en prie, Romeuf, appelez-moi Wesley ! Nous sommes de vieille connaissance et je suis toujours resté simple comme vous m'aviez connu auparavant. Nous savons vous et moi ainsi que nos épouses, ce que veut dire la noblesse du coeur car nous en sommes pourvus et eux, ils ont la noblesse des titres et une pierre à la place du coeur et vous, Romeuf, vous venez de me le prouver en voulant nous aider et ce geste, je ne l'oublierai jamais...

Aujourd'hui icelieu, il s'est joué un affront monumental à l'encontre du Roi de France et j'espère fortement que le Roi n'en restera point là... Je vous remercie pour la calèche mais j'en avais loué une à notre arrivée sur le port et je dois la ramener avant notre embarquement dans... Un petit coup d'oeil à ma montre... Et bien, dans un peu plus d'une heure.

Ma douce n'avais de cesse de répéter la même chose, qu'elle ne voulait pas entendre parler de l'hôpital et qu'elle voulait rentrer chez nous et qu'elle avait peur de perdre notre enfant et que s'il venait maintenant, il ne vivrait point et pourquoi le Prince lui en voulait-il ? Pourquoi s'en était-il pris à elle ? Ma douce épouse avait été vraiment choqué par le harcèlement du Prince et je la tranquillisais avec calme et douceur...

- Oui, mon amour, nous allons rentrer chez nous et dans une heure, nous embarquerons pour la France. Calme-toi, mon coeur, maintenant ils sont tous partis et ne t'inquiète plus car je suis certain qu'ils ne reviendront point.

Les tranquillisants faisaient leurs effets et ma douce était plus calme avec moins de douleurs abdominales au niveau du bas ventre. Je regardais Romeuf lorsque la porte de l'arrière salle s'ouvrit à nouveau sur la Duchesse. Un large sourire se dessina sur mes lèvres quand la Duchesse nous proposa à son tour de nous aider...

- Je vous remercie, Duchesse mais comme je le disais à votre époux, j'ai loué une calèche à mon arrivée, le temps de prendre les bagages et d'aller jusqu'au port pour embarquer... Duchesse, je sais pertinemment que notre venue vous a causé grand tort et croyez-nous, cela n'était nullement notre intention par contre comme nous vous l'avons signifié ainsi que le Roi, vous êtes la bienvenue au Royaume de France ainsi que dans notre humble demeure. Je pense qu'une invitation pour le Sacre du Roi va vous parvenir sous peu... Et bien, je crois qu'il est grand temps pour nous de vous faire nos adieux et que Pascal vous garde et vous protège.

Hélèna se sentait épuisée par cette après midi, Wesley son tendre amour savait ce qu'il est bon pour elle, aussi elle prit les médicaments sans hésiter, il ne fallait pas que son enfant arrive maintenant , ce serai une catastrophe, elle qui aime tant les enfants, en perdre un serai pour elle se perdre aussi
Soutenue par son amour, ses jambes ne la portaient presque plus.

quand elle entendait la voix douce de la duchesse, la regarde, essaye de lui sourire, de faire bonne mine, mais helas le trop de questions du prince qui ne lui étaient pas destinés, répondait de son mieux, elle n'est ni ministre, ni au conseil, elle venait en voyage de noce, et pourquoi s'en prendre à elle de cette façon, non, jamais elle n'oubliera les regards des gardes sur elle , comme si elle était une bête curieuse sortie de nul part. et ils étaient partis, les laissant seuls face à leur destin.

- Je vous remercie Duchesse, je suis si fatiguée , je crois que mon enfant fait des siennes et si il venait ... regardant à nouveau son tendre amour, ses yeux le supplier, des larmes perlaient malgré d'elle sur son visage, qui souvent on pouvait y voir un joli sourir et pas de chagrin comme maintenant ...petit à petit elle se détend ses douleurs dans le bas ventre s’atténuaient doucement, seule la fatigue inexplicable pour elle et surement normal pour son tendre amour qui est aussi son médecin.

- Mon amour, je suis fatiguée, je suis épuisée,

J'écoutais Romeuf avec un vif intérêt et tout cela faisait ressentir qu'il avait été autant mal mené que nous par le Prince et sa coincée frigide et maintenant c'était au tour de la Duchesse et me mémorisant tout ce qui s'était passé dans l'après-midi me donnait froid dans le dos. Je regardais Romeuf, il n'avait pas changé, c'était un homme intelligent, droit et de coeur. Il avait su protéger la Princesse Elisabeth dans les temps néfastes de sa vie passée et la protègera encore et toujours et cela m'a procuré une immense joie de les avoir retrouvé...

- Romeuf, ne me remerciez point pour tout ce que j'ai fait en période de la peste, il était de mon devoir en tant que médecin de le faire et j'étais le plus heureux d'avoir enfin pu maîtriser ce fléau et sauver des centaines de vies.

Ma douce Hélèna parlait avec la Duchesse, les tranquillisants avaient eu raison d'elle et se sentait fatiguée et épuisée. Romeuf nous proposa de nous faire ramener sur le continent ce soir en trois heures si les conditions de navigation le permettaient et si le temps ne me permettait point de nous inviter en leur demeure jusqu'à demain...

- Je suis vraiment fatigué de ce qui s'est passé et à la fois indécis, je n'y connais rien en matière de navigation et de plus je n'ai point le pied marin. Mon épouse est épuisé par toutes ces contrariétés qui l'ont choquées donc je m'en remets à vous, mon ami, surtout si la navette est déjà partie pour le continent, votre décision sera la nôtre et je sais qu'elle sera des plus sage dans notre situation présente. Offrant un sourire amical à la Duchesse et à Romeuf.

Héléna sentit la main douce de la Duchesse, ses mots de réconfort , se serrant contre son époux le tenant fermement par la taille, écoutait la duchesse , pensant qu'il y avait des personnes même de haut rang, la plus grande noblesse est bien celle du coeur, elle venait en avoir la preuve, toujours un peu tremblante, serrait son tendre époux contre elle, se sentant en sécurité dans ses bras si protecteurs.

- Nous vous remercions de vos attentions pour nos personnes, même épuisée Hélèna cherchait au plus profond de son âme, les mots justes, respirant le mouchoir imbibé de valériane dont elle en connaissait les vertus apaisantes, pour avoir apprit les leçons des bienfaits des plantes que son tendre amour lui apprenait lors des cours d'infirmière.

- Madame la Duchesse, je n'ai guère l'habitude qu'on m’appelle Baronne, certains disent " la boulangère" vous me feriez honneur de m'appeler simplement Hélèna. s'il vous plait

Comment lui dire que la baronnie leur avait été offerte par l'ancien roi lors de leur mariage, alors qu'ils n'avaient rien demandé, ils oeuvraient pour Paris, pour le peuple de France, comment expliquer, qu'ils soignaient les plus pauvres, donner du pain où une soupe bien chaude aux gamins les rejetés de la noblesse, des bébés abandonnés sur le parvis d'une église par une maman trop amaigrie par trop de travail, un manque de lait , en espérant qu'un bon samaritain puisse les trouver avant que la mort les emporte, en cet hivers rude, ils partaient de bonne heures parcourant les rues de Paris, trouvant des nouveaux nés décédés par la faim, le froid, chaque jours, Wesley et Hélèna sans rien demander à personne, ils faisaient leur devoir, un jour un noble venu lui quémander du pain par milliers, un certain Nicolas De Vaudémont que jamais ils ne revirent à la boulangerie.

Sortant de l'auberge où la propriétaire n'a même pas eu la délicatesse de recevoir " le prince et ses gardes " d'un pas un peu hésitant , Messire Romeuf, eut la gentillesse et la politesse de parler à son Wesley ,et lui proposer "la corvette légère "Belle Elisabeth", il est vrai qu'ils se connaissaient de longue date, un fragment de discutions dont elle put discerner entre son époux et Messire Romeuf.

Tout en se soutenant le bas ventre d'une main, se blottie contre son époux, marchant lentement vers la calèche les amener jusqu'au port.

Elisabeth sourit à Héléna.

J’aurais bien du mal à vous appeler Héléna, alors la boulangère ! Sourit. Allez respirez. La Duchesse suivit le jeune couple jusqu’à la calèche et monta derechef dedans.

Je vous accompagne, je pense que c’est le minimum. Surtout pour un Ministre même en vacance pensa-t-elle. Elle souriait à Héléna comme si son joli sourire pouvait effacer l’horrible journée du 19 août. Discrètement la Très Fidèle joint ses mains pour une prière silencieuse : qu’Héléna et son bébé rentrent sain et sauf.

Un sourire sincère d'amitié se dégageait du couple qui avait eu la délicatesse de la bienséance pour nos personnes et ce geste si simple à la fois si chaud de réconfort nous avez très ému. Un simple sourire n'était point grand chose mais dans certaines situations, il donnait beaucoup et voulez dire parfois plus de bonnes choses que des mots...

- Vous avez raison, Romeuf, nos épouses ont parlé et ce que femme veut... Enfin vous connaissez la suite.

Tout en riant légèrement en regardant nos deux épouses, main dans la main puis reprenant un air plus sérieux, je regardais Elisabeth aux petits soins avec Hélèna...

- Duchesse, je cherche encore les mots pour vous prouver notre gratitude et je ne trouve point de mots assez qualificatifs pour me faire pardonner les affronts et les insultes issus de cette entrevue avec le Prince et son cheval de remonte envers votre personne et je suis bien conscient qu'à cause de moi, votre avenir sur cette île est incertain. Mais soyez en sûre, j'en ferai part à Sa Majesté, notre roi qui dans sa générosité et sa bonté saura faire la part des choses selon leur juste valeur...
Duchesse, je sais aussi que vous êtes très croyante comme mon épouse et quand j'ai soigné le Saint Père de ses blessures faites par le bourreau de Paris, Il m'a simplement dit " Wesley, n'en veuillez point à votre prochain même s'il s'égare car il ne savait point ce qu'il faisait, Moi j'ai déjà tout pardonné, faites-en de même, mon fils" et j'ai longuement médité sur ses paroles mais je ne peux point, je ne peux pardonner à ces gens-là qui ne veulent que le mal d'autrui et qui prennent un malin plaisir à nous détruire jusqu'à ce que notre vie n'est plus de sens. Peut-être que ma vocation de médecin à soigner les pauvres de toutes sortes et à essayer à les sortir de la misère à quelque peu érronée ma foi en Pascal. Je suis très pacifiste et j'aime mon prochain quand il fait le bien mais pas ça, pas ce que nous avons vécus cette après-midi...

J'haussais les yeux en l'air en dodelinant de la tête tout en soupirant profondément d'incompréhension puis détournant le regard sur Romeuf...

- Oui, mon ami, vous me voyez vraiment navré de ce qui s'est passé et ce qui est fait est fait, ma mission a été accompli auprès du Prince et l'incompréhension de cet homme, aura pour effet de cause qu'il n'aura point oeuvrer pour le bien de son peuple et de son pays... Excusez-moi, Romeuf, je sais que je suis très bavard et il est grand temps de partir.

Blottie tout contre moi, mon épouse me tenant fermement la taille, je l'aidais à marcher doucement jusqu'à la calèche suivi de la Duchesse qui nous accompagnait jusqu'au port afin d'embarquer sur une corvette mise à notre disposition grâce à la gentillesse et au savoir vivre de nos amis pour nous mener sur le continent.

(désolée, promblèmes d'internet et de pc, vraiment désolée, j'ai mis le perso en pause mais je suis de retour.)

Ses hôtes prirent congé. Elle les remercia et les salua.
Toute heureuse, elle fit le ménage. Une fois cette besogne achevée, elle ferma l'auberge pour quelques jours...et s'en alla chez elle;

[Le lendemain du 19 août... donc le 20 août ]


Un garde princier se présente à l'auberge et demande à voir Lina. Il lui remet un petit courrier du Prince, courrier remis en main propre, personne d'autre que elle n'a pu en prendre connaissance.

Un sourire et un salut à la p'tit' dame après qu'elle ai eu le velin princier entre les mains.

Spoiler:

mes respects damoiselle Lina, je dois retourner au palais.

Un petit salut dans les règles et le garde ressortit de l'auberge pour prendre la direction du Palais.

A peine sortie de la capitainerie il allait falloir trouver un lieu où loger. On leur avait conseiller l'auberge de Lina alors ils avaient pris la direction de celle-ci. Six personnes à loger n'était pas des moindres. L'auberge avait l'air sympathique et très agréable.

Anjhely poussa la porte et laissa entrer les enfants et Médélice devant, elle conduirait Firenze à l'hôpital plus tard.

Bonjour madame! Nous venons d'arriver et nous aimerions 3 chambres si cela était possible.

Anjhely sourit à la jeune femme qui semblait charmante.

J'aimerais sur la plage si possible et attenante aumoins pour deux d'entre elles car avec mes bambins vaut mieux les avoir à l'oeil.

Anjhely suit la jeune femme charmante jusqu'à une chambre. La chambre, bien qu'elle ne ressemblait en rien aux appartements du Louvre était coquette malgré la sobriété et lui plaisait beaucoup. Depuis un an, elle était habitué au faste des Palais mais cela ne lui correspondait pas elle qui avait toujours vécu sobrement. Cette chambre lui ressemblait plus, elle était comme elle, simple mais agréable quoiqu'en dise certaines personnes et elle se sentait ici déjà comme elle.

Elle fit le tour des deux chambres suivit des jumeaux qui même s'ils semblaient ravis du voyage devait se poser beaucoup de questions;

Elles sont parfaites et magnifique. Je vous remercie pour tout, nous les prenons.

Elle sortit de sa besace deux semaines d'avances pour les frais.

Est ce que ceci vous ira où dois je vous avancer un mois?
Pourriez-vous également nous préparer un repas? Nous descendrons le prendre dans quelques minutes?

Une fois Lina partie, Anjhely commença à défaire ses malles pendant qu'Enzo et Alexia s'amusait à se chercher des poux. Elle préférait les laisser s'amuser au moins pendant ce temps-là ils ne pensaient pas à leur père qui était à l'hôpital. Une fois tout ranger et bien qu'elle ne connaissait pas encore la durée de son séjour pour l'instant, elle se changea ainsi que ses enfants avant de descendre dans la salle à manger. Elle ne savait pas si Médélice les rejoindrait mais elle l'espérait.

Elle s'assit à une table après avoir installé ses enfants sur des chaises qu'elle avait agrémenter de coussins pour les mettre à hauteur.

Si vous nous disiez ce que vous nous avez préparer de bon? J'en ai déjà l'eau à la bouche rien qu'au fumet.

Les plats préparés par Lina allait lui rappeler sa Normandie natale qui parfois lui manquait mais elle était heureuse de refaire une plongée dans ses souvenirs.


Ce sera parfait madame!
Je suis sûr que nous nous régalerons. Il y a bien longtemps que je n'ai mangé de bons plats de poissons. Vous avez eut une très bonne idée.
Si vous souhaitez vous joindre à nous ce sera avec plaisir.