[RP] L'Amiénoise Taverne-Hébergerie d'Amiens

Ayant bien fait de passer en taverne ce soir la, Cara avait rencontré une jeune femme, très sympathique et, pour faire connaissance, elle l'avait invitée à manger à l'auberge où, elle séjournais pendant qu'elle était sur Amiens. Etant sortie avant, elle s'était rendue dans le lieux dit et, attendant la demoiselle à une table, elle la vie entrée.

Re bonsoir Heylsha. Je vous en prie c'est tout naturel et, puis, c'est tout aussi bien d'apprendre à se connaitre en mangeant un morceau non?

Lui souriant, elle la regarda remonter ses bas et, se demanda si un jour, la jeune femme ne voudra pas faire les boutiques avec, elle, surtout qu'il y en avait plein, surtout sur Eu. Levant la main, il était temps de commander le repas et, en attendant que cela vienne, les demoiselles feraient connaissance.

Alors, parlez moi un peu de vous, d'où venez vous? Vous avez un peu de famille non? Qu'est ce qui vous a fait venir sur Amiens?

Trop de questions d'un coup peut être? Espérant que non, Cara attendit patiemment sa réponse.

C'est tout en souriant que l'aimable Cara lui répondit.

Re bonsoir Heylsha. Je vous en prie c'est tout naturel et, puis, c'est tout aussi bien d'apprendre à se connaitre en mangeant un morceau non?

En effet, le repas est ce qui est le plus convivial.

Dame Cara leva le bras ainsi pour commander le repas.

D'où je viens ? C'est compliqué. Je crois que je suis née en Bretagne mais mes parents, des commerçants, ont dû déménager souvent alors j'ai quitté ce territoire à trois ans. Ensuite quand j'ai été en âge de le faire, j'ai dû livrer les objets que confectionnaient mes parents. Ils étaient menuisiers. Un jour, quand j'avais neuf ans à peu près, je n'ai pas sût me repérer pour une commande. Je me suis perdue en chemin. Etant illétrée, j'étais incapable de dire aux passants où étaient mes parents... C'est comme ça que je les ai perdu... La vie peut être bête parfois.


Elle sortit une flûte avec un sourire chargé de fatalité, comme si la vie se subissait plus qu'elle se vivait.

C'est la livraison que je devais effectuer. Et puis j'ai repris mon chemin, sans vraiment savoir où me rendre et je suis arrivée ici, j'ai appris que cette ville s'appelait Amiens... Et vous ?

le cuisinier n'été pas pas moi! oh non quel horreur vous mangeriez si c'étais moi !! alors je vais voir la nouvelle arrivé 

bonjour mademoiselle, Je me présente Wolfgang Amadeus Mozart di Virloinval tavernier, maire d’Amiens et plein d'ex postes 


je la salut comme il se doit et me tournant vers la nouvelle et Cara carnet à la main 

pour le diné que voulez vous?

L'écoutant, Cara regarda Heylsha et, se dit que la vie n'a pas due être facile pour elle avec, la perte de ses parents et, du fait qu'elle était illettrée, à coté de cela, la vie de Cara était autrement, malgré sur son île, tout le monde la détestait, elle et, sa mère. Mais, en grandissant, c'était le moment de tout changer et, de laisser le passer derrière sois.

Bête je ne sais pas mais, il est vrai que de perdre ses parents ainsi peut faire mal mais, vous êtes une jeune femme maintenant, vous avez changer et, je suis sur que vous prendrez votre vie en main et, de plus, vous avez rencontré une nouvelle amie.

Levant les bras pour, lui dire qu'elle voulait parler d'elle, elle lui sourit et, rit presque. En tout cas, ce qui était sur, c'est que ses parents faisaient le même métier qu'elle et, avec du bois, on pouvait créer plein de choses et, regardant ce qu'elle sortait de son sac, c'était l'une des choses qui pouvaient ressortir après un, travail acharné sur du bois.

Je comprend, cela vous a au moins permis d'arriver jusque la, dans cette belle ville et, où la mer se situe à proximité, vous allez voir, je suis sur que maintenant cela va aller pour vous, ne vous inquiétez pas. Quant à moi eh bien, je vous le dirait après que nous ayons commander.

Souriant, elle voyait que Wolfgang revenait pour prendre les menus et, ne sachant pas quoi prendre, elle fit pouf pouf et, tomba sur le cerf braisé. Oh non pas cela, elle refis pouf pouf et, tomba sur une escalope et, quelques pommes de terres sautées.

Voila mon menu, cela sera parfait.

Cara était une dame particulièrement vive contrairement à Heylscha qui était particulièrement calme. Timide dira-t'on. Timide et ignorante aussi, car elle n'avait pas reçu d'éducation. Mais ce soir ce n'était pas le moment choisie pour faire son empotée !

Bête je ne sais pas mais, il est vrai que de perdre ses parents ainsi peut faire mal mais, vous êtes une jeune femme maintenant, vous avez changer et, je suis sur que vous prendrez votre vie en main et, de plus, vous avez rencontré une nouvelle amie.

Une nouvelle amie, ça commençait vite ! Mais c'était ce qu'il lui fallait, se sentir entourée. Quant à ses parents, elle ne savait pas vraiment par où commencer pour les retrouver... Un messire s'approcha des demoiselles et salua chaleureusement Heylscha.


Je suis Heylscha, enchantée... Ah le menu ?

Panique à bord et première gouttes de sueur ! Elle fait mine de lire le menu mais pour elle tout ceci paraissait à du chinois, des signes dont les courbes pointaient tantôt en haut, tantôt vers le bas. Allez Heylscha, une idée mais une bonne ! Par chance, Cara répondit avant elle.

Ah oui bonne idée, je vais prendre la même chose !

Petit sifflement satisfait dans sa tête rousse... S'en était moins une !

Souriant, il est vrai que Heylsha ne savait pas lire, peut être que Cara aurait pu penser à, lui en faire une lecture mais, c'était malheureusement trop tard et, si elle aimait l'escalope et, les pommes de terres, cela allait pour elle. Si elle aurait choisit une sautée de légumes sur, son lit de bœuf en croûte, est ce qu'Heylsha aura choisit la même chose? Pas si sur mais, sait on jamais. Le repas étant choisit, Cara continua sa conversation.

En ce qui me concerne, mon histoire est tout autre. Je suis née sur les Caraïbes, des îles très loin d'ici et, mon père étant un pirate, on ne m'acceptais pas sur l'île, ni moi ni ma mère. En face c'était "comme elle est jolie et gentille" et, par derrière ce n'était qu'insultes. Mon père me parlait souvent d'un frère que j'avais et, j'avais hâte de le retrouver alors, un jour j'ai eu 18 ans et, je décidais de prendre la mer pour retrouver mon frère mais, ces retrouvailles ont été dures à avaler, il ne me croyait pas au début mais, petit à petit, on a trouver un terrain d'entente et, maintenant c'est une fraternité qui règne entre nous. On a toujours cru notre père mort et, ma mère également mais, un jour comme par enchantement, mon père est réapparu et, ma mère n'a jamais rejoins Pascal, c'était les gens de mon île qui m'avaient fait croire cela, pour ne pas que je revienne. Aujourd'hui, ma mère vit sur Paris avec, un gentilhomme et, mon père vit dans un manoir seul, c'est celui de mon frère et, de ma belle sœur.

Cela résumait à peu près bien sa vie, côté famille, bien sur sa mère ne l'ayant pas revue depuis ces derniers mois, elle se demandait bien ce qu'elle pouvait y faire, en espérant qu'elle ne soit pas enfermée comme l'ex femme de son nouveau mari. Reprenant, elle se tourna vers son invitée.

Pardon, je ne vous ai pas demander, vous prendrez quoi avec votre repas? Du vin ou, une flûte de champagne? Je vous invite.

Souriante, elle attendit sa réponse et, celle de Wolfgang.

Dame Cara lui raconta son passé particulièrement atypique. Issue d'une famille de pirates, insultée par tout un village, prenant la mer pour retrouver son frère et vécue longtemps dans le mensonge.

Heylscha n'avait pas encore tout dis, n'étant pas bavarde à son sujet, mais cela, elle aurait plus tard l'occasion de le faire.

Cara lui demanda ce qu'elle souhaitait boire. Elle acquiesça à sa question.

Je veux bien du vin, s'il vous plait.

Petit sourire à l'égard de Cara et du garçon.

quelques minutes plus tard les cuisiniers me donnaient les plats et j'allaient les donner
mesdames sont servie 
quant aux boissons elles arrivent sous peu 

"On ne sait point aimer quand on sait dire adieu" Crébillon fils

La nuit avait envahit les rues d'Amiens et déposé un voile noir sur le carrosse immobilisé au milieu de la rue déserte. Engoncé dans un manteau sombre, le cocher retenait d'une main ferme les chevaux qui s’agitaient nerveusement .Une silhouette fine descendit de la voiture, la capuche du manteau rabattu sur son visage dissimulait les traits d'une jeune fille .Sur les murs ,les ombres projetaient leurs doigts crochus vers elle .
Un cheval encensa ,le cocher regardait devant lui ,impassible ...

Il est tard ,prenez garde jeune fille...l'auberge est en face ,je ne peut vous emmener plus loin .

La jeune brune relève la tête ,gratifiant l'homme d'un sourire et se dirige vers l'auberge Première étape pense t-elle en secouant la bourse dont les quelques pièces qui s'entrechoque brisaient le silence du lieu ...

De la lumière ,l'auberge,la brune ôte sa large capuche laissant enfin entrevoir son visage .C’était une jeune femme grande et fine ,à la mine agréable mais au regard sombre et au maintien sévère .La lune accusait avec dureté les contour de son visage .Ses cheveux du noir d'un corbeau ,longs et agités par une brise légère ,flottaient derrière elle. Elle portait un justaucorps noir éclairé par une chemise blanche légèrement déboutonnée qui laissait entrevoir une cicatrice à la base sa poitrine et qui apportait son lot de question.

La jeune femme entre en poussant lentement la porte.A l’intérieur ,plusieurs personnes semble discuter ,elle avance les saluant d'un sourire et s’arrête devant le comptoir ....

Bonsoir  lance t-elle je voudrais une chambre ....s'il vous plait

Et une bouteille de vin, une ! Levant la main, elle demanda à Wolfgang de revenir mais, quel hasard ! Il était déjà là avec les repas. La fumée se dégageait des assiettes et, cela avait l'air divin. Regardant le plat se, poser devant elles, Cara sourit et, entendant les dires de Wolfgang, les boissons viendraient par la suite. En attendant, il y avait toujours de l'eau.

Prenant sa fourchette, piquant une pomme de terre, elle la mangea doucement et, le bruit de la porte vint faire détourner la tête de, son assiette, une jeune femme entra et, demanda une chambre. Haussant les épaules, Cara continua de manger.

Comment vous trouvez ce repas?

Attendant sa réponse, elle coupa la viande et, pris un morceau.

j'allais entre salle, cuisine, comptoir quand je vu une femme grand détour vers le comptoir 
bonjour mademoiselle, je me présente Wolfgang Amadeus Mozart Di Viroinval, maire d'Amiens, aubergiste de cette auberge et tavernier 
comme la plupart des personnes une chambre...
bien... alors il allait cherché dans les clef 
chambre 4 juste en face de la chambre 3 dans le premier étage 

humm le Wolf avait installer un panneau d'affichage qui allais servir!!

Citation :

aux chères sujets de sa majesté,

le conseil municipal d'Amiens vous propose une animation qui s’appellera "les jeux amiènois"! Il s'agit d'un concours de tir à l'arc la première semaine, la deuxième semaine il y aura une course en foret et la troisième semaine il y aura un concours de rapidité à cheval! Enfin un bal pour clôturer le tout! 
Pour les trois premier à chaque épreuves un panier garni vous sera offert! 
cette animations commencera le vendredi 9 août 1653
venez nombreux!

cordialement,
Wolfgang Amadeus Mozart di Virloinval 

La voyant parler la bouche pleine, Cara se mis à rire, au moins son invitée avait l'air d'apprécier ce repas, ce qui était déjà cela et, mangeant doucement aussi, Cara aimait bien aussi ce qu'elle avait dans son assiette malgré, que la viande manquait un peu de sauce mais, peut être que Wolfgang avait cela en rab. Levant la main, elle demanda un complément avec son plat et, buvant une gorgée d'eau, elle continua de manger.

Je crois que nous avons bien fait de prendre ce, menu là et, le vin est comment?

Le vin n'était pas sa, tasse de thé et, préférant de l'eau ou, du thé tiens, elle se resservit de ce breuvage désaltérant. Une fois le repas fini, pourquoi ne pas prendre un dessert? Demandant la carte, elle se tourna vers Heylsha.

Vous prendrez quoi pour la suite?

Hésitant aussi et, sachant que son hote ne, savait pas lire, elle lui parcoura la liste des, différents desserts.

Vous avez, un gâteau au chocolat, un fraisier, une tarte meringuée, une tarte citron et, c'est tout, ce qui est déjà pas mal.

Un homme se présente ,le tenancier de l'auberge .
La jeune femme lui adresse un sourire,elle est un peu perdu,la fatigue du voyage sans doute .

Enchantee monsieur Amadeus la seule partie quelle a retenu du nom a rallonge du charmant monsieur

Ainsi donc il est aussi le maire de cette ville .La jeune femme prend soin de retenir ses traits ,elle souhaitera sans doute le voir un peu plus tard .
Alors que ses yeux fatigués se baladent dans l'auberge et que la douce odeur de nourriture lui chatouille les narines ,elle prend sa clés .
Elle n'a aucun bagage si ce n'est son manteau ,aussi remercie t-elle le maire avec politesse .

Merci beaucoup ....je ..... j'ai faim  .... Elle se ravise serait ce possible de dîner ?

Jeanne sourit ,le voyage a été éprouvant ,long,difficile elle a besoin de se reposer le temps de remettre ses idées au clair.[/i]

[Lj Cara, aucun de ces dessers n'existaient à l'époque, le chocolat était très cher et servi qu'en boisson, le citron ne poussait pas en France et la tarte meringuée est apparue dans les années 40 mais je vais jouer le jeu ^^]

Cara était une dame très attentionnée et avenante, tout au long du repas elle sembla s'assurer de voir si tout était bon.

Oui le vin est très bon.

Aaah, et voici qu'elle lui présenta les desserts, elle passait pour une empotée à ne pas savoir lire, mais au moins elle pouvait choisir cette fois ! C'est avec beaucoup d'hésitation qu'elle faisait son choix.

Et pour le dessert je vais prendre un fraisier.

Elle lève le menton, une dame faisait son entrée et semblait demander un repas. Elle sirota son vin puis reprit la conversation, en souriant.

Et sinon ici, que faites vous de bon ? Vous participez aux jeux ?

hrp:

Apparemment, Heylsha avait l'air d'apprécier le repas et, c'était une jeune femme tout à fait sympathique et, souriante. Un fraisier pour la demoiselle? Mais, ne sachant pas quoi prendre Cara elle, hésitait beaucoup entre, le chocolat et, le fraisier alors, autant prendre les deux, cela faisait d'une pierre de coup. Levant la main, elle commanda les desserts et, se tourna vers Heylsha.

Je suis venu rejoindre ma famille ici et, changer un peu d'air de temps en temps ne fait pas de mal aussi, il y avait longtemps que je n'avais pas mis les pieds à Amiens mais, non, je ne participe pas aux jeux, surtout le tir à l'arc, ma flèche irait hors de la cible.

Riant sur l'instant, étant douée pour la médecine, elle ne l'était pas pour autant pour les jeux où, les participants devaient décocher une flèche, autant chercher une aiguille dans une botte de foin.

Et vous? Vous faites les jeux?

hrp:

Les desserts étaient commandés et la discution reprenait à nouveau son court.

Je suis venu rejoindre ma famille ici et, changer un peu d'air de temps en temps ne fait pas de mal aussi, il y avait longtemps que je n'avais pas mis les pieds à Amiens mais, non, je ne participe pas aux jeux, surtout le tir à l'arc, ma flèche irait hors de la cible.

Roooh faut apprendre ! Pour ma part je ne sais pas tenir un arc...

Et vous? Vous faites les jeux?

Oui je me suis inscrite. ça promet parce qu'il y a Rosy et Victoire et toutes les trois faut pas qu'on soit ensemble sinon on fait des folies.

Elle partie dans un fou rire se rappelant de quelques extravagances passées ensemble à l'auberge, à raconter des âneries... Elle était bien heureuse d'avoir rencontré les bonnes personnes et jusqu'ici se sentait parfaitement intégrée.

Sinon vous êtes mariée ? Vous avez des enfants ?

Apprendre? Ah oui, pourquoi pas mais, elle aurait trop peur de décocher une flèche dans, une personne quelconque, on ne sait jamais avec, sa maladresse exemplaire et, sa blonde attitude. La regardant Rire, elle se dit qu'au moins, elle s'était déjà faite des amies ici et, c'était bien pour elle, un trio de joyeux gai lurons ou, là, de joyeuses femmes qui délirent entre elles, dans un sens, cela manquait à Cara de rire et, s'amuser, oui, va falloir qu'elle recommence à rire.

Ah ! La question qui tuait, est ce qu'elle était mariée? La réponse était toute simple.

Euh, non ni mariée, ni d'enfants, libre comme l'air, à mon grand regret. Et vous?

La question était peut être, pas censée être posée mais, pourquoi pas.

Et sinon, à part la vie maritale, vous avez des frères ou, des sœurs en plus de, vos parents?