[RP] Accueil des nouveaux arrivants

Invité

Rohan entra dans la pièce avec sa nièce et son garde du corps. Il attendit des voix dans le bureau d'à coté et compris qu'il est occupé par une autre personne. Alors,il se tourna vers sa nièce et se mit a jouer doucement avec sa nièce pour ne pas déranger les personnes d'à côté. Il dit doucement a Emillia:

Parle et joue doucement pour ne pas dérangé les personnes d'a côté,tu as bien compris ?

Il attendit la réponse puis se remit a jouer avec elle.

Invité

Emillia se mit a jouer avec son oncle. Elle aimer bien cela,car lorsque ses parents était encore en vie,ils n'avaient jamais eu le temps de jouer avec elle car ils était tout le temps partie. Alors elle profiter de ces moments avec son oncle. Puis son oncle lui dit quelque chose et elle lui répond:

Oui,j'ai compris oncle Rohan. Je ne parlerais et ne jouerais pas trop fort pour ne pas déranger.

Elle se remit a jouer avec son oncle.

Invité

Félicia s'était coller contre un mur. Elle regarda messire Rohan et la petite Emillia jouer ensemble. Puis elle regarda en direction du bureau ou elle entendait les voix de deux personnes. Puis la porte d'entrer. Sa main était poser sur le pommeau de l'arme,une rapière. Elle savait pourquoi les gardes et les gens se méfié d'elle. Elle avait une rapière,1 pistolet accroché sur chaque cuisse,un petit sac pour le matériel de ses pistolets,elle porte une cape avec le dessin représentant une lame sombre,symbole des mercenaires des Lames Sombres et elle porte une peau de loup. Elle était blonde mais ses yeux était couleur noir. En gros,elle provoquait peur et méfiance auprès des gens mais elle s'en foutait royalement.
Elle avait une mission,celle de protéger messire Rohan et Emillia. Elle sera leur garde du corps jusqu'à la mort et elle tiendra sa promesse pour le souvenir de son amie Eglantine.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Tout en discutant, avec dame Noellie, un grognement de Farouche , nous interrompait. Je me levais, ouvrant la port je m'apercevais de nouvelles gens patientaient dans le couloir.

Bonjour braves gens, je me nomme Galerand, je suis le responsable de l'accueil et du cadastre, ne restez pas ici, venez donc vous installez avec nous, vous savez ici, nul secret, je prône la convivialité. Par contre, je vous demande une faveur, laissez votre peau de loup hors de mon bureau, en entrant vous comprendrez le pourquoi.

Je vous présente dame Noellie, elle aussi nouvelle arrivante sur Paris. Désirez vous une boisson chaude? Installez vous.

Je devais saisir Farouche et l'attacher qui pour la première fois toutes babines retroussées menaçante, grognait vers la femme les accompagnant, l 'odeur du loup, sa race et son sang revenait d'un bond à la surface.

Invité

Rohan s'arrêta de jouer lorsqu'il vit la porte s'ouvrir. Il y vit un homme en sortir et nous saluer et se présenter. Puis il demanda à Félicia d'enlever sa peau de loup et il comprit pourquoi en voyant l'animal attaché. Il se tourna vers Félicia et lui dit:

Félicia,faite ce qu'il vous demande s'il vous plait.

Il vit le regard de Félicia se durcire mais elle obéissa.

Puis il se tourna vers messire galerand et lui dit:

Merci, ce sera un plaisir de prendre une boisson chaude en si bonne compagnie. Mais avant,je me présente:Rohan,pour vous servir,voici ma nièce Emillia et elle c'est Félicia,notre garde du corps. Je suis heureux de vous rencontrez Messire galerand et vous aussi Dame Noellie.

Emillia disa à son tour:

Bonjour messieur galerand,bonjour madame Noellie.

Elle leur souria.

Il s'approcha un petit peu vers l'animal et l'observa:

Hmmm très bien entretenue,un corps normal,des pattes bien épaisse,une mâchoire impeccable, l'animal grogne un peu mais cela doit être du a la peau. Incroyable de voir cet animal ici sachant que la majorité des gens en on peur.

Puis se retouna vers les personnes leurs dit:

Désolé,sa fait dix ans que je n'avais vu ce genre d'animal. En tout cas,vous vous en occupez comme il faut. Félicitation.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Ayant fait connaissance, de messire Rohan, sa nièce et leur garde du corps, je leur demandais de bien vouloir s'installer sereinement. L'homme observait Farouche, il me semblait qu'il avait de suite vu qu'il ne s'agissait en aucune manière d'un chien sauvage, mais bien d'un loup. J'espère qu'il en gardera le secret, sinon, je devrai filer d-ici ou me battre pour qu'elle ne soit pas exécutée.La peur du loup est toujours tenace rt pour cause, cette race procure encore nombreuses attaques en nos campagnes et parfois endeuille une famille.

Asseyez vous confortablement, je vais vous préparer une boisson chaude.

L'homme s'adressait à moi, je le regardais.

Désolé,sa fait dix ans que je n'avais vu ce genre d'animal. En tout cas,vous vous en occupez comme il faut. Félicitation.

Mes craintes étaient fondées, il avait bien déterminé la race de Farouche.

Messire Rohan, je pense que vous me comprendrez, que ce chien est de toute beauté et que sa race aussi rare soit elle est d'une autre contré, que nombreux pourraient se méprendre et vouloir l'exterminer

Je détachais Farouche, pour qu'il puisse l'examiner à son aise, rare sont les personnes à comprendre ce que j'ai fait et certainement encore moins nombreux le pourquoi.

Je préparais les boissons,tout en m'adressant à ce petit groupe.

Que désirez vous mes amis, des informations sur notre cité, une parcelle de terre et une maison pour y demeurer, dites moi, je suis à votre écoute.

Invité

Rohan comprenez très bien la situation du loup et celui de la personne. Il dit:

C'est vrai que c'est une race de chien de toute beauté et du fait qu'il soit très rare. Et malheureusement je sais que beaucoup de personnes se méprend et veulent l'exterminer. Moi même,il y a 14 ans,je m'en suis occupé de 4 chiens de cette espèce pendant 4 ans. Donc en cas de problème avec le chien quelqu'y soit, n'hésitez pas à faire appelle à moi.

Rohan se tourna vers messire galerand et continua à lui parler:

Bon,on est pas là pour parler de sa. Voilà, je viens de Saint-Pierre-Port ou j'y suis né. Mais depuis l'arrivée de ma nièce, je voulais aller dans une ville plus vivante et j'ai choisi Paris. Et je ne le regrette point. Je voudrais habiter définitivement à Paris. Avoir une maison et un terrain prés d'un petit bois ou quelque chose dans le genre. On sera trois personne a y habiter. Si vous avez d'autres questions à me poser,n'hésitez pas.

Rohan attendit la réponse de messire galerand.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

L'homme me comprenait à demi mots, il savait aussi bien que moi le risque envers la renommée de la bête. Intelligemment il saisit à son tour le manière de me proposer ses services si besoin se faisait sentir, j ne pouvais que me réjouir de cette aubaine.

Messire Rohan, nos nous comprenons parfaitement et si un jour, j'ai le besoin de la protéger, j'espère qu'en votre lieu de paix, vous saurez l'accepter.

Je distribuais les boissons fumantes, de ce breuvage réconfortant par ce froid hivernal.

Sieur Rohan, je pense avoir cerné votre envie, venez à mes cotés, je vais vous montrer le plan du quartier de la bibliothèque, sur ce tracé, suivez mon doigt jusqu'au numéro 231. Il me semble parfaitement approprié, sur son plus grand coté de forêt il est bordé, sur sa face nord, vous etes dans les champs en sortie de Paris.

Je regardais le regard intéressé de sieur Rohan, penché sur mon plan.

Alors, qu'en pensez vous l'ami, vous pouvez aussi demander à vos accompagnant de venir participer à votre choix dans l'installation, plusieurs avis valent mieux qu'un

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Invité

Rohan répondit au sujet du chien:

Il n'y a aucun problème. Vous serez les bienvenues tous les deux à tout moment.

Puis il vit l'endroit et aprés ce que dit messire galerand,il appella Emillia et Félicia. Elles s'approchèrent et regardèrent l'endroit.

Félicia secoua affirmativement la tête.Comme a son habitude.

Puis il se tourna vers Emillia.

Emillia accepta à son tour.

Rohan se tourna vers messire galerand et lui dit:

C'est décider,on le prend. Merci,beaucoup messire galerand.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

D'un regard entendu, les yeux dans les yeux, me parlant de Farouche, il me dit

Il n'y a aucun problème. Vous serez les bienvenues tous les deux à tout moment.

Nous étions du même avis, concernant les loups, un allié, je venais de trouver, cela me réconfortais en mon choix que bien d'autres auraient trouvé insensée.

Ils examinaient le plan, ensemble comme une famille, prenant soin chacun l'un de l'autre, communauté étrange, mais soudée, des gens forts sympathiques que j'aurai plaisir à revoir si le destin et la vie en décident ainsi.

Après une brève concertation, le sieur Rohan m'adressait la parole, une voix chaude, celle du coeur.

C'est décider,on le prend. Merci,beaucoup messire galerand.

Le sourire sur mon visage prenait forme, à chaque fois le même plaisir sans cesse renouvelé, d'avoir trouvé un coin de paradis pour ses gens venus me voir, par la confiance qu'ils m'ont accordé à moi qu'ils ne connaissaient pas

Messire Rohan, vous m'en voyez ravi, je vous prépare l'acte dans la nuit, demain à votre réveil, vous trouverez la missive de votre propriété.

Je leur serais la main chaleureusement, les accompagnant jusqu'à la porte.

Et si vous avez besoin d'un renseignement ou d'un conseil, ma porte vous est toujours ouverte, n'hésitez pas.

Invité

Rohan serra la main de messire galerand et lui dit:

Merci pour tout,messire galerand. Qui c'est,on se reverra peut-etre et puis continuer a prendre bien soin de votre chien.

Bonne journée!

puis il se retourna et partie en direction de sa nouvelle demeure.

Invité

Emillia avais accepter grâce à ce petit bois a côté ou elle pourrait jouer. Puis elle se dirigea vers la porte. Une fois dehors,elle dit:

Au revoir,monsieur.

Elle souria à l'homme puis elle vit Félicia sortir avec sa peau de loup qu'elle avait récupérer. Emillia salua une dernière fois l'homme de la main puis se retourna. Elle donna la main a son oncle et derrière elle suivait Félicia.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Au revoir mes amis, allez en paix

Un dernier signe de la main, ils avaient disparu.

Farouche aller viens, nous allons manger.

Depuis plusieurs jours, je ne résidais plus en auberge, j'avais aménagé une pièce du cadastre inoccupé, Farouche pouvait gambader à sa guise et moi vivre au rythme de mes envies .....

Invité

Zina entre dans la pièce.
Elle avait tourné depuis un certain temps dans cet établissement.
Elle s'y était même perdue...

...Bonjour...On m'appelle Zina...Je viens de Reims...J'ai beaucoup voyagé, la nuit...

Zina pense à l'emploi qu'elle vient de prendre, GARDE, elle, la fille en haillons...
Mais, il faut bien manger.
Elle aperçoit un banc contre un mur.
Je vais m'asseoir ici et attendre que quelqu'un vienne me chercher.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Revenant de notre festin, Farouche sur mes talons, essayant vainement de freiner mon avancé vers mon bureau en me passant sans cesse devant les pieds, dehors le soleil brillait à nouveau et la pluie des nuis réchauffait le climat du petit matin.

Farouche se précipitait vers le hall du cadastre, d"un coup. La je savais de suite qu'une personne était présente, pas besoin de marteau, ni de heuttoir à la porte, ni de gardien, ma dévouée protectrice veillait , jours et nuits, toujours en alerte.

Arrivant sur le lieu servant de salle d'attente, je trouvais là, une jeune fille me semblant fatiguée d'un long voyages, ses vêtements usagés, me confirmaient son état de multiples besoins. assise attendant tranquillement son tour, de suite je pensais à ce que je gourai faire pour améliorer sa situation. Me voyant arriver elle se présenta.

...Bonjour...On m'appelle Zina...Je viens de Reims...J'ai beaucoup voyagé, la nuit...

Enchanté, dame Zina, venez avec moi dans mon bureau, je vous en prie, suivez moi, .....Farouche, tu laisses notre invitée tranquille

La précédant, je lui ouvrais la porte, la refermant derriere elle, de suite je pensais qu'elle allait apprécier la douce température du lieu.[/

Installez vous confortablement et reposez vous un peu, vous me semblez épuisée, je vais vous préparez une bonne boisson chaude et voir ce qu'il me reste à manger, pour accompagner le tout, car je présume que la faim doit vous tenailler. Après cela vous m'expliquerez vos souhaits et les diverses possibilités qu'offre notre ville.

[i]Je la regardais dans les yeux.

Invité

Zina venait de s'assoupir, lorsqu'une chose humide vient lui sentir le visage.
Elle sursaute mais se rassure de suite ce n'est qu'un chien, et non un loup...
Bien que ce drôle de chien, pourrait y faire penser...
Toi, tu es gentil...
Zina, avec hesitation, avance la main pour le carresser, mais par crainte, elle se retient.
Un homme suit de prés l'animal.
Zina se présente...timidement.

Citation :

Enchanté, dame Zina, venez avec moi dans mon bureau, je vous en prie, suivez moi, .....Farouche, tu laisses notre invitée tranquille

Farouche, c'est le nom du chien.
Zina sourit, c'est un joli nom.

Citation :

je vais vous préparez une bonne boisson chaude et voir ce qu'il me reste à manger, pour accompagner le tout, car je présume que la faim doit vous tenailler.

La faim, ne la tenaille pas trop, elle a acheté un choux au marché ce matin...
Mais une boisson chaude, ce ne sera pas de refus...
A vrai dire, elle ne sait pas où commencer...Elle se lance :
Je cherche un logement chez l'habitant...Je suis courageuse et peux travailler en échange...a vrai dire, je cherche quelqu'un pour m'aider...La ville est tellement grande...
Et aussi, je voudrai qu'on me tire le portrait, mais ne sais pas où...
Et pas trop cher, je suis peu argentée...Et puis...
Le reste, elle ne savait pas trop, Zina...
Alors elle arrête de parler et attrape la boisson chaude et délicieuse que lui tend ce gentilhomme.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Elle préférait une boisson chaude seulement, si cela pouvait lui faire plaisir, je me hatais de faire une bonne tisane à la cannelle. Elle etait perdue en cette cité, et bien jeune pour la laisser dans les rues sans protection. Tout en préparant le breuvage,ele me dit.

Je cherche un logement chez l'habitant...Je suis courageuse et peux travailler en échange...a vrai dire, je cherche quelqu'un pour m'aider...La ville est tellement grande...
Et aussi, je voudrai qu'on me tire le portrait, mais ne sais pas où...
Et pas trop cher, je suis peu argentée...Et puis...

Elle venait de stopper, je prenais la relève, lui laissant ainsi le temps de mettre ses idées au clair.

Demoiselle Zina, prenez votre temps, ici, je suis pour vous aider et pour cela je prendrai tout le temps necessaire pour vous voir sortir d'ici soulagée et heureuse.

Je revenais avec nos tisanes, je lui donnais la sienne.

Attention demoiselle, cela est fort chaud. Bon je vois vos craintes et vos besoins, alors voilà pour la maison, nul besoin de trouver un employeur, qui sera mal luné un jour sur deux et vous exploitera pour vous loger. Je vais vous donner une maison, gratuitement, avec sa parcelle de terre pour vous installer, et dans un endroit bien fréquenté ou la milice et les gardes patrouillent sans répit, de jour, comme de nuit, comme cela je serais certain que aucun vaurien ne viendra vous importuner.

Ensuite, vous pouvez cumuler les emplois, je vais vous expliquer cela.

Je la regardais, elle reprenait son teint, à la chaleur du lieu, d'être bien installée certainement aussi.

Voilà, en plus du travaille que vous exercez, vous pouvez entrer dans l'armée pour une période de 30 jours, la seule contrainte est de ne pas quitter la vielle et cela en plus de vos gains journaliers, vous fera gagner 15 louis de plus par semaine. Cela n'est il pas une riche idée, ma jeune demoiselle Zina.

je la regardais en souriant, attendant la suite de ses questions et demandes diverses

Invité

Citation :

Cela n'est il pas une riche idée, ma jeune demoiselle Zina.

Zina regarde l'homme, un peu étonnée...
Depuis son arrivée, elle avait lu des annonces pour entrer dans l'armée et entendu dire autour d'elle que c'était dangereux...
A peine arrivée, il veux l'envoyer sur l'échaffaud, ou quoi ?
J'ai pris une place de Garde dans la ville car je me dois de servir cette ville où je viens arriver, mais pour l'armée, je me trouve bien démunie, arrivant de Reims cette nuit.
Elle hésite un court instant et reprend.
Par contre, je veux bien me faire aider et un chez moi dans une rue ou je puisse mettre mes maigres affaires, pourquoi pas, monsieur...
Je vous fais confiance quand aux lieux

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

J'écoutais attentivement la jeune demoiselle Zina, je pensais déjà un emplacement de choix, avec de bons voisns, que je connais bien

Oui, gente demoiselle, je vous propose sans aucune hésitation, le quartier de l'hotel de ville, le numéro 418, je connais vos voisines, de charmante femmes, au numéro 417, vous aurez dame Marya, une personne charmante et au 419, dame Aurélya, toute aussi charmante, de plus elle tient une auberge, vous verrez là vous serez tranquille, le coin est tres surveillé en raison de l'hotel de ville, la milice y est en permanence. Puis vous serez dans la cité même.

Je pensais tout en lui parlant, que cela faisait quelques temps que je n'avais pas fait un saut chez elles leur dire un petit bonjour et savoir si tout ce passait bien. Enfin je pense que si elles avaient eu des soucis, elles m'en auraient parlé.

Je remettais une buche dans la cheminé, le soir commençait à tomber, lentement, Farouche, couché à son habitude à mes cotés, dormait d'un oeil et d'une oreille.

Pour l'armée, je pense que vous ne m'avez peut etre pas bien comprise, il s'agit d'une période de trente jour, ou vous etes dans l'armée, tout en travaillant ou vous le désirez, la seule contrainte est de rester sur Paris ce laps de temps et un revenu supplémentaire de 15 louis par semaine n'est nullement négligeable. Au bout de cette période, vous pourrez rester autant que vous voudrez ou partir quand bon vous semblera.

Farouche, venait de se réveiller, elle s'étirait lentement, mon Dieu, ce qu'elle change, allant vers ses trois mois, elle devenait de plus en plus ressemblante aux loups de sa famille, il est temps de partir d'ici pour nous deux ma belle, pensais-je.

Voilà, je pense ne rien avoir oublié, si vous avez encore des questions, je suis à votre entière disposition.

Invité

Zina regarde le chien s'étirer.
Elle se dit que ce drôle d'animal a de drôle de bout de pattes, elle hausse les épaules, après tout, ce n'est pas son problème...

J'ai bien compris, Monsieur pour l'armée et je tiens à vous remercier de me l'avoir expliqué...
Mais une denière question, il va bientôt faire nuit...Pouvez vous m'indiquer sur un plan la rue de mon nouvel habitat, je vous prie...
En ville, la nuit tombée, les rues ne sont pas trés sures...

Zina repense à ces deux nuits passées perchée sur un arbre et se dit qu'une paillasse serait la bienvenue...

Demain sera un autre jour, il faut qu'elle s'impreigne de cette grand ville.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Effectivement la nuit tombait, je la regardais, elle si fragile en un monde tellement hostile, aller, cela va nous dégourdir , Farouche et moi, puis je serais plus rassuré aussi comme cela, la laisser dans une ville si grande que Paris, non je ne pourrais pas.

Et bien, nous allons faire même mieux, que cela, gentille demoiselle Zina, Farouche et moi, nous allons vous accompagner à votre nouvelle demeure, et bien qu'elle ne soit encore jeune, sa mâchoire possède une force étonnante vous savez et comme cela vous, tout comme moi serons mutuellement rassurés. Pour le plan, pas de soucis, je vous montre l'emplacement et vous pouvez l'emporter avec vous aussi, cela me fait plaisir de vous l'offrir . En échange, vous garderez le secret que j ai lu en vos yeux sur les origines de demoiselle Farouche, marché conclus?

Je la regardais encore dans les yeux, pour mieux la connaitre, elle me rappelait une jeune personne, que je n ai pas revue depuis fort longtemps maintenant et qui me manque aussi de par son absence et ses rires.

Je sortais un plan et lui indiquais du doigt le numéro 418.

Vous voyez, c'est ici, vous serez tres bien, promesse de Galerand

Et demain , je vous ferai l'acte de propriété, à votre nom, livré dans la journée.

[RP] Accueil des nouveaux arrivants - Page 7 4_quar10

Invité

Zina balaye d'un oeil avisé le plan tendu par ce sieur Galerand.
C'est un beau quartier, en plus le numéro indiqué est face à un parc...
Ce n'est pas sans lui déplaire...

Citation :

Et bien, nous allons faire même mieux, que cela, gentille demoiselle Zina, Farouche et moi, nous allons vous accompagner à votre nouvelle demeure

Zina arbore son plus beau sourire, après tout pourquoi pas, l'homme la voit fragile et cela, aussi n'est pas pour lui déplaire.
Pour venir ici, elle avait endossé son unique robe, un peu passée de mode mais encore seillante bien que Zina, c'est en pantalon, veste et botte qu'elle se sent bien...
Mais pour une présentation de sa petite personne, ne connaissant rien de Paris, elle savait qu'il fallait faire bonne figure...
Avec grand plaisir Sieur Galerand...
Zina se tourne vers la chienne.
Avec grand plaisir Princesse Farouche...
Tous trois sortirent du bureau en riant.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Le plaisir qu'affichait demoiselle Zina, cela était ma plus grande joie en ce jour,. Dieu que mon métier m'apportait tellement de satisfactions jour, après jours.

Bientôt je serai loin de ce lieu, que j aimais tant, demoiselle Zina est certainement ma petite dernière ici.

Farouche en piste nous sortons, demoiselle Zina, je vous donne mon bras pour vous accompagner à votre demeure.

Oui, encore une bien belle journée que ce jour, déjà presque terminé, les lumieres de la ville dansent sur les murs, les volets sont déjà tirés......

Invité

* s’avance timidement, soudainement gêné de se retrouver en face de gens si richement habillés, et honteux de ses haillons. N’étant pas habitué au parler de Paris, il a peur de provoquer l’hilarité des présents.*

Bonjour Messeigneurs,
et que Dieu vous garde.

Je suis Adonis, misérable et miséreux, comme vous pouvez le voir, mais par la Sainte Croix, je suis honnête et je respecte Dieu et le Roi.
J’ai quitté ma province natale en raison des guerres qui ont ravagé nos contrées et de la famine qui sévit depuis tant d’années. J’espère juste trouver un peu de paix à Paris, et un bout de pain me suffit amplement. Je ne connais personne en cette cité et je vous remercie de l’aide que vous voudrez bien m’apporter.

* s’incline et fait trois pas en arrière en attendant une éventuelle réponse *

Invité

Une missive du maire, monsieur de Clairvaux, était arrivée pour lui demander si elle serait d'accord pour prêter main-forte. Aurore avait répondu que si elle pouvait faire quelque chose pour la ville et ses habitants, elle le ferait avec plaisir mais que, sortant du couvent, elle ne savait guère à quoi elle pourrait être utile.

La voici donc dans ce bureau, à lire des documents laissés par Galerand afin de s'y retrouver, un peu nerveuse, ce que l'on pouvait déceler à son habitude de se mordiller la lèvre.

Un homme entra et lui fit lever la tête.

Bonjour sieur. Entrez je vous en prie et prenez un siège. Bienvenue à Paris.

Elle se leva et lui désigna une chaise puis se rassit.

Je suis Aurore Jeanne de Sée Varennes et je suis là pour vous aider. Savez-vous où dormir? Où manger et où travailler?

Son premier, pourvu qu'elle ne fasse point de gaffe.

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