[RP] Chapelle Pascale d'Eu

Il était arrivé à temps. La réponse d'Alexei le rassura. Il observa les futurs baptisés qui semblait prendre la cérémonie très au sérieux. Il eut un instant de nostalgie, repensant à l'époque lointaine quand il fut Di acr'Euh et à sa façon de baptiser, en aspergeant d'amanites les convertis. Mais ce fut de courte durée. Gwen interpella l'abbé au sujet d'éléphants. Ce à quoi il ne comprit rien mais ne l'empêcha pas de dire à Gwen : Un peu de tenue voyons ! Tâchez de vous faire discrète.

Jean signa d'un signe de croix Alexei et Largo puis dit

voici l' huile sainte que j'apose sur vos fronts symoble de votre bienvenuedans la caumunauté pascalienne


puis Jean s'avança vers le livre saint s'agenouilla , l'ouvrit puis commença à lire

Pascal était assister à un grande fête avec ses diciples puis une fois la fête fini Pascal avait donné rendez vous au fleuve afin de prononcer le baptême . Le soir venu toute la ville était là et Pierre s'avança vers Pascal et dis "me voilà pour recevoir le baptême" Pascal lui fît signe de s'aprocher puis l'accompagna et le plongea par trois fois puis lui dit "va repend ta foy et vit dans les pas du trés haut" Pierre écouta les paroles du prophète et s'en alla.On apprendra que quelques année plus tard il sera élu Pape de la sainte église

Puis fît signe aux témoins de s'approcher

je demande aux parains/ marraines de s'approcher et de prendre la parole

Hein ! S'exclame t-il quand l'abbé, ou le curé, ou le ce-qu'il-voulait-bien-être invita marraines et parrains de s'avancer. Encore une fois, on ne l'avait pas prévenu qu'il devrait faire un discours. Et de ce fait, il n'avait rien préparé. Ce qui le mettait en mauvaise posture car il ne savait pas improviser de beaux discours. Mais soit, résolut-il, il auront un discours et quant à la qualité il devront se contenter de peu.
Et tandis que Gwen s'avançait, il sortit un bocal de cidre dans lequel baignait une amanite de deux ans d'âge. Et, à cause de ces deux années, le cidre avait subit une forte évaporation, la part des anges, dit-on, de sacrés soulards ces anges qui prélèvent quotidiennement des hectolitres d'alcool. Et d'eau surtout. Bref, il ne restait plus qu'un quart de liquide dans le bocal, un concentré d'alcool presque pur.
Le temps de sortir le bocal, le temps de l'ouvrir le plus discrètement possible sans en renverser une seule goutte, et déjà Anne prenait la parole. Vu l'urgence, il goba l'amanite et le contenu du bocal d'un trait.
Il fut déçu. Il ne ressentait aucun effet. Vu qu'Anne avait fini sa louange, il se sentit contrait de s'avancer.

Euh... Ah oui ! J'y suis ! Largo... Ah zut c'est pas lui ! Je reprends : Alexei... Oui, je pense bien que c'est lui qui me l'a demandé. D'être son parrain tiens !

Bon, alors faut que je dise des choses gentilles sur lui. C'est ça ? Devant le silence, selon l'adage qui affirme que qui ne dit mot, consent, il poursuivit. Et au premier mot, il sentit quelque chose monter de son estomac vers sa tête. En même temps que la montée du quelque chose, un sentiment de légèreté s'empara de lui en même temps que ses jambes étaient devenues lourdes comme une cloche d'église. Alors... Alexei est un drôle de type. Si si si si si si... Parait qu'il passe sa vie à boire toute l'eau contenue dans le calva et qu'il chercherait, ainsi, à créer une sécheresse en Normandie. Il se sentait de plus en plus léger à tel point que sa tête se mit à tourner comme une toupie. C'est un bosseur... Enfin, si on lui file des coups de pieds au derrière pour le faire bouger... C'est aussi un homme... Ouais, un homme. L'opposé d'une femme quoi. Enfin, je veux dire l'autre sexe. Rhooo vous avez compris hein ! Arrêtez de m'embêter avec vos questions. Mais l'église était silencieuse, mis à part la voix d'Alberic qui s'élevait de plus en plus. C'est d'accord, je vous raconte une histoire. Mais faudra pas vous plaindre après !
Voici l'histoire :
Un jour... Était-ce le matin ? A moins que ce ne fut sur le coup de midi... Je ne m'en souvins pas bien. Parce que, au fond, c'était peut être bien l'après midi ou même pendant la soirée.
Bon, on va dire que c'était le midi. Et ce midi supposé, voilà que j'entends la porte de mon bureau faire un "Toc" violent et je vois entrer une furie. Enfin non, c'est sa façon habituelle de se mouvoir à la procurette. Car à cette époque, procurette elle était, vous savez. Et sans embarras... Sans préambule, sans respect pour ma sieste ô combien méritée ! elle me dit tout à trac : J'ai trouvé quelqu'un qui désire entrer au conseil et bien qu'il soit jeune encore il descend le calva d'une belle façon et sans rechigner au goulot !
Vous imaginer comment j'étais à ce moment. Encore au trois quart endormi, l'esprit toujours plongé dans un doux rêve peuplé de milliers d'amanites fraîches et dodues et appétissantes. Imaginez comme ses braiments me meurtrir les oreilles ! Jamais elles ne s'y habitueront, mes pauvres oreilles si délicates.
J'ouvre un oeil endormi, lui dit de me l'envoyer afin que je l'ausculte et, au besoin, le dissèque. Et bien, je n'avais pas encore fini le premier mot qu'elle repartait déjà en me remerciant. Bah oui, c'est ainsi que ça se passe... Parfois.
Je pensais disposer d'une bonne heure pour achever et poursuivre ma sieste. Quelle erreur ! Quelle monumentale erreur ! A peine fermé-je les yeux que la porte se remit à faire des "toc toc toc" mesurés et affables. Aussitôt, je compris que c'en était définitivement fini de ma sieste pour ce jour.
J'ouvre les deux yeux lentement, je prie la porte d'entrer. Enfin non, pas la porte pfff... La personne se trouvant derrière la porte, je voulais dire.
Et imaginez ce que je découvre lorsque la porte s'ouvre avec grâce ? Vous ne devinez pas ? Et bien se tenait un homme jeune, le regard franc... à moins que ce ne fut une attitude de composition, allez savoir ! Et ledit jeune homme s'avance, me parle avec courtoisie.
Et bien là, je peux vous assurer que je n'en croyait ni mes yeux, ni mes oreilles. Comment une furie pouvait-elle bien trouver une seule qualité à un gaillard aussi calme, du moins en apparence, et aussi affable ? Voilà un mystère que je n'ai toujours pas résolu. Mais... Je ne désespère pas de la mettre à jour cette énigme, un jour ou l'autre.
Vous désirez connaitre la suite ? Je puis vous assurer que la suite est une histoire encore bien plus édifiante que ce que l'histoire que je viens de vous raconter.

Cette fois, il ne poursuivit pas car il venait de tomber lourdement le postérieur sur le banc. Sa tête flottait comme une bulle de savon, ses jambes avaient pris un tel poids qu'elles ne pouvait le porter. Aussi léger que fut sa tête.

puis Jean souria et dit

procédons maintenant au baptême à proprement dit . Je vous invite à me suivre jusqu'au fond batimal au fond de l'église


Jean s'avança jusqu'au fond de l'église avec tout le monde, rentra dans le fond baptimal et fît signe à largo de venir

jean s'approcha de largo et lui dit

Largo dans un trés court instant tu recevra ce sacrement sacré , fait lui honneur[/b

Puis pose ses mains sur largo pour l'accompagné et le plonge délicatement une premiere foi et dit

[b] Moi Jean d'anjou Prêtre et humble serviteur du trés haut je te baptise par le trés haut

Puis le plonge une seconde fois

par son fils

et le plonge une derniere fois

et par notre saint prophète Pascal

l'invite à sortir du fond baptismal et lui montre un grand linge afin de s'y enrouler dedans pour pas qu'il prenne froid et invita Alexei à venir le rejoindre

[color=black]Leeana arriva de bonne heure à l'église.

hummm j'ai l'impression que je suis vraiement la première ce matin, Jean a du avoir une panne de reveil. se dit elle en souriant.

Elle pousse la lourde porte, se signe et va s'assoire en attendant le début de l'office. Son regard se porta sur les vitraux.

Ils sont vraiment magnifiques, on ne voit qu'eux. Et quel calme.....

Soudain, elle eut un frisson. " par contre il fait drolement froid ici ce matin........" [/color]

jean vît Alexei en petite tenu et se disait qu'il avait du courage car l'eau du fond baptimal n'était pas trés chaude et lui dit

Alexei dans un trés court instant tu recevra ce sacrement sacré , fait lui honneur

Puis pose ses mains sur Alexei pour l'accompagné et le plonge délicatement une premiere foi et dit

Moi Jean d'anjou Prêtre et humble serviteur du trés haut je te baptise par le trés haut

Puis le plonge une seconde fois

par son fils

et le plonge une derniere fois

et par notre saint prophète Pascal

l'invite à sortir du fond baptismal et lui montre un grand linge afin de s'y enrouler dedans pour pas qu'il prenne froid et sortit à son tout puis prit les cierges les alluma et leur dit


Prenez ces cierges afin qu'il guide vos pas dans la lumière du trés haut, que cette lumière illumine vos coeurs et vous épargne du malheur

puis jean leur tend un par un leur cierge



recevez et arborer cette médaille symbole de votre entrée dans notre si belle communauté



Maintenant alons signer le registre et commencer la messe si vous souhaiter rester je ne force personne

Puis sourit et se dirige vers l'autel afin de faire signer le registre

alexei a écrit:

Alexei avait reçu l’huile sainte sur son front en fermant les yeux et en se recueillant pendant quelques instant. Une fois sa courte prière terminée, il se releva et attendit que les parrains et marraines disent quelques mots.

Gwen avec son courage coutumier, commença à prendre la parole. Elle prononça des mots qui touchèrent beaucoup Alexei qui la regarda avec amour et tendresse… même quand elle évoqua le vidage de fiole ! Il pensa lui dire qu’il était à bonne école avec elle, mais il se retint tout en étouffant un fou rire.

Ensuite Anne parla gentiment de Largo et reprit toujours aussi discrètement sa place.

Là un petit vide se fit… Alexei regarda du côté d’Alberic qui venait d’avaler une mixture de sa composition et qui approcha soudain, le regard étrange…
Il se mit alors à déclamer un discours aussi original que décousu, qui semblait résumer les premiers pas d’Alexei dans la vie du conseil, puis il s’écroula sur le banc juste derrière lui, hors d’haleine !

Alexei qui ne pouvait plus se retenir, éclata d’un rire sonore qui résonna dans toute la chapelle, et félicita Alberic de son si bel hommage.
Il lui chuchota avant que Jean d’Anjou ne passe à la suite de la cérémonie

Ah, Mon Cher Baron, quel discours ! Franchement, j’aimerais beaucoup goûter à votre nectar magique après le baptême, cela m’a l’air… bien remuant !

Mais le temps n’était pas à la rigolade, le prêtre en effet les invita à se rendre vers les fonts baptismaux.
Une fois sur place, il attrapa Largo par les épaules et le plongea pour le baigner par trois fois (quelle force ce Jean !), ce qui noya presque le pauvre homme qui ne trouva plus un mot à dire…

Lorsque cela fut le tour d’Alexei, celui-ci se mit à blêmir… Non seulement il allait attraper la mort, mais en plus, sa belle tenue sobre et élégante de circonstance, ne serait qu’un beau souvenir…
Il suivit quand même Jean d’Anjou qui l’encourageait avec un sourire, et se dit qu’on ne faisait pas d’omelette sans casser des œufs.

Néanmoins, avant de plonger dans l’eau, il demanda un instant et prit la peine d’ôter son pourpoint, sa belle culotte et ses bottes hors de prix !
Il se retrouva alors en petite chemise, ce qui finalement ne lui allait pas si mal et qui de plus montrait sa magnifique anatomie à toute l’assistance, et suivit Jean pour accomplir la pieuse baignade !

Citation :

A tous les citoyens de France,
A tous les fidèles de la Sainte Eglise Pascale,


Dans le cadre d'un procès de l'Inquisition concernant Monseigneur Brice Valdargent, évêque d'Amiens, nous, John Hasting, Cardinal Grand Inquisiteur, lançons un appel à témoin.
Si Monseigneur Valdargent vous a causé un tort, ou que vous avez juste quelques choses qui vous parraissent futiles concernant sa piété, veuillez nous en faire part le plus vite possible par missive.
De plus, si vous voulez assister à ce procès, il aura lieu au Grand Tribunal de la Sainte Inquisition, à Reims et sera public.


Fait à Paris le 30 octobre 1649, soit le 30 pascal 1 anno pascali.

Que Pascal vous garde

Cardinal Grand Inquisiteur
Archevêque de Paris

Loevan laisse un petit mot à l'Eglise, à destination du probable homme en soutane.
Le doux frisson qui le parcours. Il se souvient de sa rencontre avec Esmée.

Citation :

Je me permets de réponde à Votre personne, Grand Inquisiteur.
Je souhaite activement participer à ce procès. Donc, je demanderais quelle date verra cet homme face à la loi pascaline.
Une omission de Votre part certainement. Dans la précipitation d'organiser ce procès je suppose, Votre envie de le remettre dans le droit chemin si ... vite !... est tellement louable !
Au vu de la teneur du message, et de sa tournure, cet homme a du faire des choses innommables pour en arriver là.
Mais dans la foi pascaline, il est dit qu'il faut être à l'écoute, et qu'il faut croire en l'Homme.
Ainsi, je me ferais le guide de cette âme égarée pour ce qui sera, j'en suis sûre, non pas un procès, mais une remise dans le droit chemin Divin.
Comprenez que je le défendrais.


Ne tardez pas à répondre, je m'en voudrais face à Dieu de rater cela.

Le messager ayant rapporté la lettre à Paris, il était encore bon pour un voyage retour... Pauvre messager.

Citation :

Monsieur,

Non pas que je veuille que Monseigneur Valdargent n'aie pas de défense, mais je me permet de douter en vos capacités d'avocat. En effet, je n'ai jamais entendu parler de vous dans quelconque affaire. Je me permet donc de douter de votre capacité à assurer une défense. De plus, une affaire de la sorte n'est pas à prendre à la légère. Vous voulez donc défendre un Évêque dans une affaire que vous ne connaissez pour l'instant pas ? Vous voulez affronter le Tribunal de L'Inquisition ? Soit.
Vous êtes donc "avocat" de Monseigneur Brice Valdargent. Je vous laisse vous débrouiller pour la suite. Montez à Reims, tout est là-bas.

John Hasting
Cardinal Grand Inquisiteur

Ses pas la menèrent jusqu'à la chapelle...........
Après un moment d'hésitation, elle pénétra à l'intérieur, et s'avança doucement........
Tout en observant les lieux, elle repensa à la lettre qu'elle venait de recevoir..........

Pourquoi c'est il enfuit....
Je lui avais dit que je viendrai le chercher dès que possible, mais comme à son habitude il n'en a fait qu'à sa tête............
Et maintenant comment savoir où il se trouve.............
Quand je remettrai la main dessus, il va avoir de gros problème...............


Tout en réfléchissant, elle était arrivée non loin des cierges, et en alluma une...........

Votre fils est un sacripant, mais je tiendrais ma promesse.............

[La nuit du 12 Novembre]

Un homme s'approche de la porte de l'Eglise. Deux coups de marteau enroulé dans du tissu pour limiter le bruit, et il file.

-D'diou, ollé qu'on est quand même s'ti bien mal payé pour s'qu'on fait... J'suis sûr qu'y'a que'ques âneries de gribouillé là d'sus... Bon allez, j'm'en allions avant d'me faire voir.

Derrière lui, le message pend, cloué à la porte :

Citation :

A tous ceux qui liront ces lignes, je souhaite le bonjour.

Cela fait plus d'un mois que le Roi est mort.
La course au trône est ouverte depuis lors, et aucun candidat n'a répondu à l'appel du trône.
Certes, des rumeurs se font entendre sur un illustre inconnu, Louis-Édouard de Rohan-Valois.
Cependant, il semble que ce candidat n'ai toujours pas pris la place qu'il visait. Je ne me pencherais pas sur la véracité de sa demande, il y a des gens qui sont payés pour. Je ne me pencherais pas non plus sur le fait que malgré tout, le poste reste vacant, ou du moins, sous la tutelle du Régent, Louis-Philippe de Bourbon d'Angoulême.

Ce qui me réjouit voyez-vous, c'est que malgré tout ce qui se passe à Paris, nous ne semblons, nul part, souffrir de quelconques maux.
Quelles sont donc les choses, importantes, à tirer de tout ceci ? Libre à vous de ne retenir que ce qui vous intéresses dans mes propos, mais laissez moi les exposer.

Comme je le disais, le Roi n'est plus de ce monde, et son trône reste inoccupé depuis bien longtemps, au point de se demander si une paire de fesses viendra jamais lui donner un peu de chaleur à nouveau.
Et pourtant, dans les provinces, la vie suit son court, imperturbable.
A Paris, depuis les émeutes, tout semble être plus calme et les choses revenues dans l'ordre. Du moins, si Paris est en flamme, cela ne vient pas à mes oreilles. A ce demander si elles ont jamais eu lieu ces émeutes...
Voilà donc, depuis plus d'un mois, un Royaume qui avance sans mal, et qui semble bien parti pour attaquer l'hiver qui approche.

Alors posez-vous la question, qui pourrait paraître idiote, certes, mais qui signifie beaucoup pourtant.
Quel est l'utilité du Roi, si ce n'est vivre au Louvre en puisant dans les richesses du pays, avec toute sa cour ?
Nous avons des Gouverneurs qui font un travail exemplaire, grâce à qui la triste disparition du Roi ne se fait pas sentir, au point de même oublier qu'il y en eu un.

Pourquoi nos Gouverneurs ne pourraient-ils pas se réunir, et former un conseil capable de diriger notre cher Pays ?
Ces hommes sont proches de vous, et capables de réagir rapidement aux malheurs qui peuvent vous toucher. Ces gens là savent aussi ce qui est le mieux pour nous tous.
Pourquoi ne partageraient-ils les expériences bénéfiques à chacune des provinces, afin de rendre le Royaume encore plus prospère ?
Pourquoi une personne qui n'a jamais gouverné devrait prendre les rênes du Pays, alors que des gens qui ont fait leurs preuves devraient simplement appliquer ses ordres ?

Je ne vous donnerais pas plus de raisons qui iraient dans le sens de mes propos, je suis sûr que vous en trouverez vous même.
Je ne vous dis pas non plus que c'est le meilleur des choix à faire. Mais les faits sont là, nous n'avons pas besoin de Roi.

Vous me direz que le Régent fait son travail. Allez donc demander aux Gouverneurs ce qu'il en est vraiment. C'est ce que j'ai fait, mais je préfère vous laisser obtenir la réponse de par vous même.

Il est de votre devoir de vous exprimer. Que vous soyez pour ou contre, montrez le.
Donnez votre avis aux Maires, Gouverneurs, ceux qui vous représentent, pour que les choses changent ou non.
Si le changement doit avoir lieu, quel meilleur moment que celui-ci pour le faire ?

Dites vous que plusieurs têtes valent mieux qu'une... Encore plus quand elles ne sont pas imposées.

Bien à vous,

Loevan Hauteclaire.

Citation :

Chers enfants,

notre bien-aimé prêtre a disparu. Quiconque pouvant donner des nouvelles est prié d'en avertir l'archevêque ou l'évêque. J'adresse mes excuses à toute personne ayant souffert de l'attente causée par cette absence.
Je reste à votre disposition pour les demandes de baptêmes et les baptêmes.

cordialement,

L'Archevêque de Bulette