[RP] Eglise Paroissiale Pascale de Paris

Par le regard de mon époux je compris que je devais prendre parole.

J'ai accepté d'être témoin pour Anne-Marie, car je l'ai pris sous mon aile il y a quelques mois déjà. Alors tenant ma promesse faite aux îles j'accompagne ma filleule en ce jour de fête. Jour heureux rempli de bonheur et d'amour. Je lui souhaite une vie heureuse avec Firenze et les enfants car elle le mérite pleinement. Et je veux que tu sache Anne-Marie que je serai toujours présente pour toi. Ne sois pas gêné de demander mon aide je viendrai aussitôt que je le pourrai.

De là haut MH nous regarde et sourit pour ton bonheur... elle à toujours eut confiance en toi et savait qu'un jour tu serais récompensée pour tout le bien que tu as fait autour de toi.

Sois heureuse ma filleule.


Et voilà un mot bref mais qui avait tout son sens lorsque l'on connaissait Anne-Marie. Je sourit à Luc pour qu'il passe la parole au témoin du marié.

Ha ben si elle parlait, et elle n' avait pas la langue dans sa poche même ..... un sourire à l' entendre évoquer Firenze.... qui aime bien, châtie bien.
- Bien maintenant que nous vous avons entendu, que tout a été dit devant Pascal et les hommes, passons à vos échanges de vœux.
Je prenais le coussin de velours sur l' autel, le présentant devant la mariée.

- Prenez une alliance et une petite pierre blanche et répétez après moi.
L' habitude de dire cette phrase car A.M. Benavente connaissait la cérémonie pour la pratiquer. Mais bon on avait tous quelques variantes...
- Moi A.M. Benavente, ici présente devant Pascal et les hommes , j'accepte de prendre pour époux Firenze, de le chérir et lui donner descendance tant qu'il me sera possible et ce dans le bonheur comme la tristesse dans la santé comme dans la maladie et ce jusqu'à ce que le Tout Puissant nous rappel à lui. Prend cette alliance en preuve de notre union et cette pierre fondatrice de notre foyer.

Un sourire en pensant que la descendance était déjà en route..

Je souriais à Germaine puis un regard à Firenze qui en disait long. C'est bien parce qu'il avait bon fond que je l'aimais. Quant à être tête de mule, je ne le savais que trop mais je l'aimais de toute mon âme. Quand elle l'appela "mon garçon", je retins un rire et n'osais regarder Firenze. "Mon garçon", comme c'était drôle d'entendre cet homme que j'adorais se faire appeler ainsi. J'ignorais si c'était une manière de l'appeler ainsi ou si, comme je croyais l'entendre à la voix et au ton, une petite pique. Mais pour quelle raison? Je l'ignorais et je préfairais laisser l'affaire se régler entre les deux. Enfin, je dus prendre la pierre et l'alliance pour répéter une litanie que je connaissais:

- Moi Anne-Marie de Benavente, ici présente devant Pascal et les hommes , j'accepte de prendre pour époux Firenze Falcone, de le chérir et lui donner descendance, qui d'ailleurs donna un coup violent, tant qu'il me sera possible et ce dans le bonheur comme la tristesse dans la santé comme dans la maladie et ce jusqu'à ce que le Tout Puissant nous rappelle à lui. Prends cette alliance en preuve de notre union et cette pierre fondatrice de notre foyer.

La fin était plus proche que jamais et je priais encore et encore tant le bébé donnait force de coup. Mais j'essayais d'être courageuse et je serrais la pierre pour contenir mes douleurs.

Les voeux échangés et voilà la cérémonie touchait à sa fin.



Vives les Mariés!!!!!!!!!!!!!!

J'attendis mon tour pour le féliciter en leur faisant la bise.

Citation :

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Au matin , avant la fin de l'Office , je me dirigea vers l'église .
Je pris un bouquet au marchand ambulant
J'arriva devant les marches de l'officine et m'adossa a un des pilliers qui se trouvait la
Je devait maintenant attendre la fin de la messe pour aller comme prévu , visiter la ville avec dame cybelia .
Quelques passant me dévisager au passage .
Qu'avait je ! Était je un semblant de mandiant , il ne me sembler pas .
Les heures et les minutes me sembler si longue .
Mais j'attendais

Journée Dominicale.. Office oblige pour une femme d'église.. Mais aussi une journée de promenade après l'office.. Elle avait pour employé de maison Monsieur Winchester.. Qui était même voir plus un ami à vrai dire..

Il était depuis peu sur Paris.. Mais au grand combien il avait su écouter Cybelia.. Voir même la conseiller sur certains événements de sa pauvre vie de tristesse.. Lui aussi avait perdu un être cher à son coeur.. Elle aussi.. Elle voulait lui faire découvrir alors la ville afin de le mettre un peu plus à l'aise aussi et en apprendre davantage sur lui..

L'office prit donc fin.. Saluant tout les paroissiens, elle était alors cette fois presser de sortir.. La journée s'annonçait resplendissante, avec un soleil de plus merveilleux.. Elle se rendit donc sur le parvis de l'église en souriant..

Il était là.. Un bouquet en main.. Toujours de délicates attentions à son égard.. Ce qui se faisait rare tout de même de recevoir des Fleurs à chaque rencontre.. D'ailleurs c'est bien peut être le seul homme qui est pensé à cela.. Elle s'approcha doucement de lui voulant le surprendre se son arrivée, derrière lui, elle posa délicatement ses mains sur son visage, afin de lui masquer les yeux et doucement.

Devinez qui suis-je? Elle ne put que rire doucement de sa façon de le surprendre.

Cybelia eut un léger sourire à ses dires, "Ma mère" Bien non c'était pas une mère.. Tout du moins pas encore.. Elle ne savait pas encore vraiment où elle le mènerait.. Mais au vu de la journée agréable qui s'annonçait sûrement dans un lieu calme et tranquille.. Les tumultes de la ville n'étant pas son fort..

Rhoo.. Monsieur Winchester.. "Ma mère"!! Pas de cela entre nous, je ne suis en rien curé.. Mais Diacre. Petit sourire à son encontre. Elle prit alors le joli bouquet et lui sourit.

Merci Monsieur Winchester.. Mais il ne fallait point.. Je ne sais encore vraiment où nous irons.. Mais je voulais savoir une chose.. Préférez vous les grandes rues de la ville.. Ou le calme Monsieur Winchester? Le rouge qu'elle voyait sur ses joues la faisait sourire doucement.. Il était si rare de voir un homme prendre le rouge aux joues..

Je regardais Cybelia , petit sourire au coin.

Alors comment devrais je vous appelez , si ce n'est point ma mère !
J’espère que ce bouquet vous plaira

Je lui tendis le bras

Disons que j'aime plutôt le calme , mais ce que vous me proposerez , m'ira très bien .
Et puis la ville est assez dangereux pour s'y promener , car les carrosses et carrioles en tout genres roulent a tout va , sans ce soucier des personnes sur le bas coté , j'ai eu le cas en venant sur la route , de faillir me faire renverser par l'un deux .

Je pris sa main et la déposa sur mon bras .

Je suis vos indications !!!

Cybelia écouta avec attention Monsieur Winchester, sourire ravie sur les lèvres.. Il était bien que celui-ci aime le calme, elle aussi aimer les endroits retirés des tumultes.

Bien écoutez Monsieur Winchester.. Je pense que nous trouverons bien un lieu à la hauteur de nos envies, et qui nous corresponde à tout les deux. Elle posa dont sa main sur son bras, afin de partir à la recherche d'un lieux paisible.. Où il apprendrait à se connaitre davantage, elle venait de l'embaucher comme employé de maison et jusque là.. Il montrait grande preuve de savoir faire.

Spoiler:

( 31 Décembre 1654 )
Quoi de mieux, juste avant une nouvelle année, que de former une future Pascalienne.
Dans un coin de la nef le Cardinal en robe de sa charge, forcément vu le conteste, avait fait installer deux fauteuils pas loin de l' autel de Pascal.
Puis il attendit la jeune Joanna en regardant les voutes.

Entendant des pas venir, le Cardinal Secrétaire d' État de l' église Pascal se leva prestement.
- Haaa,..... Dame, ravi de vous revoir depuis ce bal que vous avez donné avec tant de magnificence.
Il y avait déjà plusieurs semaines, a réception justement de cette invitation au bal, que il avait correspondu avec le Doc sur le nom de Delarosa que elle portait.
- Je suis un vieil et grand ami de votre oncle le Nonce et rien ne peut me faire plus plaisir que de vous voir rejoindre notre grande famille de Pascal. Mais prenez place.
Il lui désigna le fauteuil face au sien, attendant que elle prenne siège avant de s' assoir.
- Avant que de commencer avez vous des questions ?....

Après avoir écouté,
- Oui certes une grande famille pieuse et croyante, mais le Pascalisme n' est pas forcément un héritage... il faut avoir une démarche personnelle en cela.
Un sourire,
- Mais il est bon que en age de comprendre certaines choses vous penchiez en cela. Par fois l' église à besoin de glaives plus que de paroles pieuses... votre oncle, mon épouse et moi même, avons souvent prêché par la rapière. Mais nous avons œuvré a bien des postes ensemble avant de verser et de défendre Pascal.

Un pensée.
- Pouvez vous me réciter le Crédo ?.. et de là me dire qui est un bon Pascalien et qui en est un mauvais.
Vaste sujet vu ce que il venait de dire...