[RP] Le Port

Elle regardait au loin la frégate s'éloignait un peux plus .Quand tout a coup une voie fine la rappela a la réalité et sans quitté la frégate des yeux elle lui répondit.

Oui je viens de débarquée ,et cette frégate et plus que belle

Elle déposa ses yeux gris sur cette charmante femme de bonne famille et se mie a sourire
donc la voila dans une ville ou elle n'avait aucun souvenir ,ni de qui elle pouvait être la seule piste qu'elle avait,c’était son uniforme de mousquetaire et espérant qu'elle ne lavait point voler et ni supprimé un agent de sa majesté le roi. il fallait qu'elle russe juste pour le au qua ou par précaution.la femme devait connaitre la ville et vue sa présence de celle si il ne valait peux être pas faire de vagues et jouet au mousquetaire .juste une chose la balloté. qu'est ce que fessait un mousquetaire

veuillez m’excusai mi-lady de mon comportement mais a part les tavernes de matelots ,on perd vite son savoir vivre en mer ,je me présente eve

sa réponse laitonnait elle même comment pouvait elle mentir avec temps de persuasion. était elle une actrice comme en Angleterre?elle se courba et lui fie une grande révérence

Et que fêtes vous toutes seule ici une dames de votre rang de devrai pas se promené seule

Héléna écoutait et regardait aussi le navire qui n’est point « le galion » et pourtant, cette voix.. celle de Mai-lée, son amie, Mai-lée était partit depuis des mois et des mois sur les mers, que lui est-il donc arrivé ?aurait été t’elle attaquée, séquestrer par les pirates des mers ? Ou même a-t-elle été esclave qu’elle aurait pu s'en échapper ? Venant et connaissant Mai-lée, elle en serait capable. je connaissais sa force de caractère, elle aurait tout fait pour se libérer... et son « galion » qu’est il devenu, ce navire donc elle en été fière de commander, non vraiment il a du se passer des drôles de choses sur les mers. Enlèvement ? Séquestration? et dans les îles a t'elle été vendue comme esclave ? trop de question que je me posais, et pourtant elle porte son uniforme de mousquetaire.

- C’est un très joli navire, j’en conçois une frégate, un très beau bateau

Lorsque mon regard croisait le sien, je n’avais aucun doute c’est bien elle, aurait ‘elle perdu la mémoire pour ne pas reconnaître son village « Amiens » ? certes il a bien changé, avant d’être mousquetaire, elle était lieutenant dans la marine avec l’amiral Eristen, bien évidement que je pouvais m’en souvenir et pour cause.

- Je vous en prie vous n’avez point à vous excuser, ha ! les tavernes lieux ou se rassemblent les soldats et matelots, et tous les ivrognes des villes, pourtant en vous regardant, il semblerait que vous portez l’uniforme des mousquetaires du roi.


- Enchantée de faire votre connaissance « eve » pour ma part je suis Hélèna De Lhavilland , se que je fais sur cette plage ? disons que je me promène en attendant mon époux le docteur Wesley De Lhavilland, sa majesté le roi louis Philippe l’a convoqué à l’hôtel particulier de sa majesté à Amiens, il devrait venir me rejoindre, dès son entretien terminé et nous repartons chez nous à Paris.

je ne pouvais point laisser mon amie Mai-lée seule, ne sachant même pas si elle avait gite et couverts, je ne pouvais même pas lui dire non plus que le mousquetaire Alban avait disparu, aussi partir conquérir les mers, il n’avait plus donné signe de vie.

- Mai-lée ? heu « Eve » je t’en prie pas de courbettes entre nous, laissons ses simagrées à la haute noblesse, je suis ton amie hélèna , nous avions une maison cote à cote à Amiens.

Toutes les deux faisaient quelques pas, parfois on entendait le cor d’un navire. Combien j’aurai voulu que « eve », enfin mai-lée se souvienne du temps jadis, ou on pouvait les entendre rire à l’auberge que tenait Maïté.

« Eve » que diriez- vous de nous accompagné à paris je suis sur que mon tendre époux sera d’accord et vous ne savez point ou manger et coucher ?nous vous offrons l’hospitalité, le temps que vous preniez vos repaires qu’en pensez- vous ?

je pouvais tutoyer mai- lée, qui j'en suis sure est bien cette personne se faisant passer pour Eve a t 'elle un secret ou simplement perdue la mémoire?

Héléna observait Mai-lée, çà elle est certaine, sa voix ne la trompe pas, elle savait que même si elle se faisait appeler « eve » elle avait ses raisons qu’ Hélèna ignorait , et pourtant c’est bien Mai-lée, la même qui portait cet uniforme de mousquetaire, il lui aurait été facile d’envoyer un pli à la caserne d’Amiens,leurs dire que un de leurs mousquetaire est là à Amiens complément amnésique,errait seule sur la plage, pour le moment il n’en était pas question.

- C’est bien l’uniforme des mousquetaires que tu porte Mai-lée, je ne sais pas ce qu’il a pu t’arriver... et le Galion ou est il ? bien que tu es un peu changer, je dirais un peu plus brune de peau, mais cela doit être que tu es souvent sur les mers

Tout en la regardant de la tête aux pieds, cet uniforme délavé par le temps, mais bien celui que portait Mai-lée à son départ sur le « galion » quand à la présenter au monarque surement pas, son amie a dut subir les pires sévisses aussi son tendre époux Wesley saura quoi lui dire lorsqu’il viendra les rejoindre.

Wesley est avant tout le plus compétant des médecins de ce royaume et des plus humains certains devraient en prendre de la graine..il ne juge point son prochain, venant en aide des plus démunis, qu’ils soient simples paysans, gueux, nobles au bien soldats, gradés ou pas, son métier, plutôt sa vocation de soigner, peu de personne ont ce don d’humanité.


- Ne t’inquiète pas pour Wesley ! Tu n’es pas une étrangère Mai-lée, tu es mon amie notre amie, d’ailleurs Wesley t’avait soigner quand tu as été bruler, il doit te rester des cicatrices dans le dos, n’est ce pas ?

Tout en faisant quelque pas nous marchions cote à cote sans vraiment de but.

- Si tu veux, des que wesley revient d’ailleurs je suis sure aussi qu’il va te reconnaître, nous pourrions aller nous restaurer à l’auberge qu’en pense- tu ?

Je savais que je pouvais toucher un point faible chez Mai-lée tout en l’observant d’un pas lent nous marchions le long de la plage, il commençait à faire froid, je me demandais si tout se passe bien « l’entretien du monarque avec mon tendre époux »

Mai-lée, je ne sais pas ce qu’il a put t’arriver depuis tous ces mois, tu n’es pas Eve mais bien Mai-lée,Mai-lée Lacytadelle …si je te dis Eri, ou alban ou même ? Colonel Eristen … si tu porte l’ uniforme c’est que tu voulais devenir mousquetaire, tu as tellement changée Mai-lée, j’aimerai tant te venir en aide.

tout en regardant au loin parfois je jetais un regard vers mai-lée, lui souriant, comme si mon sourire pouvait lui apporter un brin de mémoire ou d'espoir
.
Mai-lée il y a des blessures qui ne guérissent jamais, celle qui font souffrir en silence, des blessures qui se guérissent avec le temps les brûlures que tu as dans les dos, je les connais pour avoir aider wesley à te soigner, c’est même le colonel Eristen qui a fait appel à ses services, nous étions l’auberge quand un valet est venu nous chercher, il avait un pli du colonel Eristen ..Qui nous menait jusqu'à chez toi

Plus je l’écoutais, plus je sentais que Mai-lée avait un lourd passé, je me demandais bien pourquoi elle me disait qu’elle s’appelait « Eve » ! qu’elle était une pirate, qu’elle n’avait ni roi, ni famille et son sourire ne faisait accentuer ce que je pensais, Mai-lée gardait au fond de son cœur tant de mystères tant de souffrances, surtout le plus douloureux au point d’avoir changer de nom, mais point naïve, je l’écoutais attentivement, ce n’est pas par lâcheté qu’elle soit partie sur les mers. je savais qu’elle aimait l’armée qu’elle aurait donner sa vie pour cette armée et pourtant ?? Est ce que cette même armée s’est pas inquiétée de savoir ce qu’est devenu ses soldats, aucun avis de recherche n’avait été fait pourquoi ? Mai-lée souffrait et que je devais l’aider tout comme elle, quand j’ai débarquée à Amiens ou elle m’avait accueilli bras ouverts sans me poser la moindre question.

Comme j’aimerai voir arriver mon tendre époux, je sais que lui pourrait l’aider; il l'a connaissait aussi pour l'avoir soigner lui en tant que Colonel Médecin Chef de la caserne, du temps ou nous étions soldats; mais ça c'est encore une autre affaire, le plus important pour le moment c'est de venir en aide à Mai-lée je regardais si je voyais la silhouette de mon tendre époux [venir à ma rencontre, j'esperais de tout coeur que son entretien s'acheve vite

Je ne pouvais deviner ce que mai-Lée pensait, mais son air sombre et soucieux, ne me disait rien de bon, il y avait bien une raison, que veux t’elle cacher, je la sentais plutôt nerveuse, quand qu’elle me parlait d’un ton sec, à quoi pense t’elle, quand elle regarde au loin les navires ? Et si peu de militaires pour garder le port d’Amiens, quand un frisson me parcourait le dos à l’idée que peut être des pirates pouvaient être à l’affut d’une attaque, on voyait au loin des canons tout en chassant cette idée de la tête, quand mon doux regard croisait le sien dur et sec .

- Mai-Lée ma douce amie si il y a une personne qui peut t’aider c’est bien moi alors écoute moi bien .

- Bien sur depuis que tu parcoures les mers, les océans, sur ton « Galion » beaucoup de chose ont changés. tu as été militaire plutôt dans la marine, avec le colonel Eristen, soit ! Tu ne peux point t’en souvenir pas plus que d’Alban avec qui tu étais mousquetaire du roi ou plutôt très rapproché de la reine, la reine ? Tu t’en souviens « la reine Loysse » lorsque nous étions en visite à Amiens j’ai su que tu l’avais à bord du « Galion » dont il est ta fierté.

Est ce que je pouvais lui dire que la reine était morte et enterrée, non, quelle étincelle pouvait lui éclairer son regard si sombre, surtout un sourire nerveux et anxieux , elle devait être aussi amer de toute sa carrière militaire de tout son temps donner à la marine que nul récompense ne lui fut accordé, il y a de quoi en vouloir au monde entier,que Mai-lée soit partie des mois voir, une année à travers les mers pour oublier certaines amertumes seraient de bonnes circonstances.

- Non il n’avait pas peur du sang pas plus que des batailles sanglantes, mais sa plus grande peur était aussi de te perdre e t ça je pense qu’il ne l’aurait pas supporté. Si aujourd’hui, Toi ! Mai-lée Delacytadelle et non cette Eve que tu prétend être, tu es devenue un bon militaire grâce à lui le colonel Eristen .
- Et si tu veux avoir des preuves de ce que je te dis, il me suffit d’avertir le colonel Firenze de la garde royal qui se trouve à Vincennes, ou à la caserne d’Amiens….tu a raison allons manger à l’auberge d’Amiens , il doit bien y avoir encore de bons plats digne de mousquetaire.

Toutes deux se dirigèrent vers l’auberge du village.

Nous étions déjà le 22 au matin et Léontine attendait avec impatience son premier client de la journée quand elle vit une jeune femme.

Bonjour madame!
Je suis léontine et voici mon énigme :

Citation :

Quel est le nom de cette très vieille invention internationale qui permet aux hommes de voir, sans bouger, ce qu'il y a derrière un mur?

Léontine, qui pensait son énigme insurmontable, fut étonnée que la jeune femme réponde aussi facilement.

Félicitation madame!
C'est bien cela!
Votre prochaine énigme vous attends à l'entrée de la forêt.
Bonne chance à vous!

Léontine commençait à geler sur place quand un cardinal arriva pour son énigme.

Bonjour monsieur le cardinal!
Bien sûr!
Voici mon énigme :

Citation :

Du fond de la Provence,
Sous le mistral elle danse.
De son coeur née l’essence,
A une couleur, elle a donnée naissance.

Qui est-elle ? la lavande

Elle commençait à glacer sur place la pauvre.

Félicitation Eminence vous pouvez vous rendre à l'entrée de la forêt où vous attends la prochaine énigme.

Nous avions quitté Eu où il y avait la mer , mais je me demandais à quoi pouvait ressembler un port à Amiens alors par les rues et ruelles j'y arrivais .
Tout était à l'abandon mais éffectivement la Somme était assez large pour permettre la navigation de péniches tirées par des chevaux de hallage . C'était à retenir , il me fallait savoir quel vrai port militaire ou civil était le plus proche ...
Le temps venu je verrai, autant ne pas se fatiguer et trouver navires et équipages aux Pays Bas . En tous cas c ertains batiments étaient en assez bon états pour les transformer en entrepots .

Décidement , il me fallait me rendre à Paris et obtenir ces fameuses lettres du Ministre de la Guerre .

Bien décidé je faisais demi tour et rentrais à la maison .

Un  pigeon  m'avait porté un message venant du port de Dunkerque , mes navires arrivaient, j'avais investit  la plus grande parte de mes économies   dans  trois batiments , deux de commerce et une frégate  plus rapide  armée de 40 canons de 8, les  navires  faisaient  1000 tonneaux et  pouvaient traverser l'Atlantique sans aucun   inconvénients , par sécurité  il y avait  12 canons de 10  sur le pont supérieur ..
Ceux  de commercent s'appelaient La Mercure et l'Hermés, ma frégate : l'Onyx.

Les gardes  d'Anne  avaient l'air  bien soupçonneux  que  pouvait ils  chercher ici ? Ceux de la ville  patrouillaient également , ils avaient leurs raisons .
Pas utile d'aller les questionner  ou les distraire .

Qu'il me tardait de prendre possession  de  mes bateaux ,  maintenant il me fallait engager  des capitaines capables  et des matelots expérimentés .

Armateur et négociant , voila qui marquait  le dernier tournant avant de  mener une vie  honorable   avec une vie familiale  transparente et amoureuse.
C'était grace à Milaidie que je voulais devenir' honnète ...

[19 mai, le soir]

Pourquoi, pourquoi, POURQUOI?!!!! Pourquoi ça lui arrivait? Tout allait bien dans sa vie jusqu'au moment où il a fallu que sa soeur lui annonce le décès de son frère ! POURQUOI?! Elle n'y croyait pas, son frère aussi coriace et courageux, aussi tenace et adorable, lui qui a une famille et un fils avec qui la complicité est fusionnelle, comment a-t-il pu disparaître...comme ça?! En mer !!!! Tout ça parce qu'il est soldat et qu'il a du retrouver ce foutu roi qui avait disparu. Si il avait fait comme elle, démissionner de cette armée pourrie qui de tout façon ne tenait plus depuis le départ de Kéri et Charles, elle était sur que tout ça ne serait jamais arrivé.

De plus, elle était convaincue que son frère n'était pas mort, si ça se trouve le corps qu'ils avaient trouver ce n'était pas celui de son frère. Son frère...Ada...son sang...sa famille à part Anne et Nicolas, n'était sans doutes plus...là? Non...elle se refusait d'y croire, elle le sentirai si il était vraiment parti. Si...si c'était vraiment le cas, une partie de son coeur serait morte avec lui et serait partie avec lui, son frère était tout pour elle.

Tout en marchant vers le port, les yeux tellement remplis de rage, de colère et de tristesse, des yeux grands ouverts, le regard tourné dans le vide tel une âme qui ère sans vie, elle repensait à leur première retrouvaille qui ne s'était pas très bien passée d'ailleurs. Une jeune femme de 18 ans venant des Caraïbes débarquant à Paris pour retrouver son frère Ada. Il ne voulait pas croire qu'elle était sa soeur, qu'ils avaient le même père et la même chevalière avec les armoiries de leur famille. Peu à peu, une complicité s'était installée entre eux et la fraternité était née. Aujourd'hui, au coeur de la nuit, Cara sentait que ses souvenirs disparaissaient au fur et à mesure que son frère lui échapper.

Arrivée au port, un ponton se dressait droit devant elle. Le regard perdu, à repenser à tout ça, tout comme le jour où il lui avait annoncer qu'il allait être père et qu'elle serait la marraine, c'était le plus beau jour de sa vie, un fils nommé Nicolas. Malgré ses nombreuses fuites par la peur, par l'angoisse, Cara l'a toujours compris et soutenu jusqu'au bout. Toutes ses blessures qu'elle a soigner et ses pleures et ses cris le jour de son châtiment corporel sur la place, tout ça, toute son histoire construite avec son frère, ces moments de rire, de chagrin, de joie, elle ne les auraient plus...plus du tout? Là devant la mer, ses jambes tremblantes, Cara s'effondre à genoux en hurlant...

ADA ! ADAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! Reviensssssssssssssssssssssssss !!! Ahhh...ahhh....!!!!

Les sanglots, les pleures sortaient d'elle comme un volcan en irruption. La rage et le désespoir d'avoir perdu son frère se déversaient dans la mer, la mer qui avait pris son frère, le Très Haut qui l'avait recueilli. Elle leur en voulait à cette mer et à ce Très haut. Pleurant la, quitte à se dessécher, elle voulait que son amie Emma vienne pour la calmée avant qu'elle ne casse tout sous le coup de la colère.

Pleurant sa peine et son désespoir, se disant qu'au fond son frère n'avait pas disparu aussi vite, il avait encore toute sa vie devant lui, des personnes derrière lui qu'il laissait...non...non ce n'était pas possible. La colère était trop forte pour qu'elle ne puisse la contenir d'avantage, elle était prête à taper dans le bois du ponton quand son amie Emma vint la prendre dans ses bras. Elle était arrivée à tant autrement, ça se serait mal passer. Cara pleurait encore et encore dans les bras de son amie, tant de pleures qui commençait à l’étouffée.

Pourquoi Emma, pourquoi? Pourquoi il est partit? Pourquoi il m'a laissé comme ça? C'est mon frère , une partie de moi s'est envoler avec, je suis sur qu'il n'est pas mort il...ne m'aurait pas laisser, ni moi ni sa famille ! Emma...merci pour...votre présence et vis condoléances merci d'être...la pour moi...

L'air lui manquait et sa tête tournait, Cara n'en pouvait plus et cette histoire l'avait tellement effondrée qu'elle commença à perdre connaissance.