[RP] Le Port

Apres le chantier naval le port , il etait a cote ils n'avaient donc pas marche longtemps , Eristern reflechit a ce qu'ils pouvaient faire ici , puis il se tourna vers Amelia
Quartier Maitre , il y a 2 bateau a quai vous allez me les inspecte avec vos hommes , soyez diplomate et courtoise avec les capitainnes je vous laisse officier

Eristern regardait Amelia faire ce qu'il lui avait demande , elle s'en sortait a merveille
elle finit par revenir vers Eristern Quartier maitre vous etes douez c'est un excelent travail que vous faites , nous allons pouvoir passer a la cathedrale je vous suis

Amélia sourit à la remarque de l'Amiral.

Bien, Amiral !

Se tournant vers ses soldats : Direction la Cathédrale

attendant la fin sur Guernesey on avance le rp …

La brume avait envahi les mers, le voyage tout au long des cotés avaient été périlleuses, mais grâce au travail des matelots à bord, ce fut ce en fin de journée du 14 aout que l’intrépide accosta au port d’amiens. La sensation d’être enfin arrivée l’immergea, Keridwenn descendit de la passerelle en premier, laissant Charles sur le pont en compagnie du capitaine.

Les mouvements en mer lui avaient donnés encore plus la nausée, pourtant étant à son 5 mois bien tassé, elle ne devait plus que ressentir ses petits pieds et petits poing donner quelques coups en elle. Mettant une main pour soutenir son ventre bien arrondi, elle avait dit à Charles qu’elle préférait avoir les pieds sur terre, ne lui avouant pas que ces hauts de cœur commençaient vraiment par la gêner. Keridwenn observait les différentes caisses débarquées qu’ils avaient rapportées de Martinique pour le couple mais aussi par exportation. Des caisses pleins de bouteilles de rhum et autres bienfaits venant des iles En cadeau, elle avait simplement prévu un présent pour ces nouveaux souverains, un présent qu’elle avait également mis dans une des caisses..Son estimation ? aucune idée. Le tavernier, Jean, qui l’avait récupérer sur une des tables lui l’avait simplement offert, un gros caillou dont la couleur bleu roy ressortait avec la couleur des yeux de Keridwenn elle n’avait vu dans ce geste qu’une sympathie et elle l’avait nommé le cœur de l’océan tant ce gros Caillaux avaient des reflets particuliers …. Les caisses quand elle était gravé du signe royale avec le blason des de Nemours. Autant dire que les chariot qui allaient les transporter allait devoir être mise en sécurité..en grand sécurité…et qu’une escorte de plusieurs soldats pourrait être envisager.

La petite visite chez le grand Amiral fera surement référence à la demande de plusieurs hommes. En attendant, sur le navire qui les portait, Keridwenn avait préparé une première missive qu’elle avait grand hâte de faire envoyer avant de se poser dans une des auberges avec Charles.

La tenant en main, elle s’approcha de la capitainerie

- Bonjour, saluait-elle simplement celui qui tenait l’entrée même. veuillez me pardonner mais le convoi prévu pour le courrier sur Paris . ; est il déjà parti ?
- Non madame, il le sera dans une heure,
- très bien ..je vous remercie

Paris Amiens n’ était pas aussi long, mais après un tel voyage en mer, il leur fallait un minimum de repos avant de prendre la voiture qui les amèra directement sur la capitale. Ce fut alors qu’elle aperçut Charles descendant enfin de la frégate. Ce fut avec un sourire sur un visage pâle malgré le bronzage Martiniquais que Keridwenn alla au devait de son époux

Ils étaient arrivés. Quel bonheur cela allait il être que de revoir leurs amis. Charles en était un peu euphorique d'ailleurs. Le premier de la liste serait certainement Eristern Grand Amiral de France qui était sur Amiens.

Kery était sur le pont et déjà s'engageait sur la passerelle. Il l'a trouvé bien pressée d'un seul coup. Il lui fit un petit signe de la main depuis la dunette écoutant le capitaine d'une oreille. Le déchargement commençait et ils en arrivaient aux caisses royales.

- Faites attention à cette marchandise là, fit il en voyant des hommes vaciller en en soulevant une.

Il descendit pour surveiller la manoeuvre et compta et pointa les caisses une à une pour s'assurer qu'il n'en manquait aucune. Puis vint le tour de leurs bagages personnels.

- Merci pour ce voyage Capitaine. Bon retour à vous et peut être nous reverrons nous dans quelques mois pour notre retour sur l'ile.

Charles descendit la passerelle voyant son épouse le rejoindre. Il lui fit un petit sourire et la trouva un peu pâle.

- J'espère que tout va bien ma douce. Vous m'avez l'air fatiguée. Trouvons rapidement une auberge. Nous nous reposerons aujourd'hui. Nous ne sommes pas à un jour près. Avez vous pu envoyer votre missive ? lui demanda t'il tout en passant une main derrière sa taille.

Il arrêta un soldat et lui montra un document attestant de son autorité.

- Prenez quelques hommes et surveillez cette cargaison. Elle est destinée au Roi alors pas de bêtise. Le mieux serait même que vous la conduisiez à la caserne le temps que nous partions pour Paris et tenez, vous remettrez ceci au Grand Amiral Eristern.

Il lui tendit une missive le prévenant de leur arrivée.

- A vos ordres monsieur de Nemours.

Il se tourna vers sa douce et tendre :

- Trouvons une petite auberge.

Il trouvait les rues d'Amiens bien calme. Il avait regardé les navires et n'avait pas vu ceux du Roi. Lui qui s'attendait à voir une armada était bien déçu. Elles étaient peut être en manœuvre. Il ne s'attarda pas sur ce détail qu'il aurait le temps de discuter avec Eristern. Que devenait d'ailleurs ce bougre ?

agrippant le bras de son époux, Keridwenn marchait dans les rues d’Amiens, cette ville n’avait rien changé, le chantier naval n’avait pas amené plus d’activité qu’auparavant. Les mêmes rues, le même paysages, , possible du fait que le soir narguait la journée qui fanait sous un temps brumeux, et bien que l’été fut encore implanté dans cette région, la saison se voyait entrecouper par des orages craquants et refroidissant l’air.

Il y a une auberge là , vous rappelez vous Charles, c’est la rue qui mène jusqu’à.. fit –elle avec un sourire celle qui mène jusqu’à l’hôtel de Savoie.

les souvenirs passaient devant ses yeux à chacun des pas qu’elle faisait, cela faisait relativement longtemps qu’ils avaient quittés la France, mais tout était encore frais dans sa mémoire, présente sans qu’elle en ai perdu une miette. L’hôtel de Savoie sur la ville d’Amiens avait connu un autre propriétaire, Charles avait préférer vendre son bien avant leur départ pour la Martinique, économisant alors un personnel. Mais cet hôtel avait tant à raconter, leur première soirée, n’osant s’approcher, n’osant se regarder et qui avait finit par le premier baiser de Charles. Keridwenn en gardait ce souvenir, au plus profond d’elle-même ; se remémorant chacun des instant d’Amiens par le collier qu’il lui avait offert.

Elle avait encore la sensation d’être sur le navire, sentant le ballottement de la coque s’échappant sous ses pieds, une sorte de mal de mer mais qu’elle avait sur terre. Keridwenn respira profondément, ne pensant que cela ne pouvait être que passager. Elle plissa des yeux mais gardait son sourire quand elle levait son regard sur Charles, évitant alors de l’inquiéter pour rien. Une grossesse, un mal de mer, ce n’était pas le bout du monde tout de même. Elle avait connu bien pire à l’époque où elle avait été militaire. Sans parler des fièvres tropicales ou des insolations. Alors une grossesse, ce n’était qu’un pur bonheur.

Sentant des sueurs froides dans la nuque, il lui tardait tout de même de trouver cette auberge qui lui semblait être loin encore. A quelques mètres du port, pourtant se trouver l’enseigne de cette auberge qu’ils prendraient pour la nuit. Ils passèrent la porte, la salle commune n’avait que quelques voyageurs attablés, c’était très calme, et tant mieux, au fond de la salle, la cheminée crépitait le bois remis alors par la jeune fille qui mouillait le plat de jus qu’elle tenait dans un bol. L’odeur démontrait qu’une soupe chauffait, son fumée embaumé l’atmosphère de l’auberge. Et pourtant, Keridwenn eut comme une envie de vomir. Ne supportant pas l’odeur même du lard et des oignons. Ça promettait s’il n’y avait que ce plat pour le diner.

Oh Charles .. fit-elle soudain en agrippant encore plus le bras de son époux qui devancait le propriétaire des lieu par un simple geste de la main. Tête baissée, elle sentit non seulement qu’elle partait par un vertige , mais aussi une légère douleur dans le bas du ventre la taquinait.

je crois bien que je vais m’évanouir

Un soldat avait apporte une missive a Eristern , il la prit et la lu ,par les sept enfer s'ecriat il . Kerri et Charles venaient de debarquer et il n'avait pas ete la pour les acceuillir . Eristern fonça dans les boxes recuperer son cheval et fonça vers le port , telle une tempete il arriva sur le port , il fonça vers le navire . Les renseignement pris , Eristern apprit que Charles et Kerri avaient debarque , maintenant il fallait les retrouver et Eristern allait donc chercher dans les tavernes d'Amiens

Le visage de Charles rayonnait aux souvenirs.

- Vous souvenez vous Kery lorsque nous marchions le long du port et cette nuit magique dans l’hôtel de Savoie ?

Il se tourna vers elle et la trouva de plus en plus pâle. Heureusement l’auberge n’était plus loin. Il allait pousser la porte lorsqu’il vit Eristern. Un gamin traînait devant la porte, la main tendue :

- Va dire à cet homme que Charles l’attend dans cette auberge, lui fit il en lui lançant une pièce.

L’aubergiste les accueillit chaleureusement et Charles laissa le bras de son épouse un instant pour réserver les chambres. Mais cette dernière le lui rattrapa bien vite se plaignant d’un malaise.

- Hé, mon amour, que se passe t’il ? fit il en lui approchant une chaise et la faisant asseoir. Comment ça vous évanouir ? demanda t'il inquiet.

Une serveuse arrivait déjà avec un verre d’eau et Charles devait être aussi pâle que Kery. Il se s’accroupit en lui prenant la main.

- Portez plutôt quelque chose de plus fort mademoiselle, dit il en lui rendant le verre. Vous croyez que c’est le bébé déjà ?

Il n’y connaissait rien en bébé. Ils avaient toujours l’air de naître quand on les attend pas ou plus. Mais là tout de même c’était un peu tôt. Fallait pas que Kery ait ramené une vilaine fièvre de Martinique. Il lui toucha le front et ne la sentit pas particulièrement chaude.

- Allons dans notre chambre. Vous vous reposerez. Je peux vous laisser un instant que je termine la réservation ? Ca va aller ma douce ? demanda t’il en l’embrassant sur le front.

Eristern allait repartir quand un gamin arriva , lui tirant sur la veste
msieur msieur , un msieur la bas dans l'auberge qui dit qui s'appelle Charles , y vous attends
Eristern sourit , il sorti une piece et la lança au gamin merci p'tiot , prend ça tu pourras t'acheter du pain
Eristern se dirigea vers l'auberge et en poussa la porte , il les vit tout de suite , faut dire qu'il n'y avait pas grand monde , Charles avait l'air en pleinne forme par contre Kerri etait pale , Eristern la regarda et vit qu'elle avait un ventre tout rond il comprit vite pourquoi elle etait aussi pale
Eristern se rapprocha d'eux doucement Charles, Keridwenn voila on vous laisse partir pour le nouveau monde et voila on vous retrouve bientot parent Eristern rigola mais il y avait de l'emotion dans son rire je suis content de vous revoir apres si longtemps , mais je ne peux vous laisser coucher dans un auberge alors que ma maison est a deux pas d'ici , si cela vous dit ma maison est la votre

tant de questions qu’elle ne sut répondre que par un sourire pâle. Le malaise passé, une fois qu’elle fut assise avec un verre d’eau en main

Cela ira merci bien Mademoiselle fit-elle en buvant une bonne gorgée. ne vous inquiétez pas Charles, cela ne peut venir que du voyage et de l’angoisse de revenir ici ! ce bébé est bien installé au chaud et ne viendra que lorsque le moment sera venu mais je vais tout de même prendre la peine de m’allonger un peu avant le diner . Demain tout ira mieux, enfin elle l’espérait.

Il lui fallait encore faire le trajet Amiens Paris en calèche et au vu des états des routes de Frances autant dire que les secousses n’iraient pas dans le sens que tout aille pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il lui tardait d’arriver à Paris. Ce voyage n’avait pas les mêmes circonstances que le premier. Quand ils avaient quittés la France, c’était en voyage semblable à celui de noce, vivant pleinement leurs nuits l’un avec l’autre, accueillant les sens de chacun, se découvrant et ce malgré les différents climats qu’ils avaient du affronter. Mais ce retour en France, l’angoissait.

En tout cas nous n’allons pas être dérager par le monde , souriait -elle en passant sa main dans la nuque qui la tiraillait. Contractée, tendue, angoissée, voila bien des symptômes qui présentaient une réelle fatigue à ce voyage.

J’espère seulement qu'il y a autre chose à manger pour ce soir, en ressentant cette odeur de soupe fumante qu’elle grimaça
je vous avoue que l’odeur des pois cassés et des fèves me donne pas envie.. mais vraiment pas fit-elle en souriant.

Se penchant vers son époux, elle lui déposa un baiser sur les lèvres quand soudain, voilà qui arrivait aux portes de l’auberge. Le grand amiral Eristern. Prenant appui sur l’épaule de son époux, Keridwenn afficha un sourire en voyant un ami de longue date. Elle resta sans voix dans un premier temps, souriant bêtement ou plutot souriant suprise, agréablement surprise par la visiste

Bien le bonjour amiral, fit elle en se relevant tenant le bas de son ventre qui n'avait échapper à Eristern.

Keridwenn laissa son époux prendre le premier pas pour aller à l’avant d’Eri. Coutume et us !! la femme en second, l’homme de famille en premier mais elle ne put s’empêcher de ne pas décliner l’offre quand elle vit sur le tableau inscrit en grosses lettres t :

Citation :

Plat du soir
Uniquement potage garnis aux légumes du jardin, petits pois cassés, Lard et oignons

Eristern sourit
et bien suivez moi la maison est a quelque pas du port ; vous pourrez vous reposer apres ce long voyage , quand on est pas un marin agueri comme moi les voyages en bateau sont parfois difficiles
Eristern rigola
du rhum vous dites Charles , nous aurons l'occasion d'en parler , mais pour l'heure suivez moi , keri si vous voulez vous appuyez sur moi pour faire la route , je vois que votre etat et le voyage vous on rendu un peu malade
Eristern tendit son bras a Keri , puis il les conduisit jusqu'a chez lui

Ada s'était lever tôt sans reveiller Anne. Il l'avait embrasser en partant et marchait vers le port main sur son arme. Il avait relever le défi.. Et même si sa soeur avait réparer l'affront Amélia voulait quand même un duel.. Tant mieux ! Cela allait le dérouiller un peu et il en avait besoin. De plus il espérait beaucoup de ce duel qui lui permettrait de voir si Amélia était devenu plus forte rapière en main.

Il arriva sur le port et resta un moment a regarder les marins encore ivre embarquer sur leur navire. L'odeur de la mer lui emplissait les narines et cela le fit sourire, cela faisait un bout de temps qu'il n'avait pas senti cet odeur.. Il repéra Amélia et s'avança vers elle, une main sur le pommeau de son arme

Bonjour Amélia ! J'espère que tu es prête ... Parce que moi oui ! Je ne t'ai pas trop fait attendre j'espère ?

Sir Rick avait ouïe dire de bisbille entre soldat de la marine sans savoir le fin bout de l'histoire, sachant que les affaires et évenements concernant la marine royale et l'armée de sa majesté n'étais pas de son resort en tant que conseiller à la sécurité, il n'allait pas accepter que des combats puisse éclater sur le port de la citée d'Amien, surtout qu'elle est sous sa protection sur tous le territoire.
Il se demanda s'il devait enmmener quelques gardes au cas ou, mais savait qu'il s'agissait de noble soldats à qui la communication serait une solution et que des frères de sang millitaire ne pouvait oser s'entretuer pour une bisbille, donc il s'avança vers ces deux personnes en uniforme main a l'épée...

Ada se tourna vers l'homme et le reconnus, il sourit et expliqua le fin mot de l'histoire

Mon salut Sieur ! Je n’appellerais pas cela une tension mais plutôt un léger différent ... Ma soeur a fait un affront a cette jeune soldate et il en résulter que cela devait se régler par un duel tout a fait amical. Mais j'avoue que l'endroit est totalement ... Incongrus et mettrait la population en danger en cas de problème. L'endroit était mal choisi j'en conviens et je vous présente mes plus sincères excuses. J'accepte toute sanction que nous pouvons encourir mon amie et moi même.

Il préferait prendre tout sur lui surtout que c'était de la faute d'une membre de sa vie donc cela en valait plus la peine que de sanctionner aussi Amélia qui avait vu son honneur de marin entaché hier soir .. Il regarda l'homme et attendit

Il les regarda avec un sourire amicale et répondit....

Alors il regarda ses deux interlocuteurs qui semblait plus détendu qu'auparavant et il étais tenter d'accepter l'offre mais savait bien que le lieux n'étais pas de convenance....

Faisant les cents pas dans le couloir ,je vis la porte des appartements de la reine s' ouvrir,Loysse en personne surgit belle comme toujours

Citation :

Mousquetaire, je vais sortir, j’étouffe dans mes appartements. J’ai envie d’aller au port. D’ailleurs si vous le souhaitez, demandez donc à ce qu’on prévienne également le Lieutenant Mai_lee. Cela lui fera un petit aperçu. Qu’elle nous rejoigne soit ici soit au port. Ah et je ne veux pas de carrosse, nous irons à cheval, ce n’est pas loin.

Bien majesté aussi apparu aussi vite disparu elle a dit Maiee aussi oh mordioux quel joie ma sirene avec moi sur ce je me dirigea vers l'écurie croisant en chemin un soldat je lui demanda

Mon ami trouvé le lieutenant Maiee quelle nous retrouve soit ici ou au port ah dite lui bien que c'est un ordre du commandant Alban pour escorter la reine . aussitot dit le soldat partit rejoindre Maiee .

Enfin une mission ensemble pensais-je me dirigeant a l 'écurie je pris Arkhan par les rennes et le sortit

Mon grand on vas faire une ballade lui dis-je , la renne apparu et se mit en selle ce que je fis aussitot accompagné sous une escorte nous primes le chemin du port,me retournant sur ma selle pour voir si ma sirene surgirait hélas rien .

Nous atteignimes le port, mettant pied a terre,la reine se réfugia sur une jetée s-' asseyant sur une grosse pierre je la suivit comme son ombre restant a une distance raisonnable elle ouvrit son nécessaire d’écriture jouant avec la plume qu’elle passait sur sa joue .

Me tournant vers l'escorte qui se mit en place ,espérant voir surgir ma belle sirène ,je soupira tellement fort que certainement La reine dut entendre réfléchissaint elle meme à ce qu’elle allait écrire tout en jetant un regard devant elle.

N'étant point une statue je me mis a faire les cents pas ma main posait sur le paumeau de mon épée Va t'elle venir ma sirène ? levant la tete en l'air je vis des mouettes nous survoler mordioux ! point le moment hein la haut je n'est qu'une tenue espérant que je ne me ferais point bombarder .

mai_lee se trouvait dans l'écurie de sa caserne avec sa jument tempérance car depuis qu'elle avait demandait sa mutation pour les mousquetaires ,elle s’entraînait a bien monté a cheval ,mais on ne pouvait dire qu'elle était douée

allé tempérance on va se promenait sur la plage car une fois a Paris on ne pourra peux être pas

sa monture prête elle sorti de son box ,quand elle aperçut un mousquetaire se dirigeait vers elle

lieutenant Mai_lee? Pas facile de vous trouvez ,c'est le commandant alban qui m'envoie vous cherchez pour escorter la reine il vous attend soit a l'écurie soit au port

oui c'est bien moi ,et sa fait longtemps que vous me chercher ? Je vais au port alors de suite ne les fessons pas attendre

elle se mie en selle et sourit « il m'a demandé qu'elle joie de passé un journée avec lui »,elle arriva par la plage , tempérance trottait dans les vagues car la jeune cavalière avait plus de facilité a la tenir .son cœur s’emballa quand elle aperçut son tendre aimé faire les sen pas près de la reine ,qui celle ci était assise sur un rocher jouent avec une plume .Mai_lee se dirigea vers son commandent avec un sourire radieux au lèvres et une joie immense de le revoir.
Elle descendit rapidement de sa monture et se mie au garde a vous devant celui ci qui fessait qui frissonné même dans ses rêves les plus fous

vous m'avez demandez mon commandent?je suis a votre disposition

son regard ce plongea dans le sein

[5 Novembre 1651 - La fin du voyage se fait sentir]

Yeux toujours rivés devant elle, elle entendait quelque peu le mousquetaire Alban et tournait légèrement sa tête dans sa direction. Apparemment il semblerait être impatient, mais de quoi donc ? Il ne fallait pas longtemps à Loysse pour trouver réponse. Elle avait demandé à ce qu’il fasse venir le Lieutenant Mai_lee s’il le souhaitait, ce qu’il avait sans doute du faire. Loysse avait remarqué qu’entre eux deux il y avait une grande attirance et donc ce soupir pourrait s’apparenter au fait qu’elle ne soit pas arrivée encore. Un léger sourire aux lèvres elle revenait à sa lettre, cette fameuse lettre qu’elle devait écrire.

En date du 25 octobre elle avait fait parvenir une lettre à l’assistante culturel du Louvre et à ce jour elle n’avait toujours aucune réponse. Certes elle-même avait mis du temps à répondre, mais sachant qu’elle avait donné une date pour que tout soit prêt, la moindre des politesses aurait été qu’elle lui réponde pour lui signifier que tout serait prêt etc etc. Mais non rien de rien et Loysse en avait par-dessus là tête des personnes qui veulent s’investir, qui disent être là au service du couple royal et qui en fin de compte ne font rien du tout ou le strict minimum.
A présent arrivait le tour de Loysse de soupirer. Que de personnes fortes en paroles et en écrits mais quand il s’agit de montrer de quoi on est réellement capable il n’y a plus personne.

La plume allant se tremper dans l’encrier, parchemin sur les genoux elle se mettait à écrire.

Citation :

De Sa Majesté Loysse De La Brie en Carly
Reine de France et de Navarre
Grand Maître de France
Premier Ministre

A Mademoiselle Annie d'Ormesson
Assistante Culturel Royal

Voilà dix jours que je vous ai fait parvenir une lettre concernant une fête lors de notre prochain retour sur Paris. Dans cette lettre je vous ai demandé que tout soit prêt pour dans 10 jours. Sachant qu’au pire des cas le courrier mettrait deux jours à vous parvenir, je comptais au moins avoir nouvelle de votre part vers le trente octobre.

A ce jour nous sommes le 5 novembre et toujours rien. Sachez cependant que nous serons de retour sur Paris le 8 voire le 9 novembre et que dès notre retour je souhaite avoir avec vous un entretien. Les choses ne peuvent plus continuer de la sorte et de constater que les encouragements que nous avons pu vous faire ainsi que les félicitations faites, vous importe peu.

Je porte donc à votre connaissance qu’il n’est point besoin du tout de vous occuper de la fête pour notre retour, que nous avons mandaté nos domestiques pour s’en occuper.

Veuillez en prendre bonne note

Cordialement

Fait à Amiens le 5 novembre de l’An de Grâce 1651

La lettre terminée, Loysse la relisait puis laissait sécher l’encre. Profitant là encore pour porter son regard devant elle et de laisser vagabonder son esprit.