[RP/Anim : la quête du Graal ] Etape 1 : L'ile au trésor

( bon... yoyo entre la 7 et la 11, en passant par la 9, avant de finir en 13........heu si j' ai bien suivit...)

Nouveau matin de quête après une nuit passée à l' abris du promontoire. Nuit agitée entre les grondements du volcan et la pluie de roche qui quand même semblait se calmer. Aux premières lueurs de l' aube j' étais à cheval, car je pressentais un longue et rude journée du 4 devant moi.

Sifflotant un air joyeux du genre " engagez vous ! réengagez vous !... vous verrez du pays !....". En tout cas j' étais sauf et je tournais le dos au versant du volcan crachant ses entrailles réchauffées.
Au bout d' une vingtaine de minutes nouveau changement de terrain. Terre retournée, troncs d' arbres écorchés vif à leur base, nul doute un secteur ou les sangliers aimaient à se retrouver et il ne devait pas faire bon tomber sur une harde en balade. Ils n' étaient pas particulièrement bien connus pour leur accueil et chargeaient souvent à vu.

C'est donc avec un soulagement certain que j' atteignais les premiers arbres de la forêt ancestral de Millelieues. On la disait peuplée d' êtres maléfique, ou comiques suivant sa chance. En tout cas c' était un labyrinthe d' arbres hauts dont le feuillage occultait le soleil et donc il était impossible de se fixer un cap valable. J' avais du mettre pied à terre à cause de toute ses branches basses que l' on voyais au dernier moment et en général dans un dur contacte sur le nez dans cette noire forêt. Nul doute je tournais en rond, à preuve je débouchais bien de cette forêt, mais coté volcan, donc du coté ou j' y étais entré. Il me fallait trouver des points de repaires. Avisant un arbre haut en retrait, je m' y rendais, montant debout sur Foudre pour attraper une première branche, et me hisser vers sa cime.
J' étais à mis escalade quand Foudre se mit à cabrer en hennissant, ramenant mon attention vers le sol. Une harde de sangliers venait de surgir, le prenant pour cible. Il prit l' initiative de filer, entrainant les sangliers à sa suite. Je maudissais le sort. Mon cheval sèmerait facilement la harde mais je me retrouvais à pied.
Pour l' instant autant finir de monter pour voir la forêt et trouver un fil conducteur pour la traverser.

Il me fallu plusieurs minutes pour constater une chose, une ligne de chênes majestueux perçants la voute de feuillage. Les intervalles entre eux étaient trop régulier et trop rectiligne pour être le fruit du hasard. Haut perché, j' en profitais pour voir ou était passé la harde, la découvrant a se vautrer dans une sorte de mare boueuse. La poursuite avait du leur donner chaud.

De retour à terre, j' avais le choix de continuer à pied avec juste ma dague, ou de retrouver mon cheval qui lui avait ma rapière et mon arc, qui me serraient plus utile à moi que à lui pour la suite, sans compter eau et vivre.

Il me fallu deux heures de marche pour retrouver Foudre, qui lui avait retrouvé l' abris de notre nuit. Une matinée de perdue mais un sourire à pouvoir boire et manger, puis sommes toute rien de grave. Au pire je pourrais servir de guide un jour dans la région pour l' avoir sillonné en long et en large....

De nouveau en selle et cap vers la forêt. Le soleil était haut et les sangliers devaient encore barboter en soignant leur rhumatisme dans la boue. Mon observation du matin se montra juste, et je gagnais un temps précieux pour traverser cette forêt en suivant les larges troncs des chênes, me retrouvant cette fois ci du bon coté. Même en ayant du remettre pied à terre pour éviter certains branchages aux épines acérées.

Fourbu, crevé, mais quasiment sain et sauf si l' on ne comptait pas les écorchures et bleues de la journée. Avec un réel plaisir à enlever mes bottes après une petite corvée de bois mort pour faire un feu. Pas vraiment pour éloigner d' éventuelle créatures à quatre pattes car je devais sentir comme un fauve sous le vent. Des herbes coupées en guise de matelas, ma cape pour couverture et ma selle en traversin, je plantais ma rapière à portée de main, provoquant un bruit sourd sous la lame entrant en terre. Curieux, je creusais un peut pour trouver un petit coffret. Bonne surprise d' y trouver 100 pièces à la place du squelette d' un chat.

La quête du Graal était passionnante, mais point fini. Demain serait un autre jour et les dangers semblaient aller crescendo....
Pas besoin de berceuse, juste le scintillement des étoiles pour trouver le sommeil.

( je rectifierais ce poste si je ne fini pas en case 13^^)

[case 3]

Cette fois...elle avancerait doucement ne regardant plus ailleurs...ne plus se faire distraire par le chant des oiseaux ou autres...
Anne était sur d'être bien en retard vis a vis des autres...

Mais cela était pas bien grave...
C'est donc avec prudence qu'elle repris la route le matin avec des bandages au jambes...avec cela elle avançait doucement...
Traverser la rivière qui a l 'endroit ou elle était , était peu profonde...
Puis , elle voyait les collines..elle aurait du passer directement par là au lieu de s'aventurer les autres fois par ailleurs..

Quand le soleil fut au zénith, elle pris un peu de repos et grignoter un peu...
Mais voir les collines c'était bien...mais y arrivée était autre chose...

reprenant sa route, elle traversa les collines avec bien des difficulté...en faite cette aventure...lui faisait du bien....
Mais elle devait s'installer pour la nuit...
Elle posa sa cape au sol...Adosser a un rocher....elle regarda la nuit tomber....son esprit partie....les étoiles une a une brillait...comme des yeux qui nous regardent...
Peu être ceux des défunts...ou bien ceux que l'on a aimer ou de ceux que l 'on aime...

[coincée en case 6]

A quoi peut on passer sa journée quand on se rend compte que le pantalon trempé met un temps fou a séché.
Hors de question pour elle d’attraper la mort en revêtant le vêtement, quoi que…
Jouer a ric hochet, lancer les pierres plates sur l’eau, oui bon ca l’amuse pas vraiment et s’en lasse vite.
Tresser les herbes hautes pour en faire un collier, une couronne, des bracelets. La voila déguisée en princesse de rien vêtue d’une chemise au bord d’une rivière.
Pourquoi c’était elle lancer dans cette quête ?
Pour se changer les idées. Mais comment se changer les idées quand on est coincée la au milieu de nul part.
Elle avait voulu de l’action, pour ne plus penser, pour oublier. Se retrouver seule avec elle même ainsi n’est pas ce qu’il lui faut.
Parce que quand on est seul, on a tout le temps de réfléchir, de penser et a quoi pense t’on ?
Au passé, à la vie qu’on veut oublier.
Allongée entourée de sa couverture, la tête posée contre sa besace, elle est prête a passé une nouvelle nuit.
Le regard rivé sur le ciel étoilé, elle murmure ce qui lui passe par la tête.

Quand la lumière disparait et que la nuit s’installe
Je frisonne, je déraille sous la voute des étoiles
Je ne suis plus qu’une poussière parmi les poussières
Mes rêves se sont envolés sans retour en arrières

Ce n’est que ma faute, je le sais, je t’ai perdu
Pourtant ce n’est pas ce que j’avais imaginé et voulu
J’enferme ma vie dans le silence
Rien n’arrive à combler ton absence

Je vais m’éteindre doucement à petit feu
Lentement m’en allée vers cet univers inconnu
Il n’y plus que ca que j’espère que je veux
Pour ne plus penser a ce que j’ai perdu

La seule délivrance est là a portée de main
Puisque pour toi et moi il n’y a plus de lendemain

Certains semblaient trainer la patte, il avait attendu que tous soient au même niveau mais ne souhaitait pas non plus faire attendre trop longtemps ceux qui avaient avancé, tant pis, les retardataires rattraperaient, ou pas.

Citation :

Charles

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Rosy

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Luc (c'est bon pour la case 13^^)

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Mercedes

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Cara

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Gregory

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Mariana

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Daisy

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Maria

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Prudence

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Yolane

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Falardeau

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Anne

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Aimelin

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Colin

Nombre aléatoire (1,4) :

4

[case 3 +4 = 7 ]

A force de se reposer les pieds ballants bien assise sur son tronc d'arbre,
Daisy ne sentait plus de douleur aux pieds, elle se remit debout tout doucement,
posant d'abord les pointes des pieds puis la voila debout grimaçant en sentant
la douleur se reveiller un peu

Aller courage, tu es presque en haut de cette colline se dit elle pour se motiver

Daisy arriva alors en haut de la coline, puis continua les montées et les descentes
s'enchainant les unes aux autres...

Tout à coup un grognement énorme la fit sursauter et de suite une impression
de chaleur étouffante, des bruits d'arbres qui se brisaient....

Scrunchhhhhhhhhhhhh.....une éruption !!!!!!!!!!

Daisy oublia bien vite ses pieds, ne sentant plus aucune douleur
tant la peur avait prit le relai, elle souleva ses jupons et se mit à courir le plus
vite possible,.....

( nous n' étions pas vendredi 13, mais de 13 en 13 j' allais...d' un pas confiant au départ,...... et chancelant au retour )

Nouveau réveil dans la silve humide sous un ciel devenu menaçant. Ma première déconvenue venant de voire Foudre boiter bas.
Je devrais le laisser là au repos, pour m' aventurer seul en reconnaissances.

Les plaines étranges s' étalaient devant moi sous de lourds nuages grondant le non de Zeus.
Étranges terres ou en ce jour ma cape me serait utile autrement que de couvrante nocturne.

Un tour d' horizon me laissant seul en pointe de cette quête. Point de Prince et consort, ni de Mairesse bougresse en vue, encore moins d' amies, en robe ou pantalon, ou d' épouse. En gros s' essuyais les plâtres. Au loin le volcan semblait à nouveau se mettre en branle. Pour ma part c' était un nuage d' un joli gris qui déversa son trop plein de larmes sur moi.

M' ébrouant comme un chien sortant d' un bain forcé, je me décidais à avancer, laissant Foudre libre à garder notre selle inutile en ce jour.
Je prenais juste mon arc et ses flèches, ma rapière à ma ceinture, quelques vivres et de l' eau, bien que celle ci vu le ciel ne devrait pas me faire défaut pendant cette journée.

Le crachin se faisait épais par moment et le ciel s' illuminant d' éclairs n' invitait pas à se mettre à l' abris d' un arbre. Donc J' avançais en essaimant mes pas dans la terre devenue spongieuse. Au moins je n' aurais pas à chercher ma route si je devais faire demi tour.

Vers ce que j' estimais midi, une baraque semblant un ancien relai de diligence m' offrit son toit pour faire un repas froid. Mon attention se porta sur un pan de mur décoré de divers boucliers ronds en bois, dont certains étaient marqués de profondes griffures. Un signe du destin... en tout cas une certitude que la contrée devait connaître quelques animaux féroces. Je me décidais à en prendre un pour continuer ma route.

A peine une heure de marche plus tard et je tombais sur une horde de loups . Pour tout dire c' est plutôt eux qui me tombèrent dessus....d' abord trois hurlants un peut trop à la mort pour mon goût, vu que en échos d' autres répondaient. Avec Foudre j' aurais facilement pu franchir cet obstacle. Mais pour l' heure j' étais à pied et les trois semblaient prendre du poil de la bête à sentir leurs congénères arriver. Le bouclier me fut fort utile à parer la première attaque, le bois occupant les crocs d' un loup pendant que ma rapière ouvrait le crane d' un deuxième à un esprit plus Pascalien... Nul doute qu' il ne fallait pas trop trainer dans les parages. Je refluais donc vers l' ancien relaie, non sans éventrer un autre loup voulant communier de trop près avec moi. Les deux loups à terre présentant l' avantage d' occuper la meute arrivante, je filais bon train en revenant sur mes pas.

C' est déconfit et trempé que je retrouvais mon cheval.
- Ne rigole pas trop, demain si tu ais en forme tes sabots risquent de d' être utiles autrement que à me porter...

[6+2=8]

Après un bon bain de boue qui soit diant était bon pour la peau et un nettoyage dans une eau claire et bien qu'il fut trempée de la tete aux pieds, Charles reprit la route. Le trajet était agréable et grâce au soleil qui au fur et à mesure de l'avancée de la journée commençait à chauffer l'air et la terre de ses rayons lui permettrait de vite se sécher et se réchauffer.

Au devant de lui, il vit une autre montagne. Allait-il devoir la grimper aussi? Il avançait et ses yeux purent apercevoir des fumerolles qui s'échappaient du sommet. Ce n'était pas très normal quand tout un coup après un grondement le sommet explosa envoyant en l'air des cailloux aux alentours. Il comprit qu'ne faites la montagne était un volcan et celui-ci semblait s'être réveillé. Il ne fallait pas rester là sous peine de se retrouver dans une mauvaise posture et voir mettre sa vie en danger. il prit les jambes à son cou et dépassa le volcan tant qu'il put afin de se mettre à l'abri.

[Toujours case 1]

Ronflant presque, Cara s'était assoupie sous un arbre, attendant de pouvoir reprendre la route mais, le sol était si confortable, de l'herbe verte, un abri contre les rayons du soleil, que demander de plus? Peut être, un coup de main pour, se lever et, marcher jusqu'à ce fameux trésor qui, faisait tant rêver tout le monde qui, faisait cette quête pour l'avoir. Essayant de se lever, elle voulait tout autant que les autres, l'avoir ce trésor et, elle l'aurai, un jour.

La nuit allait bientôt tombée, autant rester ici et, se rassasier avant de reprendre le chemin. C'était dommage, elle n'avait encore croiser personne, ni sa soeur, ni Luc ou, quelqu'un de son entourage. Malheureusement, sa mère n'avait pas pu faire cette aventure, ce qui, la chagrinée beaucoup, elles qui avaient prévues de le faire ensembles, elle espère qu'elle aille bien et, que le bébé n'était pas encore né, elle voulait voir si, cela serait une fille ou, un garçon.

Sa soeur aussi allait, bientôt accoucher et, peut être qu'elle pourrait accoucher les deux, cela serait une immense joie pour Cara. La nuit venue, apres avoir manger, fermant les yeux, elle se rendormit vite jusqu'au, lever du jour.

(n'hésitez pas à me mp si besoin de relancer les dés ou de modifier, mon logiciel excel a rendu l'ame donc pas toujours facile de suivre. Je devrais le récupérer ce soir.)

Gregory était arrivé près du volcan (case 7) et avait couru comme un dératé (case 11) mais avait finalement décidé de repartir vers le volcan. Est-il fou cet homme ? Allez, laissons lui une chance de ne pas mourir grillé !

(2 fois sur la case 7 donc deux lancers)

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Nombre aléatoire (1,4) :

1

(c'est sadique là ^^ si je me trompe pas : retour en 7 + 3 = 10 relance du dé : 1 je recule à 9 et mon dé compte double donc 1+1 = 2 9 + 2 = 11 ? XD Je retourne encore en 7 alors ? ^^)

Quelle journée mais quelle journée. Non, je devrai dire : Quelle semaine. Heureusement qu'il y a quelques bons petits moments parce que là, c'est la poisse ! Je me retrouve près d'un volcan, qui semble se réveillé, me voilà à courir comme un demeuré pour échappé à la lave en fusion et finalement on dirait que c'est une fausse alerte. Bon, me taper une telle course en étant blessé, c'est pas une bonne idée en plus, j'espère pouvoir enfin me reposé !

Mais non, ce serait trop beau, dans la forêt, j'entends des bruits étranges à vous faire froid dans le dos, je préfère ne pas m'attardé, j’accélère le pas mais rien n'y fait on dirait qu'on me suit , non, qu'on m'encercle ! Et comme je tiens à ma peau, je me dépêche mais rien n'y fait. Je décide donc de faire demi-tour, quitte à me cramer les miches, tant pis ! Je me retrouve de nouveau près du volcan et voit la jeune femme qui m'avait laissé sa cabane à Eu, elle semble dans le même pétrin que moi. Je m'approche d'elle alors que le volcan recommence à gronder et lui dit :

On devrait peut-être ne pas rester là !

[case 7 + 1 = 8 + 2 qui ne fait qu'1 = 9]

Daisy s'arrêta à bout de souffle et se retourna,
elle vit la coulée de lave glisser plus bas emportant tout
les arbres semblaient de simples brindilles cassant et brulant...

Daisy le souffle coupé se plia en deux posant ses mains sur ses genoux
pour retrouver un peu d'air....sa respiration commençait a redevenir normale...

un bruit de brindille derrière elle, suivit d'un grattement du sol...
elle se baisse pour regarder entre ses jambes...

Un sanglier !!!!
que faire courir ne pas bouger..elle hésita
un nouveau pas du monstre tout en muscle, impressionnant,
ses yeux tous petits mais d'un noir à glacer les os n'annonçaient rien de bon....

Sans plus réfléchir elle rassembla ses jupons, et se remit à courir,
courir encore sans s'arrêter, des branchages lui cinglaient les bras
mais qu'importe elle fila le plus vite possible....

[5+1= case 6 ]

Je continuait paisiblement ma route après avoir affronté cette créature maléfique...Bah oui il faut bien user des bons mots pour les choses telles qu'elles le sont... Donc me dirigeant vers ma prochaine destination qui n'était point loin... une cardinale marchant à pas de tortue je vous l'ai déjà mentionné?....

Quand tout à coup venu de nul part surgit de derrière moi un des autres concurrents courant comme une gazelle et me bousculant sans vergogne je perdis pied et sans avoir le temps de me cramponner à une branche pour mon salut je trébuchai un me retrouva cul par dessus tête dans une marre de boue les jupons remontés vers le ciel....

Pestant contre l'idiot qui m'avait fait rouler dans la boue comme une vulgaire truie. Je me retroussais de ma fâcheuse posture en maugréant entre mes dents que si je retrouvais cet emplâtrer il aurait droit à ma façon de penser. Le pas lourd je me dirigeais vers le point d'eau le plus près pour une toilette plus que bénéfique.

A mon réveil je ne pensais guère à faire lessive aujourd'hui pffff. Entrant toute habillée pour enlever le plus gros de la boue sur mes vêtements et ensuite les délaisser sur un rocher près de la berge je me permis une baignade en habits d'Ève guettant autour les regards indiscrets.... S'en était foutu pour aujourd'hui le temps que mes vêtements sèchent....

Spoiler:

Ça avance bien, certains ne sont pas loin de la ligne d'arrivée et du trésor. Mais tout peut encore arriver ! Qui gagnera ? Que va t il se passer ? Le mystère reste entier.

Citation :

Luc

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Mercedes

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Cara

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Rosy

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Gregory

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Daisy

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Anne

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Prudence

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Charles

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Spoiler:

Aller, il était temps de se lever, Cara n'allait pas roupiller toute la journée et, après une bonne nuit de sommeil, la forme était présente pour, accéder à ce trésor qui, était encore loin malheureusement. Il ne fallait pas perdre espoir, peut être cela serait elle la, grande gagnante. Parcourant le chemin, cela commençait à devenir étroit et, sinueux. Avançant encore un peu, plusieurs collines se dressaient devant elle. Oh non ! Encore? Et dire qu'elle les avaient passées avant, il fallait qu'elle recommence.

Prenant son courage à deux mains, elle avait connu pire avec, le parcours du combattant lors de, son entrée dans l'armée il y a deux ans. Soufflant, suant, elle arriva à passer tout cela mais, s’arrêtant un instant avant de, continuer de marcher, ses pieds lui faisait mal. Retirant une de ses chaussures, elle constata qu'elle avait des ampoule. Et une tuile de plus une ! Apres sa jambe égratignée, c'était les ampoule au pieds. En compensation, elle aimerai bien l'avoir ce trésor, comme tout le monde, au prix de cette aventure. Pas le temps de les soignées, tant pis, le chemin était encore long.

[ case 9 + (4X2) = 17]

Arrivée à l'orée d'une forêt, Daisy ralentit toute essoufflée,
pouvant à peine respirer...
n'entendant plus de bruit derrière elle, elle se retourna...
rien plus rien ne le poursuivait

houuuuuuuu Daisy souffla un bon coup,
puis s'avanca doucement dans la forêt protégée du soleil par les arbres,
elle reprit doucement sa respiration tout en continuant de marcher doucement

La foret devenait de plsu en plus dense, et quelques ronces et branchettes
tiraillaient de temps en temps ses jupes mais Daisy savourait
le calme environnant tout en écoutant chanter les oiseaux,
elle se sentait libre plus du tout oppressée...heureuse...
Captivée par une parade de jais, elle s'arrêta et s'approchant
d'un arbre creu elle s'assit contre ....

Daisy retrouvait peu à peu son calme et était heureuse, libérée,
oubliant tout elle savoura l'instant , puis elle continua son chemin,
apaisée se surprenant même à chantonner de temps en temps

Au détour du chemin, un homme gigantesque à ses yeux sauta de derrière
un arbre juste devant elle, Daisy surprise se retrouva par terre,
l'homme lui paraissait encore plus terrifiant et elle recula doucement
sans même se relever, puis d'un coup de rein se remit debout évitant
les coups qu'il essayait de lui donner...

(Case 7 +1 que je dois diviser mais qui reste donc 1 = 8. Puis 8 + 4 = 12
Si c’est pas ca, je rectifierai, parce que là j’ai vraiment un doute…)

Tétanisée Rosy. Elle garde son regard river sur le brun croiser a Eu, au moins elle n’est pas seule en enfer, parce que la avec les entrailles de la montagne qui gronde sous ses pieds, elle vraiment persuadée que l’enfer n’est pas bien loin et qu’elle ira s’y perdre.
Une main qui se pose sur son bras, on l’a tire, on la pousse, on l’a fait bouger alors que les quelques mots clamer se font un chemin jusqu'à son esprit.
Hochement de tête, elle parvient à articuler un simple

Oui.

La besace est remise en bandoulière, la brunette ne quitte pas le dos masculin du regard, un point auquel elle s’accroche, ne réfléchissant pas, fonçant derrière lui, loin de se sentier, loin de ce volcan de malheur.
Une arrivée dans la plaine, le paysage a changer, essoufflée par sa course effrénée, Rosy pivote sur elle-même, marche lentement a reculons en regardant la fumée qui s’échappe de cratère.
La montagne maudite, n’est plus qu’un mauvais souvenir, elle se passe la main sur le front qu’elle a en sueur, ben oui courir près d’une fournaise faut pas rêver, ca laisse des traces.

On l’a échappé belle, comment vous remerciez, je crois que sans vous je serais toujours la bas.

Elle se tourne, mais il a disparu, la brunette laisse échapper un juron, c’est qu’il est rapide lui.

Mettre le plus de distance entre elle et le volcan, elle ne pense qu’a ca, peut être le retrouvera t’elle dans la foret a l’horizon.
Elle avance doucettement et emprunte le sentier, elle chantonne puisqu’elle est seule personne ne remarquera qu’elle chante faux.

Dans ce joli bois.Vous ne savez ce qu'il y a !
Il y a-t-un arbre. C'est le plus bel arbre. Parmi tous les arbres.
L'arbre est dans le bois ! Ah ! le joli bois, Mesdames ! Ah ! le joli bois…

Le sentier bien tracé au départ ou elle se perd a chantonné et a déguster des fruits ceuillis, se rétrécit pour finir par disparaitre, péniblement elle avance dans les ronces, enjambant les troncs d’arbre couché, s’égratignant les bras, le visage.
Décidément elle a l’art d’aller se mettre dans le pétrin, pour se changer les idées cette fois elle est sur le bon chemin…

Enfin une vision agréable, un ruisseau. Celui la elle ne va pas le laisser passer, a genoux elle se rafraîchit le visage, grimace en sentant que ca pique a sa joue.
Puis se désaltère à souhait.
Debout elle tourne sur elle-même, faire marche arrière non, donc on avance, et pour avancer faut sauter au dessus de la flotte, parce qu’elle n’a pas envie de se mouiller les pieds hein !
Un, deux, trois… Hop sur l’autre rive, sauf qu’elle se réceptionne mal et se retrouve allongée et empêtrée dans les ronces.
Tentative désespérée pour se sortir de là, une mèche de cheveux est doucement détachée, elle tente du mieux qu’elle peut de se relever, mais une bonne partie de sa chemise reste suspendue a l’arbuste piquant ainsi que le bas du pantalon de sa jambe droite.
Nous avons donc une Rosy, les mains plaquées sur sa poitrine qui sort du pas si joli bois que ca !
Plus loin elle se laisse tomber au sol crevée comme pas deux, en plaquant sa besace devant elle pour cacher du mieux qu’elle peut sa féminité et réfléchir a comment continuer dans cet état.

( case 13 + 1 = 14 18...)

Nouveau matin gris, mais sans pluie. Je me levais du pied gauche pour marcher sur ........ une bourse. La deuxième que je trouvais dans les parages.
A se demander si le trésor n' était pas enfuis par là. Il faudrait peut être faire des fouilles......mais bon, pas le temps puis je n' avais pas amené de pelle.

Je constatais que dans la nuit une Dame était arrivait monter son campement de fortune à quelques portées de flèches...Un coup de longue vue pour reconnaître Dame Missdaisy. Mais elle semblait prendre du repos après sa longue marche, peut être pas le moment de la réveiller bêtement.
De tout façon il me fallait poursuivre de mon coté et Foudre semblait d' attaque.

A nouveau en selle, je filais sans attendre reprendre la route, en tous cas plus vite que la veille ou j' étais à pied...

Le relaie de poste se montra bientôt, avec un changement notable vis à vis de hier. Une diligence attelée se trouvais garée devant.
Curieux.... chance ou mal chance...Le mieux était encore d'entrer voir qui était le propriétaire.
Mettant pieds à terre j' allais ouvrir la porte, en prenant quand même soin de ne pas me précipiter bêtement.
- Il y a quel qu' un ?....
Une jeune voix me répondit avant que je ne vois le gamin. Je n' avais pas habité Spp si longtemps pour ne pas reconnaître le jeune Bouillette, qui officiait notamment au cadastre, quand il ne sonnait pas les cloches à l' église. Surpris de le voir là, et encore plus de son offre de profiter de sa diligence pour finir d' arriver.
- Honnêtement, vu ma première rencontre avec les loups hier, je serais particulièrement stupide de ne pas accepter votre offre....

Nous sortions vu que il repartait. J' attachais mon cheval à l' arrière de la diligence et je montais à ses cotés sur le siège du cocher, mon arc en main des fois que les loups se montrent curieux.

Mais il me rassura que nous ne risquions ni des loups,............... ni du monstre gardant le trésor.....
- Heu,........un monstre ?

Le fait est que nous ne croisions aucun bougre, à quatre ou a deux pattes. Il me déposa en haut d' un sentier menant à l' entrée d' une grotte.
- C' est là que vous trouverez ce que vous êtes venu chercher...
- Merci bien jeune Bouillette !.... et bon retour.

Sa diligence disparue et je laissais Foudre attaché à un arbre pour descendre le sentier, a nouveau un rien inquiet d' entrer dans les profondeurs de la terre. Heureusement le sîte n' était pas profond et je trouvais rapidement le coffre contenant l' objet de la quête..

Ça y est, il y avait un gagnant ! Le Cardinal avait eu la chance de rencontrer le jeune Bouillette qui passait par là et de l'amener jusqu'au lieu où était enfouit le trésor. Ne restait plus aux autres qu'à poursuivre leur route pour sortir de cette quête infernale...Ou pas !

Spoiler:

Citation :

Mercedes

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Cara

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Rosy

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Gregory

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Daisy

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Nombre aléatoire (1,4) :

2

Anne

Nombre aléatoire (1,4) :

1

Prudence

Nombre aléatoire (1,4) :

4

Charles

Nombre aléatoire (1,4) :

3

Nombre aléatoire (1,4) :

1

[8+1+3+1 case 13]

Charles, après un bon bain et même s'il était trempé de la tête au pieds, avait repris la route. heureusement le soleil était de la partoe et très vite il serait sec. La route était agréable et donc il pouvait profiter de la ballade. il avait pu échapper heureusement à l'éruption du volcan qu'il entendait gronder au loin. Il espérait que les autres concurrents auraient autant de chance.

Il avançait en profitant du paysage quand il vit à quelques mètres un sanglier qui le regardait. Son coeur se mit à battre la chamade. Il savait qu'il ne devait pas rester là s'il voulait s'en sortir. Il n'avait pas fait deux pas qu'il se mit à le pourchasser. prenant les jambes à son coups il fuit le plus rapidement possible.

Il semblait avoir réussit à le semer/ il s'arrêta au pieds d'un arbre pouir reprendre son souffle et vit à son pieds une bourse contenant 100 louis. C'était son jour de chance.

[évènement case 17 : chiffre impair...grounchhhh]

Daisy se protégea comme elle put mais elle était si fragile,
par rapport à ce monstre...

Un moment d'inattention en entendant le bruit d'une diligence passer,
le bruit se dissipa peu à peu, Daisy comprit qu'elle ne pouvait espérer
aucune aide...

C'est alors qu'un coup plus fort que les précédents lui entailla le crane,
et elle sombra rapidement emportée dans les ténèbres....

[Case 5]

Éprouvant le chemin, jamais Cara ira jusqu'au bout, c'était impossible ! Où était il ce trésor à la fin? Continuant de marcher, encore et, toujours, une des candidates était devant elle. Cela allait, elle n'était la seule à être en retard dans, cette aventure. Voulant continuer, une ombre se dessina devant elle. Qu'est ce que c'était? Plissant les yeux, essayant de discerner qui était ce, elle ne reconnaissait pas du tout et, se demandant qui c'était, elle n'allait pas tarder à le savoir lorsque, cette ombre sortit comme tout droit d'un rêve.

Un jeune homme, châtain, les yeux marrons, qu'elle beauté ! Comme si, on lui avait envoyer l'homme qu'elle, attendait depuis toujours mais, qu'elle ne cherchait plus. C'était inouï mais, trop beau pour être vrai. La chaleur lui donnait elle des hallucinations? Cela était fort possible mais, pour être sur qu'elle ne rêvait pas, elle se pinça le bras. Ouille ! Non, c'était bien réel. Incroyable !

Vous...ici ! Ma jeune et jolie princesse, c'est vous que j'attendais, mon coeur n'a cesser de hurler au désespoir de vous voir enfin en ce jour ! Qu'elle joie de pouvoir vous voir, de vous toucher et de vous sentir, venez vers moi, plus que quelques centimètres nous sépare désormais mon amour ! Approchez vous, je vous en prie ! Venez !

Devait elle croire à, ses belle paroles? C'est ainsi que les beaux parleurs parlaient aux, jeunes femmes, qui plus est, seules sur le chemin. Ses dires étaient magnifiques à entendre mais, totalement faux. Mais, si quelqu'un qui, l'avait vraiment aimée, lui aurait dit cela, elle aurait pu succomber à de telles phrases. Reprenant ses esprits, dévisageant la personne en question, elle passa son chemin.

Ben voyons ! Et puis quoi encore? Vous allez peut être me dire que vous voulez m'épousez?

Le jeune homme posa un, genoux à terre et, tendant sa main, la regarda d'un air d'homme amoureux.

J'allais vous le demander, belle reine que vous êtes. Épousez moi, je serait votre roi !

Pouffant de rire, elle en pleura tellement c'était, surjouer. Faisait il cela à toutes les femmes qu'il, rencontrait? C'était évident. Le regardant, s’avançant vers lui, elle lui tapota la tête.

Brave homme que vous êtes, je ne suis pas intéressée, j'ai eu assez de malheur avec les hommes qui, me prenait pour une idiote, pas un de plus s'il vous plait.

Rigolant encore, continuant d'avancer, elle espérait rencontrer encore, quelqu'un de ce genre qui la fasse rire autant.