[RP] Sur la plage d'Eu

Mercedes arriva vite sur la plage et aperçut ottokar de loin , elle se mit a sourire , son piège a fonctionné !!

elle chantonna en preparant un coin tranquille , ouvrit son panier et deposa sur une couverture des plats avec des mets

dont Ottokar devrait aimer !!un couvercle au dessus des tomates et salade

une marquise au chocolat (prise chez son amie Anne ) chut elle l 'a pas vu

Mercedes prit un livre en attendant son invité

Ottokar venait de passer une journée à travailler dans sa menuiserie. Planches, rondins, portes, fenêtres ... il en avait un peu marre et il décida de prendre l'air, de se changer les idées. Après être passé par l'auberge du Port où il avait aperçu un ange passer nu et courir au 1er étage pour cacher un corps qui damnerait le diable en personne. Le vin chaud qu'il avait bu commencer à lui monter à la tête, il prit le chemin pour la plage ... la mer était calme et il croisait des gens qui comme lui savourait de la douceur du temps. Il longeait la plage et cherchait du regard l'ange qui lui avait donné un rendez-vous ... il vit une coiffure blonde penchée sur un livre ... il s'approcha Vous attendez peut-être quelqu'un ?... un sourire était accroché à son visage

Mercedes releva la tête , le vent jouait avec ses cheveux et elle l 'aperçu :donc son charme avait opéré

elle lui souriait et ses yeux brillaient

[color:8cb3=blueOui je vous attendais , VOUS , mais asseyez vous et aidez moi a mettre le couvert a l 'abri

des curieux (]couvercle casserole a côté )voulez vous un verre de ce vin délicieux

aussi bon qu'un ciel étoilé , que nous (vous ) verrez ensuite

Ottokar avait remarqué que la dame n'était pas insensible à son charme. Elle avait des yeux qui ne trompaient pas. Ils brillaient ... les deux en même temps. Son sourire n'était pas assez large pour montrer l'ensemble de ses dents.

A l'offre de la femme de se joindre à elle, Ottokar ne se fit pas prié... il s'agenouilla près de la jeune femme et s'activa. Il rangea soigneusement les couverts que lui tendait Mercedes.

Je suis vraiment ravi de pouvoir partager ce repas avec vous.

Il prit le verre que lui tendait Mercedes et attendit qu'elle se serve aussi de ce délicieux vin ... la galanterie voulait que l'homme attende la femme pour partager ce moment de convivialité. (si ce n'était pas le cas à l'époque ... eh bien c'est le cas aujourd'hui !)

Mercedes prit le verre que tendit son condamné ^^ et bu un peu pour lui montrer que je n 'avais rien mis

de bizarre dans la boisson , elle sourit malicieusement

Voulez vous manger avant une ballade , il fait si beau , je vous sert de la salade aux herbes

et ce poulet rôti que me donne mon amie sham

Mercedes le contourne et là un coup sur la tête ( oui poulet tres vieux et pierre dedans )

Ottokar tenait le verre en main ... il regardait les yeux attendris par cette femme avenante qui lui proposait de partager son repas. Il la vit se lever pour prendre dans son panier le pot qui contenait une salade...

Elle lui passa dans le dos ... et là ! le trou noir .... un mal derrière la tête et plus rien ... il s'écroula la tête sur le couvercle de la casserole. En vain, il avait essayer de se protéger la tête d'un second coup avec ce couvercle mais le coup avait été trop fort pour résister. Sa respiration était saccadée et lente ... qu'allait-il arriver maintenant ? qu'était-il arrivé à dame Mercedes ? l'individu caché derrière lui avait dû s'attaquer à dame Mercedes avant qu'il ne sente le coup sur sa tête !

Ah le traite .. s'attaquer à une pauvre femme, sans défense !!!

Mercedes en ballade par ce beau temps , marche le long de l 'eau pensive lorsqu'elle aperçut

son amie Pam , elle alla s 'allonger près d 'elle pour discuter

Tu te rappelles pam , de nos debuts , des bons et mauvais momments , des amis disparus

mais toujours dans nos coeurs et j 'ai d 'ailleurs une idée pour cela mais profitons de ce soleil

Quelques jours qu'elle était partie mais une éternité pour lui. Paris lui semblait bien vide sans sa présence. Il lui avait dit qu'il l'accompagnerait mais des affaires l'avaient retenus alors il l'avait laissée partir le coeur lourd. Les jours passaient et malgré le travail sa vie lui semblait vide, vide de sa présence, vide de sens. Il tournait dans sa maison tel un lion en cage et n'arrivait à se concentrer, alors il fit préparer ses affaires et partit pour Eu.

Il ne savait où la trouver. Il savait qu'elle tenait une petite auberge et pensait qu'elle serait facile à trouver il suffirait de demander son chemin. Il traversa le village et longea la mer. Qu'elle était belle avec ses reflets irisés. Il demanda au cocher de s'arrêter comme pousser par une force invisible et descendit de celle-ci. Il avança sur les galets un peu au hasard perdu dans ses pensées quand au loin il vit se dessiner une silhouette. Telle une nymphe sortant des eaux, elle resplendissait. Il se dirigea vers elle, attiré tel un aimant.

Il avançait tel un automate attiré par cette vision féérique. Mais que se passait-il? Elle s'enfonçait dans l'eau tel un automate. Son coeur fit un bond. Il savait qu'elle avait beaucoup souffert et reconnaissait que depuis son départ il ne lui avait donné aucunes nouvelles perdus dans ses occupations et la peur de ses sentiments.

Il s'arrêta cherchant à comprendre...L'eau devait être froide et les vagues qui venaient se jeter sur la plage montrait combien elle était agitée. L'eau lui arrivait déjà à la taille et elle continuait de monter au fur et à mesure qu'elle avançait. Dans un sursaut il se mit à crier.

DUCHESSE!.....AAAAAAAAAAANNNNNEEEEEEEEEEEEEEE!

Arrêtée!...Elle s'était arrêtée et le regardait les bras croisés. Etait-elle furieuse contre lui? Elle restait, là, à le fixer de ses grands yeux qui le faisait chavirer tel un frêle esquif sur une mer déchaîné par un soir de tempête. Qu'allait-il faire? Attendre là qu'elle se décide à le rejoindre ou bien aller la retrouver? Il avait une folle envie de la prendre dans ses bras et de l'embrasser mais il se débattait avec ses démons et cette peur de la voir s'évaporer.

Comme guidée par une force invisible, il se mit en marche dans sa direction. Faisant fi qu'il entrait dans l'eau, il se rapprochait d'elle inlassablement allant vers leur destin. Quand il fut à assez proche, il lui prit la main qu'il baisa puis plongea son regard dans le sien.

Duch...Anne, vous m'avez manqué...Pourrez-vous me pardonner de vous avoir laisser partir seule et laisser sans nouvelle durant toutes ses longues journées qui m'ont parut une éternité sans vous?

Il lui avait manqué. Voilà de doux mots à son oreille. Il se perdait dans son regard si profond et son sourire qui le faisait enfin se sentir l'homme le plus heureux du monde. Comment avait-il pu la laisser partir? Il aurait tellement voulu la prendre dans ses bras et l'embrasser tendrement mais il y avait toujours cette force invisible qui le retenait.

Comment pourrais-je vous laisser à nouveau disparaître et vous trouver loin de moi?
Sans vous je ne suis rien.
Vous êtes la personne qui me permet de respirer, vivre.
J'ai besoin de vous.

j'arive et je salue les personnes présentes.

Monsieu ; je viens vous assister , que Dieu vous prtotège , soyez gentilshommes et cessez au premier sang versé

Je me retire et tends sa rapière à Fafounet