[RP]Au bord de la plage

Messages : 1758 Date d'inscription : 04/10/2011

S'il y a bien un terme pour qualifier Louis-Philippe ce serait ...très beau, non pas ça, intelligent? non plus, prétentieux? non plus, bien qu'il soit tout cela et plus encore, le terme qui le qualifie le plus du moins à ce moment précis, c'est surprenant!
Il a un don pour toujours surprendre Athénaïs. Elle le connait pourtant très bien, elle sait quand il est soucieux, elle connait son sourire quand il est franc et sincère, elle connait la tristesse de son regard qu'elle s'évertue à chasser et pourtant elle ne s'attendait pas à cette surprise.

Aussi quand il est venu lui proposer une petite balade rien que tous les deux, elle avait pensé à une visite de la ville ou des environs, mais certainement pas à ...la plage.
Elle lui avait demandé à plusieurs reprises en Normandie mais elle avait dû y aller seule. Il avait une appréhension de l'eau et cela elle le comprenait,certes elle était un peu déçue mais elle ne voulait pas le forcer ou l'effrayer.
Et pourtant, aujourd'hui à Saint-Pierre, c'était de sa propre initiative.

Il faisait plutôt frais, et le vent du large se prenait dans ses longues boucles rousses qu'il fit voler. La tentation était grande à voir ces puissantes vagues venir s'échouer sur le rivage, elle voulait se jeter au-devant d'elle.
Mais elle dû se résigner plutôt de bon gré, à aller rejoindre Louis-Philippe sur la couverture. Il avait tout prévu en plus, cet homme est incroyable. Une couverture chaude, un bon vin une plage et surtout les bras de celui qu'on aime ... si ça ce n'est pas le paradis je ne sais pas ce que c'est!

Elle dégusta le nectar nacré aux reflets d'or, enlacée contre Louis, le regard sur l'horizon. Les nuages d'argents renvoyaient leur faible lumière sur l'écume perlée.
Elle sourit, amusée d'entendre Louis-Philippe évoquer la possibilité d'aimer la mer. Bien sur elle n'en croyait rien, mais ferait comme si, elle était tellement touchée de ce geste, elle savait pertinemment qu'il le faisait pour elle. Elle inclina légèrement la tête afin de la poser dans le creux de son cou, se délectant de l'odeur de sa peau.

Je savais que vous finiriez par aimer...humm ce que je suis bien là, merci Louis.

Elle enserra ses bras autour des siens et lui sourit. Elle avait l'impression qu'ils étaient seuls au monde, et surtout elle se sentait en cet instant, libre.

Messages : 4263 Date d'inscription : 25/03/2011 Ville : Paris

Un instant simple, tranquille, normal...Chose qui n'était pas si fréquente, même si, depuis qu'il avait quitté Paris, cela arrivait un peu plus souvent. Cela lui était devenu plus que nécessaire. il était fini le temps où il passait ses journées dans son bureau, s'oubliant, oubliant ceux qui l'entouraient, pour ne se consacrer qu'à son travail. Il tentait de trouver à présent un juste milieu, même si ce n'était pas toujours facile.

Bientôt, il devrait retourner chez lui et s'il pouvait tout aussi bien répondre aux missives à Amiens, il y avait toujours des choses qui nécessitaient sa présence à Chantilly, le lieu choisis pour y installer les nouveaux bureaux des conseillers royaux. Il chassa bien vite ces pensées pour en revenir à l'instant présent, un moment simple et romantique même si...Il faisait un peu frisquet !

Il la serra contre lui, prenant les pans de son manteau pour les couvrir tous deux. Il regarda un moment la mer, cet élément incontrôlable aussi fascinant que terrifiant dont les rouleaux venaient s'écraser sur les rochers. Elle avait posé sa tête contre lui, il baissa alors le regard vers elle et alla déposer un baiser dans son cou, y enfouissant son visage. Il ferma les yeux un instant, profitant de la quiétude de ce moment où ils semblaient seuls au monde.

Elle prononça quelques mots qui le firent sourire. Bien sur que non, il n'aimait pas cela, ce qu'il aimait, c'était cet instant, avec elle, et peu importait le lieu. Si elle aimait la plage, alors il pouvait bien offrir cela à celle qui lui avait tant donné. Il aurait pu rester là des heures durant, serré contre elle, oubliant le reste du monde...

Messages : 1758 Date d'inscription : 04/10/2011

La fraîcheur de l'air marin, voici l'unique obstacle entre Athénaïs et le sommeil. Non pas qu'elle soit fatiguée, loin de là, mais tellement apaisée, bercée par le bruissement des vagues qu'elle aurait pu dormir durant des heures. Elle aurait pu vivre dans le plus beau des palais d'argent ou dans la plus misérable masure, un seul lieu suffisait à son bonheur, les bras de Louis-Philippe. Le plus brûlant des soleils n'aurait su la réchauffer jusqu'à la fièvre autant que lui, jamais l'horizon qui s'étendait à perte de vue dans l'azur d'un ciel resplendissant ne saurait rivaliser avec l'intense douceur de ses yeux.

Elle avait le regard rivé sur la mer et pourtant elle ne la voyait plus, son esprit s'en était allé, traversant les époques, d'un passé douloureux à un avenir qui se voulait radieux. Le stupéfiant présent servait de passerelle entre ces deux mondes, comme l'amour était le conducteur, le pont qui reliait la terre et le ciel.
Le frissonnement ressenti par la bise fut réduit par une soudaine et bienvenue tiédeur émanant de l'étoffe dans laquelle Louis les emmitouflait. Frisson vite retrouvé au contact de ses lèvres,frisson qui cette fois-ci n'était en rien dû au froid, bien au contraire. Elle entoura de son bras la nuque de Louis qui venait de nicher sa tête dans le cou diaphane d'Athénaïs, béni à l'instant du baiser. Jouant nonchalamment avec ses cheveux, elle s'enfuit une nouvelle fois psychiquement dans les profondeurs de ses pensées et de ses souvenirs. Elle aimait la plage depuis toujours et pourtant celle-ci avait été l'objet de ses pires cauchemars fut un temps. Chaque nuit elle baignait dans un océan de sang et de désolation, chaque nuit elle revivait la perte de Louis-Philippe qui s'était violemment arraché à elle. Jamais elle n'avait réellement compris ce "rêve" qui venait quotidiennement la hanter. Mais depuis lors cet élément qui l'avait toujours subjuguée, l'effrayait.

Pourtant depuis quelques-mois elle espérait ces "retrouvailles" avec la plage, depuis ses retrouvailles avec Louis, plus rien ne lui faisait peur, elle avait vécu l'enfer durant de longs mois interminables, aujourd'hui elle vivait le paradis. Bien qu'un tourment restait enfoui en elle, celui de le perdre à nouveau, celui de devoir recommencer à feindre sa survie, cette idée la terrorisait, cette irascible angoisse se réveillait quelques secondes lors d'intenses bonheurs comme celui-ci avant de s'évanouir dans les limbes de son esprit. Elle semblait forte, sans doute l'était-elle, elle qui s'était sentie morte jusqu'à une nuit de juillet, était aujourd'hui plus vivante que jamais, mais savait pertinemment qu'elle ne revivrait jamais cette "vie" là, que son coeur cette-fois n'y survivrait pas. Un autre frisson la saisit, la ramenant sur terre, sur cette plage, dans ces bras qui la tenaient si fort que rien en cet instant n'aurait su l'en sortir.

Elle chercha ses lèvres comme un marin cherche son phare dans une nuit de tempête, comme un petit enfant cherche ses parents perdu dans la foule, elle avait besoin de chasser loin ses mauvais souvenirs, elle avait besoin de son oxygène pour respirer. Elle l'embrassa avec une réelle fougue, traduisant dans cet acte "innocent" ce qu'elle lui offrait dans les moments d'intimité , un amour passionné et immodéré. Se retournant pour en savourer tout le plaisir, elle s'assit à califourchon se serrant contre lui au plus près possible. Peu importait le vent, ou ce début de tempête qui se levait, ils prolongèrent ce voluptueux moment. Ils étaient seuls sur cette plage, seuls dans ce monde.

Messages : 4263 Date d'inscription : 25/03/2011 Ville : Paris

Ses lèvres vinrent rejoindre les siennes en un brûlant baiser alors que lentement elle se tournait vers lui, s'installant à califourchon au dessus de lui. Il prolongea ce baiser avec avidité, comme s'il avait été privé de ses lèvres des mois durant, non sans profiter de cette proximité pour parcourir ses courbes sur lesquelles il laissa vagabonder ses mains.

En cet instant, il ne sentait plus la fraîcheur du vent, ni n'entendait le grondement des vagues. Il n'était pas sur une plage, mais dans un monde fort lointain, ce même monde où ils se réfugiaient dès que cela leur était possible et qui n'appartenait qu'à eux.

Ces rares moments, il ne pouvait que les apprécier, d'autant plus rare qu'en ces lieux, bien peu de gens les connaissaient et que ceux qui pouvaient les apercevoir devaient penser qu'ils n'étaient qu'un couple comme les autres...Cela lui procurait une sensation de liberté, comme il en avait rarement.

Remontant ses mains le long de son dos, il les laissa se perdre dans ses cheveux, dans son cou, l'effleurant à peine alors qu'il y joignait ses lèvres, se délectant une fois encore de sa peau, si douce, si blanche et désirable...

Les minutes s’égrenèrent inexorablement, alors que le temps semblait tourner à l'orage, mais il n'y prêtait guère attention, ne le remarquant même pas. Contrairement à l'air ambiant, emmitouflés tous deux dans ce manteau, collé l'un contre l'autre, la température n'avait de cesse d'augmenter...

Ils ne furent interrompus que lorsque Louis-Philippe, sentant une goutte d'eau, puis une autre, lui tomber sur le visage, se détacha quelque peu d'Athénais et leva le regard vers le ciel.

On dirait que le temps tourne à l'orage...Il va nous falloir rentrer...

Il attendit qu'elle le libère pour se lever, reprenant son manteau, ils se mirent tous deux dessous, s'en servant pour contrer la pluie tandis qu'un domestique qui attendait plus loin alla récupérer leurs affaires abandonnées sur le sable. C'est en courant qu'ils repartirent donc vers le palais, sous l'orage qui commençait à gronder.

Messages : 1758 Date d'inscription : 04/10/2011

La fièvre de ses baisers étaient en total opposition avec la fraîcheur ambiante de la plage, pourtant l'ardente volupté de ses lèvres se mêlait à la perfection avec la fougue tranchante de l'écume.
Athénaïs aurait pu aisément passer l'éternité dans ses bras, sur ce sable humide, à lui déclarer la puissance de son amour dans la chaleur de ses baisers.
Hélas l'éternité n'était pas pour aujourd'hui...Le ciel, jaloux de cette impétuosité, menaçait de son visage assombri, de déverser sur eux, son flot de larmes, pour les chasser loin de leur paradis.
D'un geste sensuellement délicat, Athénaïs avait posé ses lèvres sur le visage de Louis-Philippe pour en bannir la perle cristalline, comme pour défier l'envieux firmament, qui de tout son dédain en envoya une seconde. Maudit temps!

Tssss oui, malheureusement... j'étais tellement bien là.

D'un soupir, elle se leva nonchalamment, au grand damne des ténébreux nuages qui lançaient de toutes ses forces ses incessantes et lourdes gouttes. Le manteau de Louis en guise de bouclier, ils coururent jusqu'au palais, mais malgré l'épaisseur de l'étoffe, ils ne furent pas protégés bien longtemps.
Athénaïs riait aux éclats de les voir ruisseler, frissonnant au contact de l'eau froide qui dégoulinait de ses longs cheveux défaits, pour glisser contre sa nuque porcelaine.
Elle vola un baiser à Louis-Philippe sans se départir de son rire avant de s'enfuir pour monter quatre à quatre les escaliers qui menaient à leurs appartements, où de la cheminée s'échappait une flamboyante chaleur.

Le dernier arrivé est privé de ...câlins !

Son rire résonnait dans les couloirs tandis qu'elle continuait de courir, semant la pluie sur son passage, sous les regards interrogateurs des valets et des servantes croisés.
Elle fut vite rejointe par Louis sur qui elle sauta pour un baiser bien plus incandescent que les braises rouges du feu. Bien sur qu'il ne serait pas privé de câlin, elle en serait la première punie. Sa robe collante d'eau qui épousait d'un peu trop près les courbes de son corps s'échoua à ses pieds, ponctuant ainsi une inoubliable après-midi sur la plage.

Messages : 28 Date d'inscription : 15/12/2012

Premier pas sur une terre qui n'était pas encore la sienne mais qui l'éloignait des années de solitude et de souffrance qu'il avait connu en Angleterre. Il laissa tomber son sac de toile sur le sable et s'étira. Puis il porta sa main à son front et contempla longuement son environnement, ne sachant où aller. Bref regard en arrière sur la vieille rascasse qu'il l'avait menée ici. Il fit un dernier signe de la main au capitaine barbu qui menait son bateau et son équipage de pêcheurs qui ne devaient pas se refuser à quelques abordages lorsque le poisson se faisait rare. Une autre façon de ramener des prises...

Il se chargea à nouveau de son sac en geignant, après avoir resserré le col de son manteau élimé contre son cou.

Qu'était-il devenu, lui qui avait été par le passé si robuste et agile ? Sa vieille carcasse amaigrie répondrait-elle encore comme avant ? Ce bagne anglais avait eu vraiment raison de ses forces physiques. Mais pas de son esprit et de son moral.

Ne sachant trop où aller, le grand brun ascétique s'avança vers les premières maisons qu'il aperçu.

Messages : 1336 Date d'inscription : 15/02/2012 Ville : Amiens

Edmont arriva a la plage juste un peu avant son épousse.

il vit une jolie petite dune qui pouvais les abritées du vent.

la il mit la couverture sur le sable et déboucha la bouteille de rosé et servit déja les deux verres de vin.

il s'assie sur la couverture et vit justement sa douce femme arrivée.

amour je suis la ,regarde le joli petit coin que je nous suis trouvé.

quand son épouse fut prèt de lui , Edmont l'enlassa et l'embrassa avant de lui donner son verre de rosé.

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy regarda tout autour en se laissant tomber
doucement sur la couverture

Oui ...cette dune nous protege du vent sans nous masquer la vue
tu ne pouvais trouver mieux...

Elle prolongea le baiser de son époux et but en le savourant
son verre restant captive des yeux d'Edmont

Daisy se leva et parti en courant vers l'océan

Viens ....les vagues sont toutes calmes....

Daisy qui avait retiré ses chaussures courrut jusqu'à l'eau,
et se retourna pour voire si son époux la suivait,
ne faisant pas attention elle mouilla tout le bas de sa robe
et très vite frissonna de froid gelée

arghhhhhh.... je crains qu'il serait préférable de rentrer...
ce vent me glace sur place maintenant

Daisy regarda Edmont désolée de son étourderie qui abrégeait leur promenade

Messages : 1336 Date d'inscription : 15/02/2012 Ville : Amiens

Edmont vit son épouse courir comme une petite fille vers l'eau .

il la regarda tout en venant doucement vers elle.

quand il la vit moullié il su que elle allais avoir froid.

quand elle lui parla il répondit.

c'est pas grave amour ,on sait revenir ici quand on veux, vient allons vite chez nous pour toi te dévétir et bien te réchauffée près du grand feu.

Edmont remit vite tout dans le panier reboucha la bouteille et pris la main de son épouse pour vite rentrer chez eux.

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy après être passée se changer dans son échoppe,
arriva sur la plage vêtue d'une robe plus simple d'un vert emeraude....

Elle soupira en se rappelant les promenades avec son époux,
tout ce bonheur perdu à cause des incessants mensonges d'Edmont,
Daisy secoua la tête pour chasser ses noires idées, il avait voulu cela elle n'y pouvait rien
elle avait été trop bête de tant lui faire confiance, de tant l'aimer même au fil des mois passés,
il ne l'aimait pas et serait surement plus heureux sans elle, à elle de se reconstruire ...ou pas

Tout à coup Daisy entendit Aranck japper à ses cotés ce qui la sorti de ses pensées,
elle ramassa un coquillage qu'elle lui lanca et la regarda s'élancer faisant voler plein de sable...

Daisy se mit alors à marcher doucement, Eve n'allait sans doute pas tarder,
elle enleva ses chaussures et le sprit à la main puis joua à soulever du sable
entre ses orteils à chacun de ses pas ......

Messages : 384 Date d'inscription : 05/11/2012 Ville : St Pierre Port

Ève avait rencontrée Daisy à l’auberge, elle semblait si triste et peinée de cette rupture entre elle et son mari. Histoire de lui changer les idées noires, elle lui proposait une balade sur la plage, elle rendit vite au navire se changer, laissant une petite note à son fiancé.
Elle mit sa robe qui était confortable pour cette promenade, un petit foulard au cou assorti de la même couleur, puis descendit du navire. Tout en marchant vers la plage elle repensait à ses paroles …….. Pourquoi parlait t elle de la mort ?

Elle aperçut Daisy qui marchait doucement, elle lui fit un signe agitant son foulard, retirait ses souliers, préférant marcher pieds nus dans le sable et la rejoins pour cette balade. Le temps était superbe, un léger vent frais et les rayons de soleil lui caressait le visage déplaçait quelques mèches de cheveux
Arrivée près de Daisy, lui souriant …..

C’est une bonne idée cette balade…

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy vit alors Eve qui agitait un petit foulard tout en otant ses chaussures,
elle s'arrêta et l'attendit

Oui, une très bonne idée...
le soleil tant attendu est enfin là et donne un ton féérique
a toute cette étendue d'eau...

Une lègère bise lui ramena alors ses cheveux dans les yeux qu'elle
repoussa doucement de sa main faisant une tresse lache
pour les retenir....
Aranck revint alors avec son coquillage fièrement tenu
entre ses dents...

Je ne vous avais pas prévenue que j'avais un chien,
j'espère que les bergers allemand ne vous font pas peur,
elle se nomme Aranck et est des plus gentille...

Messages : 384 Date d'inscription : 05/11/2012 Ville : St Pierre Port

Elles commencèrent à marcher lentement, pieds nus dans ce sable fin et chaud qui glissait entre ses orteils, une douce sensation de liberté pour les pieds.
Soudain un chien s’approchait de nous, quelque chose entre les dents, plutôt de Daisy.
Ève regardait le chien, non rassurez vous je n’ai pas peur , elle semble très attachée à vous et sûrement docile , ce genre de chien n’on qu’un seul maître parait t il ?

Doucement Ève se penchait pour lui caresser le dos sans lui faire peur, parfois les animaux se méfient des gens qui ne connaissent pas , elle lui caressait le dos, puis recommençait à partir de dessus de la tête entre ses oreilles bien droites vers son dos .D’un sourire vers Daisy, je suis enchantée Aranck

Tout en marchait, je pouvais apercevoir le quai ou était le navire, la Silencieuse.

Comme il est bon cet endroit, cette plage est vraiment un havre de calme, vous venez souvent Daisy ?

Aranck suivait aux cotés , toujours avec le coquillage entre ses dents, à croire qu’elle désirait courir encore…

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy était rassurée qu'Eve n'ai point peur d'Aranck,
elles étaient si proches l'une de l'autre et était tout ce qui lui restait

Elle est effectivement très docile et cela me rassure de l'avoir
avec moi lors de mes longues promenade que ce soit ici sur la plage,
ou dans les bois...Elle me protege....

tout en souriant Daisy lui tendit la main et Aranck y déposa le coquillage
qu'elle lanca d'un geste souple, Atanck retournant le chercher..

L'océan m'apaise et m'attire en même temps...oui j'y viens souvent...

Daisy suivit le regard d'Eve vers un majestueux bateau dressant ses mats vers le ciel

Vous demeurez sur le navire qu'on apercoit la-bas?

Messages : 384 Date d'inscription : 05/11/2012 Ville : St Pierre Port

Daisy lui parlais d’Aranck , combien elle était docile et de plus qu’elle était protectrice , ce qui était une bonne chose. Un chien s’attache à son maître ce qui est tout à fait normal, protecteur ils le sont instincts les chiens.
Ève lui sourit lorsque Daisy tendit sa main, Aranck laissait tomber le coquillage, d un geste souple le relançait au loin. Sans hésiter, elle se mit a courir en direction de l objet.
Elle avait raison, l océan apaise le bruit des vagues qui arrivaient tout près de leurs pieds.

Citation :: Vous demeurez sur le navire qu'on apercoit la-bas?

Répondait a sa question en se tournant la tête c est exact celui que vous voyez a trois mats. Nous avons un bon équipage également sous les ordres de mon fiancé Pour l instant il y a quelques travaux mais des que tout sera terminé je vous ferez visiter si vous le voulez bien

Tout en marchant, dites moi quel métier faites vous Daisy, espérant de pas être trop curieuse ….

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy sourit, elle n'était jamais montée sur un bateau
et était fort curieuse d'en visiter un, mais elle ne voulait pas
les déranger....

C'est avec plaisir que je vous rendrais visite sur
ce majestueux 3 mats...mais votre fiancé préfère peut
etre ne pas avoir de visiteur sur son bateau....

Elles marchèrent encore un peu, Daisy jouait à jetter un peu de sable
devant elle à chacun de ses pas...

Citation :: dites moi quel métier faites vous Daisy

Daisy lui sourit et répondit

Je suis bouchère, mais le plus dur est de trouver du vin,
c'est une denrée rare ici

Daisy laissa échapper un leger soupire

Messages : 384 Date d'inscription : 05/11/2012 Ville : St Pierre Port

Il était vrai que pour la visite du navire, Ève était un peu embarrassée, elle l’avait invitée certes sans aucun regret, il y avait tellement de travaux et l’équipage travaillait sans relâche.

Pour tout vous dire Daisy, nous prévoyons partir faire le tour des îles, mais je vais en glisser un mot à mon fiancé et par l’occasion vous le présenter.

Tout en continuant à marcher sur le sable chaud qui glissait entre ses orteils, la regardait, mais c’est un beau métier que vous avez, imaginez fournir de la nourriture, mais son visage s’assombrit, apparemment il manquait une denrée.Vous avez demandée à la mairesse, elle doit savoir, connaître sûrement tous les gens, afin ceux qui pourraient vous en fournir non ?

Daisy échappait un soupirallons, ne vous découragez pas de la sorte , vous verrez , je suis certaine que vous allez trouvée une personne qui vous vendra du vin.

Le temps passait si vite, il me semblait que nous étions arrivées il y a peu et déjà le soleil commençait sa descente doucement, ce qui donnait un superbe spectacle sur l’eau.

Daisy, je crois que nous devrions renter. Mais regardez comme c’est beau, les rayons du soleil sur l’eau.
Je suis contente d’avoir passée cette après midi avec vous, j’espère que nous nous reverrons bientôt,, elles firent demi tour , retournant vers le quai.Je vous dirai si nous partons bientôt , sinon pourquoi demain nous irons pas prendre un verre à la petite auberge , ça vous dirai Daisy ?

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy avait du mal à cacher sa tristesse et la gentillesse d'Eve
lui réchauffait le coeur

Oui c'est un très beau métier, j'aime à donner quelques plats
aux plus nécessiteux, cela me donne au moins l'impression d'être utile...

Daisy esquissa un sourire tout en frissonnant quand un lègère brise fraiche
lui souleva les cheveux, alors qu'elle regardait les rayons du soleil couchant
qu'Eve lui montrait...

C'est vrai que c'est magnifique, cela donne envie de se glisser dans l'eau...

Daisy tut sa pensée elle savait que d'ici peu il s'y laisserait glisser abandonnant
cette vie, son époux pouvait être fier de l'avoir traitée ainsi, il avait réussi à la détruire....

Alors qu'elles arrivaient sur le quai Eve lui proposa d'aller le lendemain
à la petite auberge

A l'auberge demain, oui bien sur avec plaisir ...j'apporterais quelques
mignardises que nous pourrons déguster en même temps...

après une légère pause elle reprit

Mais bien sur si vous levez l'ancre pour faire le tour des iles
je ne vous en voudrais pas de ne point venir me rejoindre...

Daisy esquissa un sourire espiègle avant d'ajouter

J'en profiterai pour manger tous les gateaux....

Messages : 384 Date d'inscription : 05/11/2012 Ville : St Pierre Port

Sur leur retour, Ève semblait bien la tristesse de Daisy, comment la soulager de ce mal. Comment un homme pouvait t il abandonner son épouse, tant de questions sans réponses.
Ève avait cette peur simplement à la façon dont elle regardait l’eau… inquiète,, elle tentait par tous les moyens possible de lui changer les idées noires .
Arrivée sur le quai, lui sourit, lorsque Daisy lui parlait de friandises, je ne sais pas encore quand exactement, mais rassurez vous Daisy, je vous le dirai.

Vous connaissez cette petite auberge, afin je veux dire le ou la propriétaire ? Ève avait passée devant en se rendant au cadastre mais n’avait pas oser y entrer seule.

Ne me dites pas que vous allez tous les mangés. Ah non, je veux bien y goûter. Elle lui sourit, de toute façon vous savez ou me trouver n’est ce pas ?
Rentrez bien Daisy et surtout ne faites pas de bêtises, comme dit un vieux proverbe …. Demain il fera jour, gardez le moral.

Ève monta à bord du navire , rejoindre son fiancé lui racontée son après midi en compagnie de sa nouvelle amie.

Puis elle se retourna vers Daisy ,

Daisy , vient avec moi , monte sur le navire , je te fais visiter , je t’en prie , cela me ferai plaisir et je te présenterai mon fiancé .

Ève ne désirait pas la laisser seule dans sa tristesse , la supplia et l’aidait à monter sur la Silencieuse

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy resta quelques instants captivée par la mer,
puis Eve l'invita, insista et elle se laissa faire ,
elle ne voulait pas déranger et ce bateau était si majestueux,
si impressionnant...

Daisy se retourna et alors qu'Eve l'aidait à monter sur la Silencieuse
elle pointa le doigt vers la plage

Rentre Aranck, file!!

Elle regarda alors Eve

Etes vous sure que je ne vais pas vous déranger,
si votre fiancé est en plein travail et qu'il mène
ses ouvriers il n'aura pas envie d'être dérangé...

Mais au fond d'elle Daisy n'avait pas envie d'être seule,
elle savait qu'elle risquait de faire des bétises
et suivit doucilement Eve émerveillée par le bateau

Invité

[Le 1er juin 1643 - En matinée]

Voilà déjà deux jours que Prudence avait envie de faire cette balade sur la plage, après que Dame Daisy et Dame Yolande, lui en ai parlé lors de sa première soirée en taverne. Depuis son arrivée à Saint Pierre Port, la jeune femme s’ennuyait. Elle sortait de sa chambre que très peu, pour regagner la taverne, mais aujourd’hui, elle avait envie de découvrir les atouts de cette ville.

Elle n’avait jamais approché la mer, ni mit les pieds sur le sable. En Champagne, il n’y avait pas ça. Ni à Paris. C’était l’avantage de cette animation, faire de nouvelle découverte. Ce matin, il faisait assez frais. Elle avait enfilé une tenue chaude. Une robe à manche longue et col montant couleur verte, un manteau jaune, des chausses chaudes marron et elle avait attaché ses cheveux en une petite queue avec un ruban orange, pour ne pas être dérangé par le vent. Prudence était ainsi, elle ne prenait pas soin de son apparence. Elle n’associé pas les couleurs. Non, elle s’habillait simplement en fonction du temps ou de l’utilité de chaque habit. Certains était vieux, un peu abîmés, mais du moment qu’ils n’étaient pas troués, elle ne jetait rien.

Elle était comme ça, la jeune Prudence. Elle aimait rire, dire et faire des bêtises, s’amuser. Mais voilà, depuis qu’elle avait quitté sa Champagne, elle avait quelques peu changé. A Paris, les personnes qu’elle croisait étaient souvent de la haute et elle n’osait pas être elle-même, au risque de passer pour une fille inintéressante. C’était là son ressenti depuis quelques jours. Et pourtant, elle n’avait qu’une envie, paraitre sympathique et agréable aux yeux de tous. Etre la bonne copine. Elle commençait à douter sérieusement d’arriver à une telle chose. Elle en venait à être même gênée devant le roi, pensant que la présence de la jeune femme en taverne, lorsqu’il y était, l’ennuyait. Elle avait eu d’autant plus cette sensation hier soir, quand une autre femme était entrée et avait nourrit avec le roi une conversation plus riche que toutes celles qu’elle avait eu avec lui. « A quoi t’attendais-tu, ma pauvre Prudence, que tes pigeons feraient l’attraction ? »

Gustave sur son épaule, besace autour d’elle, elle s’engouffra sur le sable. Elle fit quelques pas et se baissa pour finalement enlever ses chausses qu’elle garda sa main tout en continuant sa progression. Les grains de sable, humides, s’accrochaient à ses pieds, entre ses orteils. Elle aimait la sensation que lui procurait son ascension. L’air de la mer s’engouffra avec plus de force dans ses poumons, le bruit des vagues la berçait.

Elle s’approcha de l’eau, jusqu’à ce que les vagues viennent lécher ses pieds. L’eau était froide. Elle regarda autour d’elle. Même si elle avait très envie de se déshabiller pour plonger dans l’eau, la raison l’en empêcha. Trop de vague, trop de courant, et sans doute pas la bonne saison pour faire trempette. Pourtant, l’eau froide fait du bien à la peau. Et si elle n’aimait pas la pluie, elle préférait le froid à la chaleur.

Elle resta un moment pensive, au bord de l’eau, s’enfonçant dans le sable mouillé et laissant les vagues l’atteindre. Elle regretta que Roch ne soit pas là. Elle se demanda si elle avait fait le bon choix en le laissant seul à Paris, alors que leur relation ne faisait que commencer. L’animation l’avait attiré, elle c’était dit qu’elle ne pouvait absolument pas rater ça, mais la solitude la frappait et elle aurait être au même endroit, serrant sa main dans la sienne. Elle lui avait écrit dès son arrivée et elle avait reçu sa réponse dès ce matin. Gustave avait fait vite, il était le meilleur pigeon au monde, et il se tuerait sans nul doute pour Prudence. Elle le caressa, il la récompensa d’un roucoulement. Quelques graines de tournesol qu’elle sortit de sa besace, et elle fit le bonheur du volatile.

Elle se recula un peu de la mer et sortant une petite couverture de son sac, elle l’étala sur le sable avant de s’asseoir dessus. Elle sorti un morceau de papier et une bouteille. Un message à la mer, elle avait toujours voulu faire ça. Dessus elle écrivit : « Prudence Coulom et Gustave, son pigeon – 1er juin 1653 – Saint Pierre Port – Guernessey – A l’occasion de « La Quête du Graal », animation du Roi de France et de Navarre, Louis-Philippe de la Brie en Carly et du Prince de Guernessey, Aimelin de Millelieues ». Elle le roula, le glissa dans la bouteille, et alla la mettre dans l’eau.

Elle la regarda partir, souriante. Puis elle s’allongea sur la couverture et fixa le ciel avant de fermer les yeux. Le calme, la sérénité, voilà de quoi elle avait envie de profiter en ce moment. Elle se releva quelques minutes plus tard, pour écrire une lettre à sa mère et une autre à Roch :

Spoiler:

Elle attrapa une nouvelle feuille pour écrire à Roch :

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Elle plia le message et l’attacha à Gustave pour qu’il décolle immédiatement avec vers Paris. Une fois fait, elle ramassa ses affaires puis retourna à l’auberge d’où elle envoya la lettre à sa mère. Elle allait prendre son déjeuner avant de partir à la découverte de la ville.

Messages : 225 Date d'inscription : 13/02/2013 Ville : là où j'y ai un interet

Où aller est la question que je me pose le plus souvent d'autant qu'ici je ne connais rien ni personne. Je me suis donc mis en tête d'exploré un peu les lieus mais l'ile a l'air plus grande qu'elle n'y paraissait vue du bateau. Je me retrouve sur la plage, on dirait que c'est mon lieu de prédilection depuis quelques temps. J'espère juste que les animations ne seront pas trop poussées, même si ma blessure commence à cicatrisé je ne suis pas encore au mieux de ma forme.

Je repère tranquillement les lieux en trainant sur la plage et vois au loin le palais princier. Je souris légèrement en voyant le batiment et me dit que ça doit être bien agréable ce genre de vie. On ne se demande pas ce qu'on va faire le lendemain, si on trouvera un endroit où dormir ou encore de quoi manger. On a des gardes, des valets, pas besoin de se battre pour sa vie. J'en rêve parfois de ce genre de vie mais je reviens vite à la réalité et à la vie que j'ai choisi.

Elle n'est pas toute rose non, elle en est loin même, aucune stabilité, mais c'est aussi la liberté, et je n'échangerai ça pour rien au monde. On a tous des choix à faire, le mien est là. Rien qui me retienne, ni famille, ni femme ni amis. Je fais ce que je veux quand je veux et meme si c'est parfois difficile, j'adore ça.

Messages : 120 Date d'inscription : 22/02/2013

[la nuit du 31 au 1er juin]

Il était tard quand Mariana avait quitté la taverne, trop tard sans doute pour pouvoir trouver dans le noir une auberge où s'installer pour la nuit et les suivantes. Elle avait eu beau chercher elle n'avait rien trouvé. Elle avait du se résigner à passer la nuit sur la plage. Et c'est qu'il fait pas bien chaud au bord de l'eau, la nuit était fraiche, surtout que, malgré les mois passé en France, elle ne parvenait pas à s' habituer au climat. Et dire que chez elle sa mère râlait de la voir toujours les bras nus, peu convenable pour une jeune fille pas mariée, mais elle avait toujours chaud, si elle la voyait ainsi grelottée et à tourner et retourner encore et encore sur le sable trop dur de cette plage loin de la maison familiale, elle passerait par toutes les couleurs la pauvre mère.

Demain il faudra trouvé un vrai lit elle est pas prete de gagné les épreuves et trouver le Graal si elle a le dos en compote et les fesses et les jambes gelée au point de l’empêcher de marcher. Elle commençait à regretter son abri parisien, un taudis qu'elle partageait avec la vermine mais dont la paillasse était plus confortable que la belle étoile sur du sable trop fin pour un matelas. Et que dire du côté grattant, enfin elle y était habituée à ça encore. Elle lui manquait chaque nuit sa maison. Elle partageait sa chambre avec Inès et Salomé ses soeurs, et ça l'énervait, elle si indépendante, mais elle se rendait compte qu'elle se plaignait à tort. Elle se demandait ce qu'elle faisait là, si loin de chez elle, si loin de son confort, elle n'avait jamais eu l'air d'une princesse comme ses soeurs qui faisaient la fierté de leur mère avec leurs belles robes et leurs rubans dans des cheveux bien coiffés, mais elle avait quand même grandit dans un milieu aisé, et avait toujours manger à sa faim, dormi dans la propreté et la chaleur. Elle regrettait tout ça alors qu'elle ne connaissait pas son bonheur quand elle l'avait. Gregory n'avait pas gaché que la vie de sa soeur Carmen mais aussi la sienne. Mais elle se consola en se disant que sans ce voyage elle n'aurait jamais pu rencontrer un roi en vrai. Et le roi de France n'est pas seulement beau il est aussi cultivé et plaisant. Elle avait passé une bonne soirée en sa compagnie même si au début elle était mal partie. Elle ne l'avait pas reconnu et il s'était gentiment moqué d'elle avec Prudence qu'elle venait aussi de rencontrer.
Elle n'aimait pas trainé dans les tavernes mais elle ne regrettait pas, au moins elle avait fait de bonnes rencontres.

Messages : 79 Date d'inscription : 17/11/2012

Il avait bien du mal encore une fois à reprendre son envol . Il a fallu des claquements de la main et des " oust " pour partir à la rencontre de Prudence

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Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

La plage, le sable, le soleil, le chant des mouettes, le paradis quoi.

Main dans la main, ils se promènent sur le sable ou leurs pieds s’enfoncent.
La brise joue avec les mèches folles de sa chevelure, du bout des doigts elle les écarte, les repousse derrière son oreille. Prenant une bonne bouffée de cet air iodé.
Un petit coin tranquille l’attire, Rosy l’en mène vers cet écrin paisible.
La brunette se laisse tomber sur le sable encore tiède, qui a été réchauffé par le soleil qui a baigné la plage de ses rayons brulant.
S’appuyant contre sa besace qu’elle a laisser choir, elle laisse planer son regard sur les vagues, en prenant une poignée de sable qu’elle laisse s’échapper entre ses doigts fins à peine écarter.
Puis elle regarde le blondinet, lui sourit

Tu sais j’aime la mer, elle me procure toujours cette sensation de calme.

La brunette esquisse un sourire en coin

Sauf quand je suis dans un navire.

Lentement elle retire ses bottes en reportant son attention sur la mer, glissant ses pieds dans le sable, elle lui demande.

On reste un peu ici, je me sens bien là.

» [RP] Animation sur la plage
» [RP] Une maison près de la plage
» [RP] Au bord des falaises
» [RP] "dejeuner au bord de l´eau"
» [RP] Sur la plage d'Eu