[RP-Animations] Parce-que toutes les bonnes choses ont une..."faim" : soirée de clôture de la foire

Et c'est reparti pour le petit jeu. Gio embrassait toujours aussi bien, c'est déjà ça! Remarque, si elle avait voulu vraiment joué, elle aurait pu dire: "Monsieur votre baiser fut vraiment... Vous voulez à boire?" ou quelques chose comme ça! Mais ça lui convenait très bien remarque. Autant continuer le jeu de séduction. Ils semblent se plaire.

S'il était doué dans autre chose. Euuuuh... Bonne question! Mais pour la réponse, c'est déjà plus compliqué.

Et bien... Je ne souhaiterais pas vous faire fondre mais bel et bien vous garder en l'état, ne pas en perdre une goûte. Vous m'êtes trop précieuse pour ça.

Il sourit. Voilà, il avait trouvé, il allait jouer un peu avec les mots!

Citation :

Ca aurait été un crime que de laisser une danseuse aussi adroite regarder les autres.

Je lui souriais. J'étais heureuse de danser et Firenze semblait l'être également. C'était un très bon danseur, ses pieds glissaient en rythme.

Je peux vous retourner le compliment, lui glissais-je alors qu'une figure nous rassemblait, vous êtes un très bon danseur.

Je souriais. Enfin, un nouveau morceau. Un menuet! Je ris tout en dansant.

C'est ma danse préférée.

Je calmais rapidement mon rire et je dansais avec un plaisir immense sur la piste. Cette danse, avec la volte et la contredanse, était intégrée dans mon corps. Ce dernier faisait les pas sans que je m'en aperçoive. C'était magique!

Cara rougissait sous la pluie de compliment que lui faisait son cavalier de ce soir. Elle ne voulait pas se lancer complètement dans le jeu tout de suite mais continuer à le séduire jusqu'à temps qu'il soit complètement sous son charme, bien qu'a première vue, il l'était deja. Elle adorait comment cette soirée avait commencée, mais, comment allait elle finir?

Il ne voulait donc pas la faire fondre mais ce qu'elle faisait deja pour lui. Son cœur n'étant pas encore pris par un autre homme, s'ouvrait peu à peu pour laisser entrer l'amour ce bel homme tout à fait charmant. Elle en était sur, ils ne se connaissaient que depuis ce soir mais il était l'homme dont elle avait toujours rêver, l'homme de vie. Elle enlaça ses bras autour de son coup, posa la tête délicatement sur son épaule en dirigeant sa bouche vers son oreille pour lui murmurer quelques mots.

Vous m'êtes précieux aussi monsieur, mais mon cœur ressens un étrange sentiment qu'il n'avait jamais ressentit auparavant. Je crois que, que c'est l'amour, un amour pur et sincère pour vous. Je crois que je vous aime monsieur.

Elle déposa un baiser dans son cou puis le regarda. Leur jeu de séduction était tel que la première fois qu'ils s'étaient rencontré. Elle retrouver son Gio, son ange, et elle l'aimait plus que tout. Cette soirée, était idéale pour qu'ils se retrouvent enfin, comme avant. Mais une chose lui échappait, ils jouaient certes, mais dans un jeu comme celui ci, ils ne s'étaient même pas demander leur prénom. C'était un détail tout de même important. Elle sourit timidement et se passa la main dans ses cheveux.

Excusez ma curiosité, mais, quel est votre nom? je ne crois pas que vous me l'ayez dit.

Cara aimait de plus en plus ce jeu. Il avait une tres bonne idée.

Gio sourit. Apparemment, il avait eu une bonne idée car elle se lançait à fond dans le jeu. Il fallait donc qu'il soit aussi à la hauteur et qu'il continue à jouer.

Il rougissait un peu, ou en tout cas, il essayait. Il aimait bien le théâtre, c'était l'occasion d'être comme un acteur.

Je...

Je quoi?

Je crois que...

Que??

Que je ressens exactement les mêmes sentiments que vous. D'ailleurs, comment ne pas aimé une telle créature, si douce, si agréable à regarder. Il n'y a point mieux sur terre. Ma chance est grande de vous avoir rencontré.

Houraaaaaa!!!!

Ca lui rappelait le jeu de séduction qu'il a dû jouer lorsqu'il voulait lui signifier son amour, puis de nouveau lors de leur "pause", à son retour d'italie, de la semaine dévastatrice. Quelles vacances ça d'ailleurs, il s'en serait fort bien passé. Enfin bon, c'est du passé!

Mon nom? Giovanni, giovanni Delavega. Et vous, ma douceur?

Ma douceur? Tiens, c'est nouveau ça aussi.

Hésitant ce bel âtre pensait elle. Mais elle le trouvait tres bon joueur. Il était certain qu'il serait parfait dans une troupe de théâtre, il faudrait qu'elle pense à lui demander si un jour il ne voudrait pas écrire une pièce. Le moment fatidique de savoir si oui ou non, ressentait il la même chose que Cara. La réponse tomba comme une évidence pour lui et elle ne put s'empecher de rougir, tel une tomate bien mure lorsque d'autre compliments s’abattirent sur elle. Replaçant une mèche de cheveux derriere son oreille, elle lui sourit tendrement.

Il n'y avait pas mieux pour elle non plus dans ce monde que lui, elle avait eu une chance inouïe de l'avoir trouvé, une après midi dans un bar malgré des épreuves surmontées aujourd'hui, ils s'étaient enfin retrouvés, après des jours et des jours. Cara trouvait que ce nom lui allait comme un gant, il lui ressemblait dira-t-on. Il lui donnait deja des surnoms, mais celui la était ravissant. Il ne l'avait jamais utilisé jusque la. Décidément cette soirée promettait pleins de surprises.

Je m'appelle Cara de Leon.

Elle s'assise quelques instants, contre un arbre, un peu plus loin de la tante, entrainant Gio avec elle. Ce bal de clôture de la foire, n'était pas encore tout à fait finit et elle avait le temps de recommencer une danse avec lui, même de manger et de boire, toujours l’œil sur le roi malgré qu'elle était dehors.

Dites monsieur Delavega, que faites vous comme travail? d’où venez vous? j'aimerai en savoir plus sur vous si vous le permettez.

Cara attendit sa réponse, remuant sa tête au son de la musique qui se diffusait dans l'air.

Elle rougissait, rougissait, rougissait... Elle lui rappelait quelqu'un, ou quelques chose. Une certaine robe, rouge. La comparaison serait parfaite. Le rouge qui apparaissait sur ses joue était le même rouge que cette robe, exactement pareil!

Il fallait continuer sur cette voix s'il voulait la faire... Pas fondre, ça va pas... La faire... Frémir? Frémir, on va dire ça. La faire craquer! Voilà, craquer c'est bien!

Cara de Léon... Cette appellation est presque aussi belle que la personne qui la porte. Presque! Mais la personne qui la porte reste la plus belle chose qui soit.

Et il sourit, autant en remettre une couche.

Ce que je fais comme métier?

Autant inventer un métier pour le personnage.

Il se trouve que je suis ce qu'on pourrait appeler un manequin. Je pose pour différents peintres. Ma beauté fut retenue par un peintre qui m'a proposé de me peindre et depuis je pose pour des peintures, des sculptures, souvent pour des nus aussi, allez savoir pourquoi?

Il lui murmura à l'oreille:

Et d'ailleurs, un nu de vous serait assurément le plus beau tableau du siècle.

Croyant à contrecoup avoir été mufle à la quitter, ils manient tous deux les mots d' une manière qui fait qu' ils en existent tant de voie que la méprise est si aisé.
Aller conjointement chercher à boire était probablement son souhait à tout bien peser, tant de temps passé à mépriser ou à purement ignorer les autres aura eu
raison de sa justesse de jugement quand à une femme fine en manières.

Mais fi de ces pensées un rien tardives les voilà réunis et de gouter la boisson inconnue ou à tout le moins originale. lever de verre pour la santé avant de boire conjointement,
chacun ira de son commentaires, le partage c'est aussi cela.

Le fruit me plait mais de cette façon je reste navré que l' originalité ne rejoigne pas le gout

Je goute assez peu le mou d' un fruit baigné ainsi, mérite aura été de proposer cela, d'autres y trouveront leur satisfaction

Pas vraiment méprisant mais d' un ton relativement sec bien que non dirigé sur elle, ses vieilles manies cinglantes restent présentes. Tachant de rester courtois avec
celle qui ne mérite aucunement ses foudres, il esquisse un sourire malgré que sa main pose presque avec dédain son verre sur un plateau non loin .

Vous avez là pleinement raison , rien ne vaut le sang de la vigne .

Ce fut alors qu' ils se dirigent vers la berge, l 'air y est frais mais salvateur, une légère touffeur l' ayant saisi dans une émotion sous-jacente. Il suit ainsi sa cicérone
sur un parcours qu'il découvre au fil de l'eau, le fil d'Ariane. Des pensées se rejoignent et joutent ardemment, vie qui bascule si vite d'une ombre insipide à des
variances mordorées sous une présence, trop vite partie il aura tant pleuré dans le noir.

Cette aide fait déjà partie du passé et n 'a apporté que de l'agrément comme celui de vous connaitre. Et il était tant pour moi de ressortir dans le noir où je m'étais cloitré,
pour venir ici pas à pas, vers une lueur que j' avais préféré un temps tempérer dans son ardeur.

Voyez je dépose là les fards que j'arbore au regard de la majorité .

Décidément, que de compliments envers Cara. Que lui arrivait il ce soir? Comment pouvait elle ne pas encore et toujours rougir à tout ce qu'il lui disait? c'était impossible, sitôt que ses joues prirent la couleur d'un plat de cerises qui auraient été cueillies à l'instant. Puis il lui parla de son métier. Elle sourit, de plus en plus puis explosa de rire. Elle ne pouvais se retenir, sachant quel métier il faisait.

Il jouait bien sans aucuns doutes mais de la à choisir un métier qui consiste à défiler ou poser pour des artistes, c'était peut être surjouer un tontiné trop. Elle rit de plus belle lorsqu'il parla de poser nu pour ses fameux peintres. C'était trop ! elle n'en pouvait plus qu'elle devait se tenir les côtes tellement elle riait. Il avait un humour décalé mais au moins, il l'avait fait rire aux éclats, ce qui n'était pas facile à faire.

Quand elle entendit son murmure, son visage devint pale. Elle le regarda étonnée qu'il lui dise ça. Elle n'était pas contre jouer mais il ne fallait pas pousser. Elle but une rasade de citronnade et lui murmura un petit quelque chose.

Gio, ne pousse pas trop loin s'il te plait.

Surement qu'elle était rabat-joie mais la, elle n'avait pas trop appréciée. Elle continua malgré tout.

Monsieur Delavega ! comment pouvez savoir si un tableau de moi dans mon plus simple appareil serait le meilleur? vous ne m'avait jamais vu comme cela.

Fallait il qu'elle soit flattée à ce moment la? peut être avait elle des courbes généreuses mais Gio aurait pu le dire autrement plutôt que parler de sa nudité tout de suite.

Ariès scruta la foule tout en écoutant le discours royal. Il sentit des regards insistant sur lui, ceux d'Angelique Bella qui apparemment le connaissait très bien. Il essaya de puiser dans ses souvenirs proches et lointains mais rien n'y faisait, il en avait aucun souvenir. Elle était en bonne compagnie et s'amusait bien, Ariès voulait en faire de même de son coté, et porta tout son attention à sa cavalière Maureen.

Je te remercie Maureen, les saucisses sont bien digérées, je me sens plus léger. dit il en riant.
Allons donc rejoindre la piste, nous pourrons ainsi nous chuchoter de belles phrases.

Tout deux, se laissèrent guider au son de la musique, les yeux pétillants, main dans la main, le sourire aux lèvres, rien ne pouvait les perturber dans leur moment de bonheur.
Les cheveux de sa cavalière venaient caresser son visage à chaque tournoiement, et cela lui était très agréable.

Il s'approcha plus près et lui chuchota :

Quel moment très agréable que je vis en ce moment en ta charmante et exquise compagnie, ce soir nous irons rejoindre notre petit endroit sur les berges afin de pouvoir contempler le feu d'artifice si cela te convient bien évidement.

Louis-Philippe était vraiment de bonne humeur et cela faisait plaisir à voir et j'en souriais grandement. Il ne manquait pas de rebondir sur mes propos. Dans le jeu du touché coulé je venais de marquer un point. Je savais que d’user de tels mots et il rebondirait. Un court instant je revenais au temps lointain où nous nous adonnions à ce genre de plaisanteries taquines. Etonnée toutefois qu’il veuille me présenter un anglais.

Vous me présenter un anglais ? Et bien dites-moi quel exploit que voilà. Et bien vous me le présenterez en temps et en heure ainsi que ce Monsieur Keur. Sans bien sur omettre les dames. Rencontrer du monde me fera le plus grand bien.

La musique s’arrêtait et avec elle la danse. Louis-Philippe se reculait de deux pas. Nous venions de faire notre ouverture comme il se doit et ainsi toutes les personnes seraient libre de danser comme bon leur semblaient. Chacun chacune avec qui il leur plaira.

Oui je vais aller récupérer mon bien, il fait chaud et du coup mon éventail me manque. Je vous laisse à vos occupations, nous aurons bien le temps encore de nous voir durant cette soirée.

J’inclinais la tête avant de me retourner et de chercher du regard le gardien de mon arme fatale. Je le voyais là plongé dans ses pensées regardant mon éventail. Arrivant à sa hauteur je ne pouvais m’empêcher de lui faire une petite remarque en souriant.

Eh bien je vois que mon éventail éveille curiosité et semble vous plaire. Voulez-vous que je vous en offre un afin de pouvoir vous éventer aussi lors de grosse chaleur ?

Ce retour à la vie me faisait le plus grand bien, même si j’avais encore un peu de mal à me retrouver avec tant de monde et surtout bien des têtes qui m’étaient totalement inconnues.

Premier véritable moment ensemble et tourné vers l' échange, le gré des flots calme ajoute là une once de poésie. Les pas se font légers dès
lors que la compagnie et agréable et Joseph bat là le masque bardé d' épines qui achève sa tunique d' homme à la langue vitriolée. Une femme
qui aime à revendiquer la modestie de sa condition d' origine mais pourtant fait tout pour s 'en affranchir par le travail, comment ne pas retrouver
cette valeur travail qu' il aime tant à ancrer dans l 'esprit de ces gens de maison et puis... Retour de flamme, de ces flammèches qui s' échappent
de l' âtre dans un crépitement sinon que le là, elle dénote une fois encore verbalement que son esprit est vif et ne passe rien.

Mademoiselle Courcy était son nom, ma ... Gouvernante. Mais je serai malhonnête de ne pas lui reconnaitre d' avoir métamorphosé l' homme que
j 'étais devenu, coeur de pierre et ailés décharnés, un vautour guettant les restes d' un carnage.

La voix se serait ' elle éraillée au moment d' exprimer ce fait, il a tôt fait de se reprendre et d' un relevé du menton faisant penser aux farouches ibères,
marque là qu' il n 'en dira pas plus. Excès de franchise ou vraie maladresse, les deux se confondent et rares sont les femmes qui aiment que l' on évoque
celles qui furent. Le Balsamique incline la tête envers la brune comme elle en venait elle même à changer le fusil d' épaule. Belle initiative car allégeant par
là même une atmosphère prenant le caractère gourd des prémices d' un orage de soirée d' été.

Mademoiselle Ariane, ainsi qu' évoqué dans une ou plusieurs de mes lettres, charge vous est remise de me guider là où bon vous semble.

Voix qui s' emporte telle une tirade théâtrale en finissant sur un grave qui reste dans l' air. Petit entrechat discret alors qu'il allait venir à en buter une pierre
bien trop dodue pour sa botte, Joseph la tire du même effort par le bras, instinct de folie ou caprice d' un enfant qui a longtemps sommeillé?

Et si d' aventure vous veniez à me montrer l' avantage qu' est de vivre dans cette ville, serions nous obligé de multiplier ces rencontres?
mais qu' au moins, si un jour question m'était posée je répondrai " mais oui , je connais Amiens ".

Réplique fuse déjà de par la brune aux saphirs, rutilance exacerbée par un caractère bien trempée, dieu qu 'elle est belle lorsque elle est ainsi...

Je ne retournerai pas à Paris vous savez!

" Oeil d' aigle et jambes de cigogne , ce sont les cadets de Gascogne , parlant blason lambel bastogne, de Carbon de Castel jaloux "
Lui vienne dans le désordre à l' Italiano des vers de Rostand, car elle a parfois le verbe emprunt de fier panache qui sent bon le Gascon,
et comme l' on dit tout est bon dans le Gascon...

Puis hélas elle se confond en excuses mortifiantes et joseph en lui de penser :" renoncer ainsi à sa part sombre et de quel beau
caractère madame, vous fissiez mieux de n 'en rien faire ". Si en plus elle sait faire rimer la faconde avec cet esprit vif, elle l' emporterait en Enfer qu' il dirait
" plus vite les Flammes reculent devant nous! ".

Vous êtes toute pardonnée, Ariane . Et relevez vous de cette révérence inutile, si j 'ai le verbe séculier et les manières volontaires, je suis désarmé
devant votre charme éthéré. Poursuivons nos pas je vous prie!