[RP] Chez Eristern

Bien alors je vais preparer le cafe vous pouvez me suivre a la cuisine si vous le voulez , nous pourrons le prendre dans le sallon ensuite si vous le voulez bien .
Eristern commençait a avancer dans la cuisine quand aux armes certainnes en ont une d'autre ne sont que des armes d'apparat et n'ont jamais servit , mais je peux vous conter certainnes histoire quand nous boirons le cafe dans le salon Eristern prepara le cafe et se rendit dans le salon , il servit deux tasses de cafe puis il sorti deux verre et y versa du cognac je vous ais servi un petit cognac mais si vous voulez autre chose il n'y a aucun soucis , est ce que ça vous derange si je fume la pipe

Eristern fut surpris ah parce que vous fumez en voila une surprise , si vous voulez fumer il n'y a pas de probleme Eristern bourra sa pipe et l'alluma , puis il la passa a Amelia . Il prit son verre de cognac en but une gorge
alors de qu'elle arme voulez vous que je parle , il y en a quelques une dans le salon vous avez le choix de l'histoire , puisque toute celle qui sont la en on une
Dans la piece , il y avait un Katana , un arc avec de longue fleche , une dague en forme de serpent , une grande epee a deux main , un mousquet , deux pistolet et une rapiere casse , il y avait le choix pour les histoires sur les armes

Amelia rendit la pipe a Eristern et en le faisant elle approcha ses levres des siennes et l'embrassa tendrement ,Eristern lui tendit ses levres et lui rendit son baiser , elle avait les levres douce avec un gout de miel , plus elle l'embrassait et plus Eristern etait sous le charme

Apres ce long baiser langoureux Amelia joigna sa main a celle d'Eristern , puis elle vint se caler contre lui

Citation :

Parlez-moi de la dague en forme de serpent, François.

pour tout vous dire cette dague en forme de serpent se nomme un Kriss , c'est une arme qui vient d'Inde . Comme vous pouvez le constater de part sa forme c'est une arme tres dangereuse , car quand elle touche , elle fait des degats conciderable et les blessures ne ce referment pas. Pour tout vous dire j'ai eu de la chance quand je l'ais recupere , parce qu'elle etait dans les mains d'un assasins , envoye par les anglais . Quand j'etais corsaire j'ais pillé bon nombre de bateau et de ville anglaise , et ma tete etait mise a prix mort ou vif , ce qui as eu pour effet de m'envoyer nombreux mercenaire et assasin qui n'avait qu'une seul idee toucher la recompense , j'ai echappe a bon nombre d'assasinat , je ne m'en suis pas toujours sorti sans blessure , mais ce jour la j'ai eu beaucoup de chance c'est un de mes marins qui m'a sauve la vie en donnant la sienne , s'il n'avait pas ete la je ne serais pas la pour vous conter cette histoire , voila l'histoire de cette arme
Amelia avait la tete contre son epaule , Eristern respirait son parfum delicat , il etait bien et aurais voulut rester la pour l'eternite

Amélia se sentait bien près de lui, sa tête sur son épaule à l'écouter lui conter ses aventures.

Elle resta près de lui, sa main dans la sienne, ses doigts croisant les siens, humant son parfum délicat.

Mais malheureusement toute chose à une fin, et pour Amélia, il était l'heure de retourner dans sa caserne.

Il me faut malheureusement y aller, François. Je vous remercie pour le diner et cette soirée que je n'aurais pu imaginer. Pourtant j'en ai de l'imagination !!!!

Elle lui sourit.

C'est avec lenteur qu'elle se leva, comme si un poids l'empêchait de sortir du fauteuil, prit son bouquet de roses qu'elle avait laissé poser sur la table basse et regarda eristern pour l'embrasser tendrement.[/b]

Elle lui sourit...

N'oubliez pas mon entrainement à la dague... Je l'attends avec impatience. Vous remercierez Anne, pour le repas. Il était excellent. Et pour la fête qu'organise le roy, j'attends de vos nouvelles.

Elle lui fit alors, une bise sur la joue.

Vous me raccompagnez jusqu'à la caserne ?

Toute chose avait malheureusement un fin , Amelia voulait rentrer a la caserne ,pour Anne ne vous inquietez pas je lui dirais et pour la fete je vous tiens au courant pas de probleme .Je vais me faire un plaisir de vous raccompagner au moins comme ça il pourrait profitter d'elle encore
si vous etes prete mademoiselle , prenez mon bras je vous raccompagne

Amelia a son bras ils se dirigeaient vers la caserne . Il espérait qu'elle ne connaissait pas bien la route parce qu'il faisait un sacre détour pour la ramener a la caserne , il voulait encore profiter de la soirée et surtout de sa présence a elle , il la tenait par la main pendant tout le chemin . Le détour avait été assez long et Eristern ne voulait pas abuser non plus , la caserne n’était pas loin la soirée allait donc ce terminer . Eristern s’arrêta suffisamment loin de la caserne voulez vous que je vous raccompagne jusqu’à la porte de la caserne ou alors vous ne voulez pas que l'on nous voit ensemble

ah non ça ne me derange aucunnement que l'on nous voit ensemble , je vais donc vous raccompagnez jusqu'au porte de la caserne . Et bien nous avons passe une agreable soiree et j'aimerais en toute franchise qu'elle se poursuive et que nous continions a nous voir regulierement enfin bien sur si vous etes d'accord
Tout en disant ça ils continuaient vers la caserne la main dans la main , une fois au porte de la caserne il prit sa main et l'embrassa j'ai passe une soiree delicieuse , nous remetons cela quand vous voulez puis il deposa un baiser sur ses levres

Voila Amelia etait rentree dans la caserne Eristern n'avait plus qu'a rentrer chez lui , il ne mit que 5 min pour y arriver , il avait fait un sacre detour tout a l'heure pour la racompagner , il avait passe une soiree exquise , il aurait bien voulut qu'elle dure toute la nuit mais c'etait comme ça . Arrive chez lui , Eristern trouva Anne entrain de debarasser la table , elle sourit en le voyant aussi radieux Monsieur a passe une bonne soiree
Excellente Anne , d'ailleur je dois vous feliciter pour le repas de ce soir vous vous etes encore surpasse
Anne sourit mais ne dit pas un mot , elle finissa de debarasser la table et sorti de la piece
Eristern se servit un verre de cognac et s'installa dans son fauteuil , il ralluma sa pipe , repensant a la soiree

Eristern conduisit Charles et Keri chez lui , il ouvrit la porte et les invita a entre dans sa demeure
Anne nous allons avoir des invites veillez a ce que leur chambre soit prete prestement affin qu'ils puissent se reposer , ils ont fait un long voyage

Bien Monsieur
Anne monta les escaliers pour preparer une chambre
Eristern se retourna vers ses invites en attendant venez dans le sallon les fauteuils y sont confortable et vous pourrez vous reposer le temps que votre chambre soit prete , nous avons des tas de chose a nous raconter depuis tout ce temps

Eristern ecouta Keri
Si vous avez besoin de quoi que ce soit vous n'avez qu'a demander peut etre avait vous faim et soif ?
Moi aussi je suis heureux de vous revoir surtout que j'ai rate votre depart pour la Martinique a la suite du deces de mes parents . Pour tout vous dire j'ais songe a aller faire un tour en Martinique mais des evenements m'en on empecher , en ce moment je ne chome pas avec ma charge et ce n'est pas pres de s'arranger . D'ailleur j'espere que vous avez reçu ma petite missive vous indiquant mon mariage prochain , je sais que pour avoir vecu a la Guadeloupe que le courrier mets parfois du temps a arriver
Eristern marqua une pause regardant ses amis qu'ils n'avaient pas vu depuis bien longtemps
Mais voila je parle je parle et vous que de nouvelles , je vois que vous attendez un heureux evenement c'est prevu pour quand

Charles n'avait jamais entendu Eristern dire autant de mots en une seule fois. Cela le faisait sourire. La fraîcheur de la maison avait l'air de faire du bien à Kery. Il la regardait assise dans ce grand fauteuil et surveillait son visage qu'il trouvait de toute façon fatigué. Elle cachait bien son jeu et les autres ne verraient peut être rien, mais lui la connaissait que trop. Il lui fit un sourire et répondit au Grand Amiral :

- Nous aurions été très heureux de te voir arriver au port de Fort de France. Mais tout n'est pas perdu. Tu seras peut être celui qui nous y ramènera. Nous avons rencontré quelques soucis avec des pirates. Une protection et une petite chasse ne serait pas du luxe. Je verrais cela avec le nouveau Roi. Et nous avons reçu ta missive en arrivant sur le port, lui répondit il en se levant pour le féliciter. Ainsi une jeune femme a réussi à ouvrir ton coeur et surtout à le dompter.

La femme de chambre et les gens de maison passaient et repassaient devant la porte. Deux invités de dernières minutes et qui allaient rester dormir, manger... Charles fut toutefois enchanté d'entendre que leur chambre était prête.

- Si tu veux bien nous excuser une minute Eristern, nous aimerions pouvoir nous changer et nous rafraîchir pour faire honneur à ton invitation.

Eristern avait ecouter Charles Mais ce sera un grand plaisir de vous ramennez en Martinique , des Pirates cela fait longtemps que je n'ais pas chasser ce genre de gibier , mais pour l'heure aller vous changer et vous reposer , la chambre doit etre prete connaissant Anne , vous pouvez prendre le temps , ne vous inquietez de rien et si vous avez besoin de quoi que ce soit vous n'avez qu'a demander

Un bon bain, un repas et un lit .. voilà de quoi elle avait besoin, mais qu'elle tut en souriant.

toutes mes félicitions pour tes épousailles, Eristern, je suis heureuse pour toi vraiment, et le mariage a temps à donner .. continuait elle en posant sa mains sur le ventre bien arrondit et tendu.

Elle sentait en elle, le petit qui tambourinait tel un troubadour en pleine ducasse et la proposition offerte l'enchantait. Keridwenn avait un réel besoin de se rafraichir et de se débarrasser de cette moiteur de vent marin qui l'avait imprégner depuis leur départ de Fort de France. elle prit le bras de Charles plus par nécessite que par obligation, par chance la chambre se trouvait au rez de chaussée. une fois la porte de fermée elle s'approcha du lit pour s'y allonger. elle n'avait pas prit la peine de quitter ses chaussures tant les vertiges la prenait. une main sur le front.

c'est une excellente idée Charles qu'Ersitern puisses nous ramener dans quelques mois, autant que cette histoire de pirate n'est pas close, les recherches lancées avec les brigantins pour retrouver l'auteur du vol de l'intrépide n'a rien donné, mais je doute réellement des aptitudes des corsaires engagés, la corruption est tellement implanté en Martinique finalement elle conclut par un soupire. sa grossesse ne l'aidait pas à prendre de bonne décisions sur les différentes taches que lui avait confié Charles. elle qui était angoissé de son arrivée en France, la voila maintenant angoisser par ce qu'elle avait laisser la bas

nous aurions du amener Zacharias avec nous, je n'arrive pas à me résigner de l'avoir laisser aux mains de ces gens, j'ai un mauvais présentement, comme si nous avions fait une bourde.. Charles ?! fit-elle en s'asseyant

j'ai envie de demandé un acte d'adoption pour Zacharias, que nous ayons un document officiel le désignant comme notre fils ..

Charles trouvait son épouse vraiment fatiguée. Elle s'allongea sur le lit ce qui n'était pas dans ses habitudes. Une bonne nuit de sommeil devrait arranger les choses. Il lui fit un petit sourire et se rendit dans la pièce d'eau pendant qu'elle lui parlait de leur voyage de retour.

- Oui, je trouve aussi. Surtout que cela fera un bon exercice pour les cadets et marins engagés. Il est tout de même étrange que nous n'ayons pas retrouvé ce pirate, ajouta t'il en retirant sa veste et se lavant les mains.

Il revint une serviette à la main et regarda Kery en plissant un peu les yeux.

- Adopter Zacharias ? Je ne suis pas certain que cet enfant me veuille comme père. Vous oubliez que j'ai tué son véritable père sous ses yeux. Je ne crois pas qu'il arrive un jour à me pardonner cela. Je ne sais pas Kery. J'aime beaucoup Zacharias. Je ne vous le cache pas. J'aimerais aussi qu'il devienne officiellement notre fils. Mais le veut il ?

Il se baissa et lui ôta les souliers, puis l'aida à retirer sa veste.

- Il n'a pas l'air de beaucoup m'aimer. Il vous voudrait bien comme mère. Il vous adore c'est évident. Mais moi....

Il ouvrit la porte à ceux qui venaient apporter l'eau chaude pour le bain.

- Merci messieurs.

Il revint vers sa douce et lui tendit la main pour l'amener à la salle d'eau.

- Je suppose que cela rendrait les choses plus stables pour lui comme pour nous et l'amour qu'il vous porte mérite qu'il devienne votre fils. Je tenterais d'être un père pour lui mais j'ai peur qu'il ne l'accepte jamais. Vous savez que cela risque de créer des conflits plus tard entre nous, lorsqu'il sera plus grand.

Il parlait tout en continuant à l'aider à se dévêtir. Son petit ventre rond apparut et cela le fit sourire :

- Et vous avez pensé que bientôt nous aurons un autre enfant ? Et si...et si je l'aimais plus que Zacharias parce qu'il sera de notre sang ? Je n'aimerais pas faire cette différence. Seulement cela pourrait se faire par la force des choses.

Il lui prit la main pour la faire entrer dans le bain :

- Vous êtes toujours aussi belle mon amour. Je vais vous laver le dos et peut être les pieds aussi, ensuite je vous laisserais vous détendre dans ce bain chaud.

Il prit l'éponge de mer et la plongea dans l'eau pour la frotter doucement. Il parlait presque en monologue, tout en pensant au futur avec Zacharias.

- Faisons les papiers pour son adoption. Et si à notre retour il refusait et bien nous pourrons toujours les annuler et les détruire. Et si un jour vous me voyez aimer plus notre enfant que Zacharias, vous saurez me donner un bon coup de pied dans le tibia, finit il en riant. Avec votre caractère, je n'en serais pas étonné.....

entièrement dans l’eau, Keridwenn put enfin se délasser, dorloter par son époux mais aussi accabler de question réponse auxquelles elle souriait

Ah parce que vous pensez qu’avec votre fils vous n’aurez aucun conflit dans l’avenir ? qu’avec l’enfant qui va venir vous saurez l’aimer dés l’instant présent penchant sa tête en arrière elle garda les yeux fermés, mais souriait sentant les bien fait d’une eau chaude sur chacune des parties de son corps

Rappelez-vous !!continua t-elle fixant Charles
Votre enfance Charles, même avec vos vrais parents, il existait des désaccords alors qu’il soit de votre rang ou pas, Zacharias saura que tout ce que nous avons fait cela n’aura été pour son bien. Lui donner une éducation, un savoir, un rang, qu’elle énumérait par les gestes
tout se qui fera pour lui l’occasion d’accomplir ses rêves.. et même s’il ne vous prendrais jamais pour son vrai père, il saura que vous l’avez été bien plus que ce brigand qui ne cherchait qu’un trésor pour vivre. Quand à votre enfant à venir, bien sur que vous l’aimerez plus , mais d’une manière différente, fit elle en caressant son ventre tendu. Ils finiront de grandir, l’un comme l’autre, et un jour quand vous les regarderez de dos ou de face, rapière en main ou a dos de cheval, vous vous direz j’ai de beaux garçons.

Pour Zac, le chemin sera peut être long, mais il est encore si jeune beaucoup plus expérimenté de la vie difficile, il saura voir en vous le père qu’il cherchait dans celui qu’il pensait.
Ne vous en faite pas posant sa main sur celle de Charles, elle lui la caressa avec tendresse et sur d’elle. Sur de ses paroles et sur de cet avenir pour leur foyer.

Elle resta un instant silencieuse, se demandant à quoi son époux pensait, à ce que faisait Zacharias à cet instant même au voyage qui devait les amener au Louvre le lendemain matin, mais tout cela elle se trouvait chanceuse de tout ce que la vie lui offrait.

Bien je pense qu’il nous faut nous dépêcher, notre ami Eristern va finir par se poser des questions si nous trainons de trop à prendre le soupe en sa compagnie.

Keridwenn se leva et enfila une tenue à l’aise, elle en avait assez de ces corset qui la comprimer au point d’être saucissonnée. Ne pouvoir parler sans se dire si elle n’allait pas casser les derniers lacets qui la maintenant. Elle avait opter pour une chemise large, et une simple jupe… ce n’était pas vraiment très coquette mais au diable l’avarice, elle avait besoin de se sentir à son aise pour la soirée

Charles avez-vous penser à prendre les bouteilles de rhum pour Eristern ? j’ai prit la boussole que j’ai dénicher dans une taverne en Martinique, il parait que d’après son vendeur ; qu’elle date du 15ième et proviendrais d’Italie. Allez savoir s’il disait vrai …

Elle avait su trouver les mots pour le rassurer. Il ne l'était pas pour autant totalement. Il avait eu une chance inouï de rencontrer Kery et qu'elle accepte de devenir sa femme avait été merveilleux. Maintenant il allait se trouver avec deux enfants. Il n'était pas si certain que cela qu'il serait un père convenable.

Il aurait aimé avoir des conflits avec son père, mais il ses parents étaient mort alors qu'il n'avait que quatre ans. Par contre, avec son frère François, oui, il en avait eu des conflits et souhaitait qu'il n'aurait pas les mêmes.

- Je ferais du mieux possible. Mais tout ceci ne me rassure pas du tout.

Il la laissa finir de se préparer et profita de cet instant pour prévenir le Roi de leur arrivée prochaine à Paris. Un pigeon aurait tôt fait d'aller au Louvre. Il se prépara à son tour et vit Kery sortir de la salle d'eau en tenue des plus décontractée.

- Hé bien, belle gitane, manquerait plus que vous descendiez les pieds nus et l'illusion serait parfaite. Et oui j'ai pensé au Rhum. Il est là....et je suis persuadée que cette boussole d'époque ou non plairait à Eri. Il est temps d'aller le rejoindre et je vous avoue que j'ai une faim de loup. Ca creuse les voyages.

Il ouvrit la porte et lui chuchota à l'oreille :

- Vous avez bien meilleure mine mon amour. Allons retrouver notre hôte.

Ils retournèrent au salon et retrouvèrent Eristern avec qui ils partagèrent un repas léger. Après le mess du capitaine du navire, c'était un vrai régal.

- Un petit digestif à présent.

Charles sortit la bouteille de rhum qu'il avait apporté pour le Grand Amiral.

- Tu va m'en dire des nouvelles. Elle a traversé l'océan juste pour réveiller tes papilles, fit il en souriant.