[RP] Chez Eristern

Le 9 février 1652,

Nous lui rendions bises, souriant de son enthousiasme.
-Vous désirez manger quelque chose, un apéritif ou autres choses, peut-être ?!? Ah oui ! Demain, petit déjeuner au lit ! Alors profitez-en !

Je donnait nos sacoches de voyage à la domestique pour qu' elle les porte a la chambre qui nous été attribuée.
- Ben vu le froid dehors, un petit calva ne serait pas de refus pour ma part. Un thé chaud pour mon épouse
devrait faire l' affaire.

J' aidais Maria à enlever sa cape avant de retirer la mienne.
- Nous te remercions grandement de ton invitation.

Je me demandais si elle avait pu finir ses affaires à Amiens, n' osant pas trop aborder le sujet de savoir si elle avait pu avoir des nouvelles de son époux. La vie était parfois pleine d' imprévus, Qui aurait pu dire que quand j' avais fait leur mariage, je retrouverais Amélia dans la garde Papale.
- Qu' elles sont les nouvelles te concernant ?............

Je fit la bise à Amélia...

-Merci de ton hospitalité Amélia.

Un sourie à notre amie.... J'espèrais qu'un jour elle retrouve ce regard pétillant.... Je demandais au Très Haut dans mes prières qu'il aide notre amie dans ses recherches .... eristern... il devait bien être dans un lieu quelconque....

Un déjeuner au lit..... il y avait si longtemps... Il faut dire que la maison était bien pleine tant à Saint-Pierre qu'à Saint-Ouen ou meme qu'à Eu...


Luc prennait des nouvelles.... j'écoutais regardant tout autour de moi la pièce où nous nous trouvions...

Assise près de Luc, je pris la tase de Thé qu'Amélia me tendait.

Merci bien....
Je souflais un peu sur le liquide avant d'en boire une gorgée....

Ce thé est délicieux Amélia....
Je comprennitson inquiètude à savor où son époux se trouvait.... il en serait de meme pour moi si Luc vennait à disparraître sans laisser de traces... J'en mourrais surement de chagrin sinon j'irais de ville en ville errant comme une âme en peine cherchant la moitiée de moi même.

Citation :

Comment trouvez-vous le calva ?!? Il vient de la cave de mon époux. Servez-vous de ces délicieux biscuits.

Sinon, vous n'avez pas eu de soucis sur la route ?

Je pris un biscuit sur le plateau que nous tendais Amélia.... un coup d'oeil à Luc je lui sourit.... les biscuits et desserts étaient mes péchés mignons....


Pas de soucis pour ma part seule inquiétude c'est que Luc prenne froid... certaines nuits où l'on prend la route il fait si glacial le froid transit tout ce qui bouge au dehors....

Anne, la domestique d'Eristern prit le courrier de ce matin et en vit un venant de Normandie. Elle sourit tout en se dépêchant de l'ouvrir.

Citation :

A Anne

de
Amélia de la Rochefoucauld


Bonjour Anne,


Je vous écris pour vous informer de ma visite prochaine. Aussi, pourriez-vous préparer ma chambre ainsi qu'un bon repas. Vos plats me manquent énormément.

Préparez également une chambre d'ami. Il se pourrait que je vienne accompagnée et il serait dommage de le laisser dormir à l'auberge alors que nous avons tant de chambres de libre.

J'ai hâte de vous revoir...

Bien Cordialement

Citation :

A Anne

De
Amélia Nivel


Bonjour Anne,

Je vous écris pour vous informer que je vais m'absenter plusieurs jours. La fatigue me gagne, des évènements récents ont eu de ma personne. J'ai besoin de me retrouver, seule.

Aussi, ne vous inquiétez pas si je ne vous donne de mes nouvelles. Par contre, pour le cas où vous en aurez de François, je vous prierai de m'en informer au plus vite.

Vous pourrez m'envoyer missive à SPP. Dès que j'y trouverai un logement, je vous indiquerai mon adresse. Je pense y rester plusieurs jours. Cela va mettre difficile, ayant pris l'habitude de voyager de ville en ville.

A défaut, vous pouvez toujours envoyer missive à la garnison du Mont Gaulefier. Je lirais ma correspondance dès mon retour.

J'espère que tout se passe bien de votre côté. En cas de soucis, je suis et serais toujours là. Continuez à prendre soin et à veiller sur la demeure comme vous le faites déjà si bien.

Bien cordialement.

Amélia.

Citation :

De Amélia Nivel
Capitaine de la Garde Pontificale

A Anne
Gouvernante de la demeure de François de la Rochefoucauld


Saint Pierre Port,

le 09 avril 1652,


Chère Anne,

Comme promis, je vous envoie cette missive pour vous informer du lieu où je me trouve pour le cas où vous auriez des nouvelles de François ou si vous aviez besoin de quoi que ce soit.

Je réside actuelle dans une demeure où l'aubergiste de l'île m'a conseillé. Il est vrai qu'il s'agit d'un endroit magnifique dans un endroit assez discret où je pourrais me reposer en paix, loin de la civilisation, enfin presque à une heure de toute habitation pour vous dire.

Comme je disais, vous pouvez me contacter à cette adresse. Surtout ne la donnez à personne, je ressens le besoin de me sentir seule pour réfléchir sur certains points de ma vie. En cas de besoin, envoyez moi une missive, je vous répondrais bien entendu.

Bon courage, Anne et j'espère à très bientôt.

Cordialement

Amélia Nivel.

Citation :

De Amélia

A Anne


Saint Pierre Port,


Chère Anne,

Comme promis, je vous informe de mon départ de Guernesey. Je pars ce soir et devrait arriver samedi normalement. Si vous avez besoin de me contacter, je me retrouverai normalement au Mont.

D'ailleurs, pour toutes correspondances, envoyez-les au Mont. On me les transmettra.

Bon courage à Vous, et surtout veillez bien sur la demeure de François.

Bien cordialement.

Amélia Nivel.

Après quelques échanges de missive avec Amélia, Charles se rendit en sa demeure. Ses trois gardes le suivaient et ne le quittaient quasiment plus. L'un d'eux frappa même à la porte de la demeure. Ils étaient rodés à ses visites chez les habitants qui n'avaient jusque là strictement rien donné.

Les demeures étaient horriblement vides et cela lui faisait souci. Il verrait peut être monsieur Isdalyo, s'il ne se trompait pas dans son nom à son retour d'Angleterre. Ensuite il passerait à l'auberge en espérant rencontrer quelques personnes.

Pour le moment, il avait revu Amélia croisée récemment à l'Eglise de Paris.

tous en sortant de la taverne MAI_LEE réfléchissait a ce qu'elle avait eu il fallait qu'elle en parle a quelqu'un et ce quel'un était le SEG ,elle passa devant la maison d'eri et qui elle vie le SEG lui même avec une escorte ,elle s’approcha ,

bonsoir monsieur le SEG,je peux vous servir si vous le voulez

bien que voir des curés ne l'enchantait points mais son devoirs était de servir tous ce qui touchait le roi

Amélia était montée se changer dans sa chambre.

Elle fit sa toilette et s'était revêtue d'une robe, chose rare pour notre Capitaine. Elle descendit des escaliers, sentant la bonne odeur parfumée des petits pains chauds et du café bouillonnant.

Se dirigeant vers la cuisine, elle entendit du bruit devant sa porte. Elle s'y dirigea, ouvrit la porte et vit son ancien SEG puis haussement de sourcil à la vue de Mai Lee.

Que faisait-elle donc ici, se disait-elle ? On garde son calme... Elle esquissa un léger sourire à Charles. Ils avaient correspondu et apparemment il désirait mettre certaines choses à plat.

Bonjour, Monsieur de Nemours. Entrez donc. Permettez à vos hommes de rester à cette porte et demandez leur de ne faire entrer personne d'autres jusqu'à votre départ, merci.

Elle le fit donc entrer dans sa demeure refermant la porte derrière lui.

Vous ne craignez rien ici, bien évidemment. J'espère que vous n'en doutez aucunement. Passons au salon, si vous voulez bien.

Une fois arrivée au salon, elle se tourna de nouveau vers lui.

Un café ? Anne prépare justement le café avec des petits pains chauds.

Charles attendait devant la porte quand le mousquetaire Mai Lee arriva.

- Mousquetaire. Je ne vous savais pas sur Amiens. Bienvenue.

Il écouta sa proposition de lui servir d'escorte.

- Mais oui. Voici trois gardes municipaux, si vous voulez bien les prendre sous votre commandement. Je rends visite à tous les habitants de la ville et votre présence me sera fort utile.

Amélia vint ouvrir la porte et Charles fut presque surpris de la voir en robe. Il ne croyait pas l'avoir vu autrement qu'en habit militaire d'ailleurs. Il lui fit un petit sourire :

- Enchanté de vous revoir Amélia. Je n'ai pas besoin de vous présenter le Mousquetaire Mai-Lee. Elle s'occupe de mon escorte.

Il marqua une petite pause.

- Merci de rester non loin Mai-Lee pendant mon entretien avec Amélia. Nos gardes ont peu d'expérience je compte sur vous pour leur apprendre les bases.

Il entra et suivit Amélia jusqu'au petit salon, sentant sa cheville le tirer un peu. Il accepta volontiers le café n'ayant pas eu un repas correct depuis son arrivée à Amiens. Il avait pour habitude d'avoir ses petits tout préparés par sa cuisinière à L'hotel de Savoie et là, tout seul, il se contentait de manger ce qu'il pouvait. C'est à dire que seul à la cuisine, ce n'était pas réjouissant.

- Avec un petit pain chaud, je ne dis pas non.

Mai_lee lui sourit ,ce n’était pas le moment de lui parlait ,elle attendrait le moment venualors quoi dire de plus que merci

Merci MONSIEUR

elle l’écoutait,il fessait le tours des habitants d'Amiens et bien u'autre fois c’était une ville paisible? aujourd'hui on ne serrait trop prudent

Bien Monsieur ,je reste a votre disposition

Mai_lee regarda les gardes municipaux ,quand la maîtresse de maison ouvra la porte , décidément les curé manquaient de courtoisie ni un bonsoir ni rien .pourquoi amélia était elle froissait en la voyant ? la rouquine fie comme si elle était pas la il valait mieux .sur tout quand elle dit qu'il ne risquait rein ici ,pourquoi était elle devenu voyante? Et si le SEG n'en doutait points Mai_lee , préférait doutée car elle n'oubliait rien la rouquine

messieurs faite le tours de la maison ,monsieur le SEG je suis tous près

Angelique qui profitait du soleil fut étonnée de croiser des gardes et de surcroît qu'elle ne connaissait pas et qui ne faisait pas partie de la Garde Pontificale.

Elle était sur le pas des marches et hésita un instant à rentrer dans la maison...

Elle voulait se changer et prendre possession de sa chambre.

Elle passa devant le salon et vit son Capitaine en compagnie de Monsieur Charles qu'elle avait croisé à l'auberge.

Son éducation l'obligea à passer la tête et le saluer.

Bonjour Monsieur Charles, ravie de vous revoir ici.

Je dois m'absenter, je vous souhaite une bonne journée. Puis Anne ayant fait préparer la chambre, elle monta dans sa chambre.

Charles salua Angélique qu'il avait rencontré en taverne.

- Bonjour mademoiselle, lui répondit il.

Il n'eut pas le temps de lui parler que déjà elle montait à l'étage.

- Amélia, après notre discussion, pourriez vous faire chercher Angélique ? Je me suis fait une vilaine plaie et elle m'a proposé de la regarder avant que je ne parte.

Anne entra portant le café et les petits pains. Il attendit qu'elle sorte et répondit à son hôte :

- Mai-Lee est sur Amiens pour quelques jours et se propose d'assurer ma sécurité le temps pour quelques jours. Mais comme vous dites, les choses changent et vous n'avez plus que faire de tout ça. Vous devez être bien assez occupée avec vos nouvelles fonctions.

Il se saisit de la tasse de café et but une gorgée.

- Je venais vous voir pour deux raison. Tout d'abord pour me présenter à vous en tant que maire de la ville d'Amiens ou plutôt Intendant de Picardie et maire en attendant de nouvelles élections. Je rends visite aux habitants afin de voir sils ne manquent de rien, si le marché est bien achalandé et en quantité suffisante. Aussi je m'inquiète de savoir si leur métier leur permet de vivre convenablement et s'ils arrivent à vendre leur production. Les loisirs sont aussi dans mes questions. Travailler c'est bien, mais il faut savoir se détendre aussi.

D'ailleurs, Maxime, notre conseiller à l'Accueil a organiser un loto si cela vous tente de passer y jouer.

Et puis la deuxième raison de ma visite, ajouta t'il, fait suite à noter brève rencontre à l'église de Paris pendant le mariage de Fany. Vous étiez distante et je vois bien que nous ne nous entendons plus comme cela a pu l'être lorsque vous étiez à l'armée. Je suppose que vous avez des choses à me reprocher et si je suis là, c'est pour en parler avec vous afin de briser cette glace qui s'est installée entre nous.

Le plateau de petits pains lui fit avancé et il en prit un. Il s'arrêta de boire lorsque Amélia fit illusion à Dewey. Il resta un moment sans rien répondre. Il ne savait pas comment lui dire cela. Elle ne semblait pas au courant et Charles n'avait pas envie de créer une situation supplémentaire à celles qui existaient. Pourtant il allait bien falloir qu'il le lui dise. Il décida de faire cela plus tard. Déjà, qu'il la tranquillise :

- Amélia, je ne suis pas venu ici en tant que procureur ou juge. Je suis venu en tant que Charles De Nemours et rien d'autre. Nous sommes là tous les deux pour discuter de ce qui a fait qu'aujourd'hui il existe cette distance entre nous alors qu'avant tout semblait très bien aller. Alors peu importe ce que vous avez à dire, que cela soit blessant, que cela soit des protestations, des reproches, je ne vous jugerais pas et n'irais pas non plus vous dénoncer aux autorités pour vous faire jeter en prison. Sauf si vous complotez contre le roi, ajouta t'il pour rompre un peu la glace tant elle lui semblait tendue. Je vous écoute Amélia et ce n'est pas parce que j'ai une version de ce qui a pu se passer que cette dernière est complète voire totalement vraie. Sinon , je crois que nous aurions réussi à clarifier tout cela depuis longtemps.

Il but une nouvelle gorgée pour finir son café et reposa la tasse sur la table.

Amélia le regarda et le laissa parler. Une fois celui-ci terminé, elle se leva pour prendre un document sur un guéridon qui se trouvait non loin d'eux.

Revenant à sa place, elle tendit le document à Charles.

Citation :

ARMEE De FRANCE

Nous, membres de l’état major démentons les accusations proférées par madame Amélia de la Rochefoucauld contre l’armée de France.

A ce jour, aucune destitution sérieuse et réelle du poste de secrétaire d’état de la Marine n’est prévue à l’encontre de Monsieur François de la Rochefoucauld, Amiral de l’arsenal d’Amiens.

Nous connaissons tous qu’à cette période de l’année Monsieur de la Rochefoucauld prend au sérieux ses états de service envers la Marine Royale et effectue régulièrement entre le mois de novembre et juin des reconnaissances sur les mers du sud .

Cependant, cette absence de plusieurs mois de Monsieur François de la Rochefoucauld, Eristern, est injustifiée et donc des décisions concernant la Marine Royale doivent être prises au sein de l’Etat major.


C'est pourquoi, depuis le 26 novembre 1651, le rôle qu’inculque un secrétaire d’état de la Marine est exercé par le Secrétaire d’état à la guerre, son supérieur hiérarchique direct, comme stipulé dans l’ordonnance militaire, laissant ainsi le temps au SEM de revenir de son long voyage. Des recherches pourraient donc avoir lieu seulement 1 mois après la date définie au 30 juin 1652.

Il est évident que la lourde la charge de la gestion des troupes militaires engendrerait un appel a candidature et donc que le poste de secrétaire d’état de la marine pourrait par conséquent être candidaté par un remplaçant en intérim dés lors acceptation du chef de l’armée : le Roy de France Louis Philippe de la Brie en Carly.


Fait à Vincennes
Le 01/02/1652

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Charles de Savoie Nemours



Keridwenn d'Aubignas, Colonel


Kalliméro Casanova

Cela vous dit peut-être quelque chose, non ? Donc publiquement, vous avez dit à la France et donc à tout son peuple, que j'étais une menteuse et que mon époux n'en avait eu que faire de son épouse au point de quitter la France sans rien lui dire.

Elle s'installa de nouveau à sa place reprenant sa tasse de café qu'elle but une gorgée en attendant la réponse de son ancien SEG.

Il regarda le document que lui tendait Amélia. Il se souvenait de ce moment et qu'elle lui en avait déjà parlé.

- Je sais très bien ce que j'ai signé. Et vous savez aussi que vous avez crié dans toute la France que nous avions destitué votre époux alors que la chose n'avait pas été faite. Je ne nie pas que lorsque je vous ai rencontré je vous ai fait part de sa longue absence et que j'allais devoir prendre des mesures, voire le destituer. Mais vous avez mis la charrue avant les boeuf en publiant ce message précisant que la chose était faite.

Et je suis désolé de le dire, mais votre époux a quitté son poste depuis plus de six mois, en ne donnant que très peu de nouvelles. Certes, cela doit être pénible pour vous et j'imagine le désarroi que cela a dû être pour vous de vous retrouver seule, mais je ne peux changer les choses. Il est bel et bien parti et peu importe si c'était pour une reconnaissance en mer ou pas. A ce jour il est toujours porté disparu et nous ne savons strictement pas où il est.

J'aurai pu demander sa destitution. J'ai repris sa tâche simplement parce que j'étais son supérieur. Je ne peux pas dire que les choses se soient d'ailleurs très bien passées puisque nous n'avons plus de marine à ce jour. Mais je ne peux changer les faits Amélia. Vous qui êtes Capitaine à ce jour. Imaginez qu'un de vos gardes quitte son poste sans donner de nouvelles et ne revienne pas. Que feriez vous ? Qu'imagineriez vous ?

Au début vous lui laisseriez peut être le bénéfice du doute. Il aura peut être un peu trop fait la fête et se présentera le lendemain ou alors il aura eu un souci et ne va pas tarder. Mais au bout de 6 mois, ne croyez vous pas que vous l'auriez considéré comme déserteur ?

Eristern est un ami. Et je ne sais pas ce qu'il lui est arrivé. Mais ai je le droit de le traité autrement qu'un autre homme de l'armée royale ? Je ne pense pas que cela aurait été équitable. Sachant qu'aujourd'hui, il n'est toujours pas revenu.

Alors je suis désolé que vous ayez eu l'impression d'avoir été traitée de menteuse mais nous ne pouvions pas laisser croire que Eristern avait été destitué alors que c'était faux. Le but de l'Etat Majeur n'était certainement pas de vous traiter ainsi mais il fallait bien rétablir les faits. Et si vous lisez le document, a aucun moment il est écrit que vous avez fait de fausses allégations ou que vous avez raconté des mensonges.