[RP] 7 Espérance, Bienvenue chez Luc & Maria

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

Les filles étaient à la fête avec leur poneys, faisant tour dans l' enclos. J' avais eu la bonne idée
de les prendre dans la même robe, ce qui évité d' éventuelles querelles sur la couleur.

Nous nous installâmes dehors voir les filles. Je prenais Mario le tenir pendant qu' il tendait les
bras vers ses soeurs en babillant .
- Oui mon fils, plus tard tu en auras un aussi, mais d' abord tu feras du cheval a bascule..
Simon conseillait les jumelles par dessus la clôture, Eugénie et Maria étant parties débarrasser
la table. Je bisais mon fils et le déposais dans son parc . Allongé sur l' épaisse couverture il ne
tarda pas a s' endormir, comme si les bruits environnant le rassuraient. Qui plus est il était près
de 16 h 00 et d' habitude il faisait sa sieste plus tôt.
Mon tendre amour revint porter chopes de bière et parts de gâteaux restants avec Eugénie.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Après avoir ranger la cuisine Eugénie et moi allions retrouver ces messires regarder le bonheur de nos jeunes demoiselles. Armées d'un plateau chacune l'un garni de chopes de bières et de jus de fruit et l'autre de parts de gâteau. C'est avec un ton amusé mais sans crier que nous approchions de Luc et Simon.
-Voila voila mes bons messires de quoi vous étancher la soif et combler un petit creux qui pourrait refaire surface.

Je servis mon époux et Eugénie servit Simon.
M'approchant de l'enclos pour parler aux petites pour ne point réveiller fiston qui dormait à poings fermés

-Mes chéries vous avez soif?

Non merci maman.... Tout à l'heure... ils sont beaux nos poneys!!!

Oui ils sont très beaux. Faites quelques tours encore après vous viendrez nous rejoindre pour prendre un jus de fruit.

Je rejoignis Luc, Simon et Eugénie. Passant près du parc de Mario je le couvrit d'une légère doudou.
Prenant place pres de Luc, je glissai ma main dans la sienne enlacer mes doigts aux siens.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

{ bien plus tard alors que toute la maisonnée était endormie ou presque...}

À la lueur des bougie dans la grande chambre des Maitres. Alongés dans leur nid douillet Baron et Baronne prennaient un temps pour eux seul. À l'abris dans leur univers derière cette porte de bois où seul eux avaient droit d'être, aucuns regards indiscrets. Enlacés peau contre peau les chuchotement et les baisers s'enchainaient.Quelques rires étouffés par un baiser. Des soupirs, des étreintes créant des ombres dansantes sur le mur au gréer de la valse des amoureux à la lueur des flammes.

Des retrouvailles bienvenues après tant de jours à travailler.
Après tout ils étaient encore de jeunes mariés.

Je t'aime mon chéri

Cellant ces mots d'un baisser passionné et doux. Plongeant mon regard dans le sien souriant de cet instant précieux.

Être ainsi dans ces bras vallait bien tous les titres et tous les trésors qui pourrais nous être offert.
Tant nous serions ensembles. Tant il plaira au Tout-Puissant de nous laisser le bonheur de vieillir ensemble de voir les enfants et peut etre nos futur enfants grandirent. Et si il nous accorde encore plus grand plaisir connitre sait on jamais les enfants de nos enfants. De grands rêves trottaient dans la tête de la rouquine.
Certains se réaliseraient d'autres il falait attendre que le temps passe. Il était tôt pour cetains et un peu incertain d'une façon de penser lontemps d'avance voir les mois à venir. Une chose est sure leur amour l'un pour l'autre ça personne ne pouvait le nier. Pas même les petits oiseaux qui ne tarderaient pas à gazouiller à la fenêtre de la grande chambre. Les amoureux s'endormirent enlacés comblés d'amour et de tendresse le marchant de sable les accueillis dans le pays des doux songes.

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

- Je t' aime mon amour.
Oui le travail de chaque jour pesait par fois. S'investir pour une chose, tout prévoir, commencer
et en cours de route, ben la personne ne donne plus de nouvelles. Si encore c' était une fois en passant, mais c' était souvent . Alors des fois le désir de tout envoyer balader, redevenir simple îlien et de m' occuper que de ma famille. Ceci dit je ferais comme ceux contre qui se
pestais. Je souriais à Maria.
- Arff la pleine lune agit toujours sur mon caractère de bélier....
Je la serrais contre moi l' embrasser.
- Cette semaine on fait les vendanges et on file en amoureux tous les deux voire notre Baronnie,
cela sera surement aussi du travail mais pas le même, mais cela nous changera les idées..

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

En ce lundi matin 19 Septembre 1651, vers sept heure, j' étais dans la coure a accueillir la cinquantaine
de villageois, hommes et femmes, recrutés pour les vendanges.

Maria, Eugénie et Simon m' aidaient à offrir café et goute de calva aux arrivants, puis je faisais les
équipes. Les femmes et enfants couperaient les grappes remplir panier, les hommes suivraient les rangs
de vigne avec hotte pour les porter au pressoir. Moi je superviserais le ramassage dans les vignes avec
Simon car j' aurais à m' absenter dans la matinée. Maria s' occuperait du pressoir et Eugénie et
deux villageoises s' activaient déjà a préparer les repas pour midi.Pour l' occasion les enfants avaient
été confié a une nourrice du village pour la semaine.

Avec le mariage de ma soeur Yolane nous nous étions couchés tard la veille et à l' aube on avait toqué
à la porte . Un messager du Doc nous portant un pli . Je l' avais brièvement parcouru, les yeux encore
dans le sommeil, souriant quand même du contenu.

C' est au moment de partir avec l' équipe des vignes qu' il me revint en tête, j' allais voir Maria qui expliquait
à son équipe le travail a faire au pressoir. La prenant à part je l' embrassais.
- Avec tout ça j' en oubliais le principal, le message ce matin venait du Doc, ma soeur Lina a accouché hier
soir et il me demande de passer chez lui, il veut faire baptiser l' enfant au plus vite, j' espère qu' il n' y a rien
de grave..
Je ressortais le message de ma poche vérifier un truc, je riais.
- Heu,..... dans son émotion il dit même pas si c' est une fille ou un garçon......je m' y avancerais dans la matinée.

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

C'était le 3 ème jour des vendanges, levé à l' aube, couché tard. On travaillait dès le premières lueurs du jour pour finir avec les dernières.
Une seule coupure de midi à treize heure pour un repas gargantuesque faire régner bonne humeur et coeur à l' ouvrage dans les équipes.
Les chopines de vin n' étaient pas en restes.

Eugénie et ses deux aides passaient leur journée en cuisine, d' une soixantaine de couverts le midi, nous étions
encore bien vingt à table le soir.
Après le soupé il fallait nettoyer le pressoir, les hottes et charrette, remplir les futs.

Maria était également fort occupée entre le pressoir et la cuisine, nous nous croisions dans la journée pour nous
embrasser. Même à table nous n' avions guère le temps de nous parler, n' étant même pas assis cote à cote la
plupart du temps, nous partageant entre les différentes équipes.

les seules moments en communs étant le levé, la demie heure avant le soupé ou nous courrions aller voir les
enfants les embrasser chez leur nourrice, puis le couché ou après un bain nous nous nous retrouvions enfin seuls
pour nous endormir comme des masses après quelques baisés.

Même Eugénie et Simon n' avaient pas le loisir de se voir beaucoup.

Ce midi je prenais quand même place à coté de mon épouse, la chance ayant bien voulue que nous arrivions en même temps dans la grange faisant office de grand restaurant.
- Mon amour les choses avancent mieux que je le pensais, demain matin nous devrions avoir fini. Quitte à se mettre à table à 13 h00.
Je lui souriais, comme moi elle ne devait plus sentir ses bras, dos et cuisses, ou plutôt si....
- J' ai dits à Eugénie de faire un grand repas pour demain, au fur et à mesure que les cueilleuses auront fini je les lui enverrais en renfort mettre la table. Nous règlerons leur dû a tous puis ferons ripaille jusque au soir, voir même plus tard si il y en a qui tienne encore le coup, pour fêter la fin des vendanges.

J' embrassais Maria et commençais à manger car depuis ce matin 6h00 il faisait faim.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Le troisième midi arriva enfin. J'entrai dans la grange prendre un repas bienvenu, le ventre m'ayant gargouillé tout l'avant midi. Bien normal étant levée tôt. Les tâches terminés j'aurai à nouveau loisir de reprendre ma routine avec mon époux et les enfants.

Levant les yeux je sourit par un heureux hasard Luc si trouvais aussi. Le temps nous manquait on ne se voyait qu'à la sauvette depuis lundi.
Prenant mon repas je pris place a ces côtés.

Citation :: - Mon amour les choses avancent mieux que je le pensais, demain matin nous devrions avoir fini. Quitte à se mettre à table à 13 h00.

IL me sourit, je replaçai une mèche de cheveux s'étant enfuit du foulard que je portais sur ma tête, Avant de lui sourire à mon tour.

-Je ne serais pas malheureuse d'avoir terminé. Il ma semble que mon corps ne suporterais pas plus de deux jours en plus.... Si nous terminons demain j'en serai grandement heureuse... Les enfants me manquent et toi aussi tu me manque.

Citation :: - J' ai dits à Eugénie de faire un grand repas pour demain, au fur et à mesure que les cueilleuses auront fini je les lui enverrais en renfort mettre la table. Nous règlerons leur dû a tous puis ferons ripaille jusque au soir, voir même plus tard si il y en a qui tienne encore le coup, pour fêter la fin des vendanges.

Oui il faut bien festoyer un peu après avoir tant travaillés tous ensembles. Je crois que je vais être de celles qui ne tiendra pas bien longtemps debout.... j'ai plus de jambes... elles sont si lourdes.
rit

Un baiser pour sceller cet échange de quelques mots avant d'attaquer ce repas qui sentait diablement bon. Notre Eugénie se surpassait avec ces aides pour nourrir tous ce monde.
La chaise face à moi etant libre je pris mon aise et étendit mes jambes pour y poser mes pieds... Outrepassant les règles de bienséance apprises petite. C'était ça où je ne pourrai continuer le travail en après midi... Déja que je rêvais d'un bain chaud et de me glisser entre les draps frais...

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

Dix heures sonnaient au clocher de l' église me faire ouvrir les yeux. Ce que je regrettais aussitôt vu le mal de tête.
Je réunissais mes souvenirs de la veille, ha oui,... la fête des vendanges,.....qui avait finie fort tard et copieusement arrosée....

Ma deuxième constatation fût que Maria était levée et une bonne odeur de café montait de la cuisine. Arff, à part mes bottes j'avais
dormi tout habillé. Je me demandais si j' avais gagné mon lit seul,.... ou si on m' y avait porté.....

Je me levais aller à la salle de bain enlever vêtements m' asperger abondamment, renonçant à tenter de combler les trous de mon emploie
du temps de la soirée, enfin de la nuit. J' enfilais une chemise et un pantalon propres pour descendre à la cuisine.
- Bonjour mon amour,....... heu tu as bien dormi ?.........

Je l' embrassais et aller me servir un grand bol de café sans rien manger car je n' étais pas sur que ça passe.
Il me revint en tête que nous devions aller chercher les enfants dans l' après midi.
Je sortais dans la coure prendre l' air et boire mon bol fumant. Bien que encore un peu brumeux il faisait soleil.

Je manquais de rire en voyant un homme couché dans la meule de foin. Il ronflait fort et je renonçais a aller soulever son
chapeau couvrant sa figure pour voir qui s' était. Je me demandais si il y en avait d' autres par-ci par-là.
- Mon amour je crois que tu peux faire d' autre café en prévision.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Dans la cuisine depuis huit heures. Les hommes avaient fort bien fêtés hier soir jusque tard dans la nuit Calva, vin et bière avaient coulés à flo dans les verres. Quelque uns des travaillants étant musiciens. Les maris avaient entrainés leurs femmes dans quelques danses. C'était la fête des Vendanges au vignoble.

Je n'avais point bu autant que mon amour qui était endormi tout habillé. Simon m'ayant aidé à le monter jusqu'à notre chambre. Il marchait toujours bien droit mais par sécurité je ne voulais pas qu'il prenne balan et se retrouve en bas des marches le cou cassé. Qu'aurais je dis alors...

Je m'étais onc levé tôt .... enfin tôt est relatif puisque qu,en vérité il n'était pas si tôt que ça.... Mais il falait ranger la maison avant d'aller chercher les enfants chez la nounou malgré les courtes visite que nous leur avins fait avant de rentrer se coucher le soi je sentais un vide en moi il manquait quelque chose à la maison. Nos enfants me manquaient.

Je finissait de ranger la cuisine lorsque j'entendis des pas en haut. Luc venait de se lever. Je terminais de préparer le café. Il en aurait surement besoin. Il ne fut pas long avant qe j'entende les pas de mon amour dans l'escalier.

Citation :: - Bonjour mon amour,....... heu tu as bien dormi ?.........

-Bonjour mon amour,..... hum oui j'ai bien dormi! Et toi?.....

Je répondit à son baiser avant qu'il ne se serve un grand bol de café fumant bien corsé comme il l'aimait. Il sorti prendre l'air.... à le voir il devait avoir un de ces malde tête ce matin... ces yeux étaient tout petits et ils reflétaient la couleur de la mer lorsque la tempête approche. Point de turquoise dans les prunelles de mon époux ce en ce matin de septembre.

Citation :: - Mon amour je crois que tu peux faire d' autre café en prévision.

-Très bien mon chéri j'ai déja mis l'eau à chauffer j'ai vus qe nous avions quelques occupants un peu partout... autour des bâtiments.

Je plaçais mon linge à vaiselle pour le faire sècher et alla retrouvé mon amour. Déposer mes lèvres sur les siennes. Allant derière la chaise ou il s'étais assis sur la véranda lui faire un leger massage.... Il avaittant travaillé ces derniers jours pour les vendanges qu'il méritais amplement que je m'occupe un peu de ces épaules et de son dos...

-Détends toi... respire à fond.. car cet apres risque d'être remplis de questions de la part des jumelles... et être ainsi très grouillant plus que les derniers jours où nous étions que des adultes dans la maison.

Me penchant, déposer un baiser dans son cou.

-Je peux aller chercher les enfants avec Eugénie mon bel amour... si les tambours frappent trop fort dans ta tête....

J'avais un jours expliqué aux jumelles que lorsque les papas et les maman avaient mal à la tête parfois c'était comme si une troupe de troubadours frappait fort fort fort sur des tambours, il y avait alors grand bruit dans notre tête. Et après la soirée et le début de la uit je me doutait bien qu'il en étaitle cas présent de papa Luc.....

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

Finalement les élections se trouvaient aussi prenantes en temps que les vendanges.
Je revenais de la Mairie voir différents dossiers, en fait plutôt de la routine car à 3 jours d' un changement
de Maire il serait idiot de se lancer dans quoi que ce soit.

Je trouvais Maria dans la cuisine et l' embrassais avant de me faire chauffer un café.
- Bonjour mon amour,...... je suis passé a la Mairie, il y à 23 votants.

Je remplissais ma tasse, y ajoutant une goutte de calva.
- Tu vois quand je me suis présenté a la Mairie je pensais faire dans les 7 ou 8 voix, en gros
ce que l' on faisait avec Dame Ely. Quand j' ai su que Dame France se présentait je lui donnais
dans les 10 voix, donc c' était plié.
Je buvais un peut de ma tasse
- Le fait qu' il n' y est qu' une seule liste les autres fois ne devait pas inciter les gens à voter donc on peut penser que les 5 voix qui viennent en plus de ce que je comptais seraient plutôt pour France.
Quoi que cela ne soit pas sure, le fait que nous ayons une liste en face a peut être réveillé des proches.
Je finissais ma tasse et riais .
- En gros je sais pas du tout qui va l' emporter, en tous cas c' est bien que les îliens votent nombreux.
Nos élections incertaines dépassent le cadre des îles, et on doit penser que je vais perdre.
Je pensais au deux lettres reçues.
- On m' a fait deux propositions de postes, bien sur il nous faudrait déménager....
Je souriais à mon épouse de ses craintes visibles sur son visage, elle adorait les îles ........ça tombait
bien car moi aussi.
- Je les ais refusé....... si je perds les élections on prendra du recul s' occuper de nous, des enfants et aussi il faudrait bien aller à St Ouen .

En parlant des enfants ceux ci sortaient de la salle de bain, Eugénie tentant de canaliser l' énergie de jumelles à descendre nous dire bonjours

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Comme mes lèvres s'ouvraient pour répondre ,les jumelles sortiret en trombe de la salle de bain... Eugénie ayant grand mal de les retenir...

Doucement les puces!!!! Chacune votre tour et on ralenti le débit... papa et moi nous ne sommes pas sourds.... du moins pas encore!!!

un regard à Luc, un petit sourire en coin... dificile d'avoir une discution tranquille sans être dérangés.

Une fois les élections passées il serait bon de se retrouver seuls quelques jours et le voyage à Saint-Ouen serait le bienvenu... repos et visite à nos gens...

Les filles babillaient de plus en plus fort... il était question d'un évènement qui c'était produit chez la nounou...
Le garçon de celle ci ayant couru apres elles avec des bestiolles... et là bien vu la vitesse à laquelle elles parlaient peutimporte d'être sourds ou non nous avions perdu le fils de l'histoire....

Mes chéries calmer vous.... rien ne sert de sénerver pour cette histoire... les vendanges sont terminés vous n'irez plus...

Apres les avoir calmées elles prirent place à la table je leur servit bol de lait et galette... question de les garder occupées à mâcher...

Me tournant vers Luc, lui chuchotté à l'oreille:

Mon amour nous avons vraiment besoin quelques jours de repos.... tu as bien raison...

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

J' embrassais les enfants avant que Maria et Eugénie ne leur fassent les petits déjeuné .
Bien qu' il soit 8 h 30 le jour se levait juste mais il ferait encore beau et chaud.
- Maria on va se changer les idées. Je vais monter à l' étang faire quelques finitions pour
la mauvaise saison. Vous viendrez me rejoindre en portant repas et cela serra certainement
la dernière fois que nous aurons l' occasion de nous baigner.

J' embrassais ma femme en souriant aux filles qui réclamaient de monter à l' étang sur leur poney.
- Oui vous n' aurez qu' a les prendre, ça les changera que vous les faisiez tourner en bourrique dans l' enclos.

Je sortais dans la coure et prenais le chemin vers l' étang.

Vers 9 h00 j' arrivais au cabanon . A part pendant les vendanges j' avais presque chaque jour passé une ou deux heures a y travailler.
Une porte et une fenêtre agrémentaient la façade avant, le parquet intérieur était posé.
Une toile goudronnée était tendu en plafond finissant de rendre étanche le toit de chaume.
Une table et deux bancs plus petit que ceux devant le cabanon, un petit buffet, et un brasero
meublaient l' intérieur. J' avais également ramené des cannes à pêche.

les chevaux avaient tondu ras les berges et alentour, le bois mort était rassemblé en bûcher
Je bricolais une bonne heure puis prenant un sac de toile je montais au ruisseau se déversant
dans l' étang à la recherche d' écrevisses.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

J'étais d'accord avec l'idée de Luc... cela nous ferait grand bien... profiter de cette derniere journée de baignade.

D'accord mon chéri, Eugénie et moi allons préparer un pique nique.....nous irons te rejoindre par la suite...

J'embrassé mon amour avant qu'il prenne le chemin de l'étang.

Alors mes chéries on range un peu dans la maison... puis nous préparons le panier de provision et nous irons rejoindre papa à l'étang.

Elles partirent en courant dans leur chambre... suivit de pres par Eugénie que j'avais mandatée de surveiller les faits et gestes de ces demoiselles. Trois quart d'heure plus tard environ elles étaient redescendues avec leur effets pour aller faire trempette dans l'étang. Le petit s'éveillait à peine dans son parc à ce meme instant

Fermant le panier le tendre à Eugénie qui sortie avec Amandine et Aurélia, le temps que je change Mario.

Aussitôt les filles s'empressèrent d'aller dans l'enclos monter leurs poneys. JE sorti quelques minutes plus tard fermant la porte de la maisonnée derrière moi.

En route mes demoiselles et jeune homme pour une derniere belle apres midi à l'étang....

Alors les filles passerent devant suivit d'Eugénie puis Mario dans mes bras fermant la marche.
Le parcours ce fut dans la bonne humeur chantonnant à tut tête.... ritournelle joyeuse puis nous arrivâmes tous les cinq à l'étang....Mon chéri nous sommes arrivés! j'espere que tu as grande faim!
la journée etant chaude il avait surement grande soif.... pour ce faire une bouteille de calva bien fraîche et de la citonade pour les enfants.

je m'empressé d'aller embrasser mon époux... ces derniers jours chaque moments qui m'étaient donné de pouvoir l'embrasser j'en profittais.... chacuns étant nouriture à notre amour.

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

[ 11 Octobre 1651 ]

Comme chaque matin depuis le 3 Octobre, j' avais amené les jumelles chez les soeurs pour leur éducation, tant Pascalienne que
pour apprendre à écrire, lire et compter. Nous leur avions déjà donné de solides bases mais leur intégration dans une classe
n' avait pas était sans cris et larmes. La perte de liberté avait finalement était contre balancé par le fait de se retrouver avec
une douzaine d' autre fille de leur age et des plus grandes.

De retour à la maison je retrouvais Maria faisant manger Mario à la cuisine. Je bisais son front, lui aussi appréciait mal
de n' avoir plus ses soeurs pour jouer avec lui. J' embrassais Maria et me servais un café le boire.

Elle avait préparé 3 grandes malles de nos effets qui devaient partir ce matin pour St Ouen en prévision de notre voyage la bas.
J' avais loué les services d' un pécheur et de ses aides pour les transporter sur l' ile de Jersey.
- Plus que 3 semaines et nous pourrons voyager à notre guise,.......et enfin voir notre Baronnie.

Je lui souriais,

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Les malles en route vers notre Baronnerie. Voila une chose de fait un poid de moins sur les épaules.

Citation :: - Plus que 3 semaines et nous pourrons voyager à notre guise,.......et enfin voir notre Baronnie.

Trois semaines... hum voyager... j'ai bien hâte mon amour. Prendre enfin un peu de repos apres tous ces mois de travail.

Mario frottait ces yeux signe que l'heure de la sieste arrivait bientôt.
prennant le linge pour lui laver le visage le prendre et le déposer dans les bras de son papa.

Finissant de ranger la cuisine pendant que mes deux hommes se berçaient l'un sommeillait. tant dis que le plus grand ne me quittant pas des yeux... Me retournant je lui sourit et allai l'embrasser tendrement sur les lèvres.

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

Embrasser mon épouse était toujours un émerveillement de mes lèvres sur les siennes, comme si c' était la première fois. Les mois passés n' avaient rien changé à cette alchimie, nos étreintes non plus.........
J' avais tout autant soif de sa présence, de sentir son corps sur le mien, de partager mon temps avec
le sien, de sentir son parfum, .........
En un mot d' être avec elle.
- Oui nous voyagerons mon amour,.......notre passion seule suffirait à gonfler toutes les voiles du monde.
Traverser les mers et océans à tes cotés est le seul but de ma vie jusque à ma mort. Si le Dieu de la
mer voulait nous prendre, je resterais collé à toi dans l' infini de ses abysses et nous survivrions de nos
propres respirations.

Bon un peut pompeux mais tellement vrais.

J' allais déposé Mario dans son lit , redescendant juste à temps pour les marins venant chercher nos malles.

J' aidais au chargement sur la charrette qui allait au port emplir leur barque.
Le Capitaine des pécheurs de St Ouen me demanda comment je comptais gagner Jersey et mon fief.
- Ne vous tracassez pas, je sais naviguer ........même si les falaises et hauts bancs sont dangereux
sur cette partie de l' île,..........ça fait parti du charme. Durant trois nuits , du 1 au 3 Novembre, vous
marquerez la passe par flambeaux à partir de minuit. Si la marée ou le temps étaient mauvais je ferais
le tour de l' île et débarquerais sur les terres de mon beau frère le Baron Delarosa.

Je saluais l' homme.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Comme au premier jours ces paroles me papillonaient dans le creux du ventre... ainsi donc le vrai amour!
l'Amour partagé d'une même passion celle de deux coeurs enlacés tant pour le meilleur et le plus triste.

Embrassant tendrement, l'élu de mon coeur pour l'éternité.

Ah que je vous aimes messire Neu!

Luc alla porter le petit dans son lit puis redescendit alors que des hommes vêtus comme des marins arrivèrent. Il sorti à leur rencontre.

Luc dehors, Eugénie partie faire une course au marché.

Alors que les petites étaient à l'école et que le petit dormait en haut dans sa chambre. Il ne me restait plus que de préparer quelques pâtisserie pour gâter les papilles des mes amours. Sortant des armoires bols mesures, cuillères... Farine, sucre, beurre, lait, oeufs...

Quelques bûches dans le poêle pour chauffer le four.... Arborant mon tablier je commençais la valse des douceurs gourmandes entre les ingrédients. Un coup d'oeil à la fenêtre pour voir que Luc converssait toujours avec les marins venus chercher nos malles. Mesurant ingrédients sec les tamisser ensemble mettre de côté pour m'occuper des ingrédients humide. Battant la cadance en fredonnant un air joyeux. Lorsque Luc fit son entrer dans la maison je montais déja une plaque prête à être enfournée une douzaine de galettes à la farine d'avoine y trônaient...

Lavant mes mains et les essuyant. Je sourit à mon époux.

Ils ont l'air bien sympatiques les hommes qui sont venus chercher nos malles mon chéri. J'ai hâte de rencontrer tous les gens là bas.

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

Une bonne odeur flottait dans la cuisine, les malles sur la charrette venaient de quitter la coure.
Je revenais à la cuisine et souriais à mon épouse,
- Je vous aimes Dame Maria !
- Bien gentil ces hommes là ?........oui ,........surement, si on fait exception de leur origine
de barbares Normand, de pilleurs des mers et de naufrageurs,........ils doivent avoir un
bon fond......
Je riais à mon épouse.
- Je plaisante,.......à moitié,ha aussi nous avons un château.....en ruine, il ne reste que les fortifications de la porte en ogive........Il y a à peut prés cent ans qu' il a été rasé par les Français.

Je me servais et buvais un café.
- Sinon nous avons le village de St Ouen, avec une maison qui tient debout, et huit hameaux de fermes. Ha si aussi un site ancien de dolmen.....
Ca cela aurait amusé Webut .

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Écoutant mon époux qui semblait très séreux... rien pour me rassurer quand tout coup il se mit à rire devant mon air mi figue mi raisin.... le raisin entendons nous quoi de plus normale pour une vigneronne.

Euh... bon plus de château que des ruines...au moins une maison c'est toujours ça.... Un Domen aussi.

Bon ils verraient bien un fois arrivés làbas. quoique dormir à la belle étoile il commence à faire un peu frais pour ce genre de nuit....

Et mon chéri dis moi?...

tout en sortant la fournée.
Tu aurais pas une petite faim?

Lui tendant une galette toute chaude.... Un sourire enjoleur sur mes lèvres....

Il me semble que cela accompagnerait très bien ton café.

Prenant moi meme une galette et y croquant. La gourmandise était l'une de mes faiblesses et oui ça et les baisers de mon époux je ne pouvais m'en passer.

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

Je prenais avec plaisir de la galette à Maria,......... comme ses baisés .
Petit sourire à mon épouse.
- Pas Domen mais Dolmen ! ancienne construction gauloise et celtique, ... a ce que je sais.
En gros comme une église de maintenant. Un lieu sacré à leur époque.... On dit aussi qu' ils sont érigés
en place de liens avec la terre, des .........comment dire .......
Je trouvais plus le terme
- Enfin bref des druides déterminaient leur emplacement. Il parait même que cela servait de point d' observation
des astres. Aux Caraïbes il existe des emplacements de ce type, mais plus évoluées. Des sortes de pyramides...
Je dois dire que quand j' y vivais je ne me suis pas trop occupé de cela.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Oups pardon mon chéri... je voulais dire Dolmen mais ma langue a`fourchée.

Ecoutant les explications de Luc sur les Dolmen etant comme des lieux ou il y avait de rites et des sépulcres.
Oui j'imaginais assez bien enquoi devait consister les cérémonies éffectuées l'à bas.

Donc notre voyage à Saint-Ouen serait un voyage de découverte. notre premier vrai voyage en tant que Baron et Baronne. et aussi en tant que Monsieur et madame Neu... Le court voyage effectuer en trois jours etant pour la mairie et recevoir le certificat de baptème de Luc. Il était le temps pour nous de souffler apres tous ces mois de travail. En gros comme le disait si bien Lina nous aurions le droit à une lune de miel avec quelques mois de retard.... mais notre amour était toujours aussi fervant.

Les Caraïbes... tu m'en a jamais parlé mon chéri... il devait y faire bon y vivre... quoique nous sommes bien aussi sur Guenesey. Un peu plus froid certainement surtout lors des grands vents

Un jour il aimerais peut etre lui raconter un peu sa vie avant eux....il est certain qu'avec son charme elle ne devait pas etre la seule à avoir connu ces baisers.... Mais bon elle était tout de meme l'heureuse madame Neu et cela avait toute son importance....

M'approchant de mon époux je passais mes bras autour de son corps me blottir dans ces bras lui offrant un voluptueux baiser....

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

Les Caraïbes ........... vaste sujet, mais il vrais que nous n' en avions jamais parlé......
- Heu,.......... je suis né à Tortugas en 1620, d' une mère Espagnole, Ines Del Cortensia, et de mon père Français Pierre de Neu .

Mon père je n' en avais même pas le souvenir. Il était parti quelques mois après ma naissance, faire fortune......un mot qui voulait tout dire et rien. En tous cas il n' était pas revenu.
- De mon père je n' ai que son nom , Neu. Sinon j' ai été élevé par ma mère Ines et ,........heu on pourrait dire son amant si mon père avait pensé à revenir. Un intendant de plantation, Augier. C' est lui qui m' a appris la comptabilité, enfin les bases et ce qui m' en reste. Je n' étais pas très assidu à l' époque.... mais je passais des journées avec lui, donc j' ai des restes.

En plus il était pointilleux avec la main leste , donc forcément j' avais appris.

- Sinon dés que je pouvais je trainais sur le port, et bien sur le meilleur moment était le soir quand Augier rendait visite à ma mère, pour moi passer par la fenêtre...... sans doute pour cela à 14 ans j' embarquais sur un corsaire. Vie simple puis a cet age on pense pas au lendemain.

Pensées a ma jeunesse.
- J' ai fais pas mal de bêtises, tant avec les juges de tous bords qu' avec les femmes, heu surtout mariées à l' époque.
Un peut de piraterie , mais pas vraiment en m' en rendant compte, juste suivre des amis plus vieux. Le libre désir de risquer sa vie
et de gagner quelques pièces à dépenser en une soirée en vins et filles.

Bon une vie de dépravé comme diraient certaines,..........mais pleine d' enseignements. J' avais sabré 3 personnes en combat de navire
à navire lors d' abordages. Certes la joie du premier visage fendu, la joie surtout d' être encore vivant et entier après de rudes canonnades qui emportaient hommes et membres. Les bois qui volent et arrachent amis . Avec le recul un grand soulagement d' être passé à travers. Sur le coup de la poursuite on ne pense que à la proie à prendre, puis c' est
les coups de canons, le sang qui coulent d' un pont à l' autre.
La fureur d' une attaque ou il faut tuer ou mourir car il n' y a pas d' autre choix. ........

En gros une vie bien remplie en émotions de toutes sortes. Arff surement questions sur les femmes que mon amour devait se poser.
- Femmes avec qui j' ai couché ne comptent pas car tu es la seule que j' ai épousé . Ceci dit tu peux demander car cela serait normal.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

Assise pres de Luc écoutant son récit de sa vie passée aux Caraïbes.
Tantot souriant, tantot tremblante du fait qu'il avait cotoyé la mort de près
à maintes reprises.

Me sentant un peu comme une espionne d'apprendre des choses sur sa vie passée hors Guernesey.
Mais rien ne pourrait ternir l'amour que je ressentait pour lui. Une femme sait que son homme à surement connu d'autres femmes avant elle. Les moeurs de l'homme étant ainsi fait. Aoir été élevée dans une famille très près des préceptes Pascalien, l'avait grandir dans un environnement satiné. Très à l'oposé de la vie qu'avait mené Luc. Mais elle en était tombé amoureuse depuis le jour où elle l'avait apperçu en Taverne... Refoulant ces sentiments tentant de ne faire voir que son amitié pour lui.... Mais rien ne lui avait échappé il n'avait point été dupte de mes attentions envers lui autant étaient elles anodines à mes yeux...

Aujourd'hui je savourais pleinement la vie au côté de mon époux bien aimé et peu importe le nombre de conquêtes il avait pu avoir dans le passé il n'y avait que l'avenir qui comptait.

Plongeant mon regard dans le sien...Je t'aime mon amour et ce qui compte pour moi c'est le présent et notre avenir... et mon présent c'est d'être ton épouse et j'en suis comblée peu importe les dames que tu as charmées...Tu as fais de moi un papillon...tu m'as redonné goût à la vie. Juste pour ça j'en remerci à chaques jours le Très Haut.

Je t'aime Luc dit Neu et ce jusqu'à ma mort et meme au delà.....

Scellant cette déclaration d'amour d'un baiser passionné.

Messages : 4336 Date d'inscription : 21/12/2010 Ville : Mont Gaulefier

( quelques jours plus tard, le 29 Octobre 1651 )

L' avantage d' être habitué à se lever aux premières lueurs du jour, ben c' est que en hivers on se
lève plus tard. L' inconvénient étant de sortir du lit douillet et des bras chauds de son épouse,
pour enfiler chemise et pantalon en un temps record.

Après un sourire à ma chère Maria endormie, je quittais la chambre pour descendre à la cuisine ou quelques
braises dans l' âtre donnaient encore quelque chaleur.
Les volets ouverts, mon premier travail fut de charger la cheminée en bois et relancer un bon feux, puis mettre
un gros chaudron d' eau à chauffer pour les besoins domestiques.

Je faisais cuire tranches de lard avant de les manger avec pain, le tout arrosé d' un cruchon de vin coupé d' eau.
Puis j' enfilais une épaisse veste pour aller m' occuper des chevaux, poneys et de la basse coure.

Je ramenais 7 oeufs que je posais dans le saladier à cet effet, avant de préparer du café pour en boire un
bol agrémenté d' une rasade de calva, histoire de lutter contre tout un tas de maladies.

Messages : 1869 Date d'inscription : 06/05/2010 Ville : Mont Gaulefier

[au matin du 29 octobre]

Une absence à mes côté me fis ouvrir les yeux... la douce chaleur de mon époux n'étant plus là il ne servait à rien de rester au lit... Bien des choses deumeuraient à fare aant notre départ pour la baronnie et pour nore voyage par la sute.... une douce odeur de café venait de la cuisine...

petit sourire...

Douce étant bien faible comme mot car le café fait par mon amour était à mon sens le seul remède pour les lendemain de soirée bien arrosées...

J'enfillai rapidement corsage, bas, jupons, robe et souliers histoire de rejoindre mon tendre époux en bas
avant qu'il ne quitte pour quelques tâches en ces derniers jours d'octobre....

Decendant rapidement les escaliers prenant garde de me barrer les pieds dans mes jupons...
Luc se trouvat dos à l'escalier se versant un bol de café corsé d'une bonne rasade de Calva...

Avec ça mon chéri tu pourrais tuer tout un régiment de microbes!

j'éclatais de rire... allant le rejoindre l'entourer de mes bras juste profiter du moment présent avant que notre ribambelle joyeuse descende prendre leur petit dejeuner.

» [RP] 6 quartier Espérance, Bistro chez Maria D'Anjou
» [RP] Bureau de l'Accueil et des nouveaux nés
» [RP] * - { Mariage de Luc & Maria } - *
» [RP] Chez Emma Roseray
» [RP] Chez Eristern